« Durant les longues heures du déménagement, Riquet errait tristement dans l’appartement dévasté. Ses plus chères habitudes étaient contrariées. Des hommes inconnus, mal vêtus, injurieux et farouches troublaient son repos et venaient jusque dans la cuisine fouler aux pieds son assiette à pâtée et son bol d’eau fraîche. [...] »
Une nouvelle extraite du recueil Crainquebille, Putois, Riquet et plusieurs autres récits profitables.
Merci M. Depasse. Plus j’écoue Anatole France plus je l’adore..Je confesse que votre voix y est pour beaucoup!