Edvard Munch - Mélancolie (1894-1896)

Pas la frite (Chanson)

Il y a des jours comme ça, où l’on a l’impression d’être une montre molle, alanguie dans un tableau de Salvador Dali. Des jours où, comme Anna Karina dans Pierrot le Fou, on a envie de gémir : « – Qu’est-ce que j’peux faire, j’sais pas quoi faire… » Bref, des jours où l’on n’a pas la frite, mais alors, vraiment pas !

Chant : Alain Degandt – Accompagnement : Clément Degandt.
© Paroles et Musique : Alain Degandt – Tous droits réservés.


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Livre audio gratuit ajouté le 28/05/2020.

7 Commentaires

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  1. Cher André, Cher Christian, vos chaleureux commentaires m’émeuvent beaucoup, venant de deux donneurs de voix que j’admire, à la fois pour leurs choix de lectures, l’excellente qualité de leurs publications sur le site et je suis béat quand je vois à quels énormes montagnes vous vous confrontez parfois, avec un grand courage (je n’ai jamais osé tenter de “lecture au long cours”, comme “Jean-Christophe” de Romain Rolland par exemple). Merci du fond du coeur. Bien amicalement,
    ALAIN D.

  2. Bonjour Alain. Vos multiples talents,comme lecteur, auteur, chanteur – je vous envie votre belle voix -, me laissent béat d’admiration.
    Bien amicalement.
    André

  3. Merci Lisa LK pour votre très gentil commentaire. Quelle chance vous avez de pouvoir traverser en ce moment la Belgique (les premières phases du dé-confinement ne nous le permettent pas encore…), mon autre “pays de coeur” avec l’Italie. Mes grands-parents paternels étaient Belges (de Roulers et Thourout) et mon grand-père a participé à la guerre de 14-18 dans la région d’Ypres, si tristement célèbre pour les gaz mortels qui y ont été utilisés à l’époque. Moi-même suis allé à deux reprises en colonie de vacances (2 séjours de 2 mois chacun, loin de mes parents), alors que j’avais 7-8 ans, à Oostduinkerke. J’aimais bien les dunes, les grandes plages, la mer agitée, les odeurs marines mêlées à celles des gaufres, des frites (à l’époque à la graisse de cheval, je crois) et de la crème à bronzer anti-coups de soleil, les voitures à pédales et les chars à voile, le tramway de la côte tout brinquebalant… Gentillesse, sympathie, modestie, fantaisie, petit brin de folie… J’AIME LES BELGES ! Bien amicalement,

    ALAIN D.

  4. J’ai écouté votre chanson (et les autres) en traversant la Belgique aujourd’hui. Bon ici tout le monde a plus ou moins toujours la frite. Mais sincèrement je suis fan de vos chansons, c’est très sympa.

  5. Super commentaire ! Merci beaucoup LÏat ; plus que la frite, vous me redonner la pêche et croyez bien que, sous mon masque post-confinement, j’ai déjà la banane ! Pour la chaleur humide, je compatis, car j’ai horreur de ça moi aussi !
    Bien cordialement,
    ALAIN D.

  6. Bravo encore, monsieur Degandt !

    J’aime : et votre voix, et votre rythme !

    J’ai dû chercher la signification de «avoir la frite», vu que je n’ai pas eu l’occasion de l’entendre ici, dans mon pays d’adoption.

    Personne n’a la frite ces jours-ci avec une chaleur humide de 32 degrés. Nous sommes tous des « montres molles», comme vous le dites si bien.

    _J’espère que vous allez continuer de nous choyer:
    je vais monter une collection Degandt! 🙂

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