La Porte des cent mille peines

« Ceci n’est pas un morceau dont le mérite me revienne. Mon ami, Gabral Misquitta, le métis, me le raconta d’un bout à l’autre, entre le coucher de la lune et l’aube, six semaines avant de mourir, et je le recueillis tel quel de sa bouche, à mesure qu’il répondait à mes questions. […] »

Rudyard Kipling nous peint la vie d’une fumerie d’opium à Calcutta qui s’appelait La Porte des cent mille peines.

Traduction : Louis Fabulet (1862-1933) et Robert d'Humières (1868-1915).

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Illustration :

“Un vice nouveau : Les fumeries d’opium en France”, illustration dans le supplément illustré du Petit Journal, 5 Juillet 1903

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Livre audio gratuit ajouté le 18/10/2010.

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