Kowka Souvenirs

Enfance en pays charbonnier (1. En souvenir de ma Ohma)

Au travers de ces quelques anecdotes, Kowka rend un hommage émouvant à sa chère grand-mère, son Ohma, sa Bobonne.

Il évoque son souvenir avec tendresse et nostalgie.

L’illustration est un tableau réalisé par l’artiste-peintre E. Bouvy, représentant sa mère, la grand-mère de Kowka.


Consulter la version texte de ce livre audio.
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 22/05/2016.

3 Commentaires

Ajoutez le vôtre ! C'est la meilleure manière de remercier les donneurs de voix.

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  1. Chère Carole
    Quelle magistrale analyse de cette nouvelle de Kowka. Il sera ravi de voir que vous l’avez si bien compris.
    je suis très heureuse, moi aussi, que vous ayez découvert et apprécié cet auteur. J’ai été emballée par ses nouvelles si différentes les unes des autres. J’ai adoré les aventures de deux bancs publics, deux cousins… le banc de Nice qui mène son enquête et résout l’énigme, avec la subtilité d’un Sherlock Holmes… je crois que ce sont mes préférées.
    A bientôt!
    Amitiés
    Cocotte

  2. Chère Cocotte,
    (et oui ! Toujours moi ! le jeudi, mon jour de –correspondance– !)
    J’étais curieuse de découvrir d’autres textes de Kowka après l’écoute de « Camel ».
    Me voici donc dans deux textes de souvenir.
    Quel bonheur de découvrir ces « vignettes » du temps passé, juxtaposées, tout simplement (donnant à voir un grand « tableau ») décrites avec précision. Les odeurs, les saveurs, la netteté des souvenirs de l’enfant.

    Les « vignettes » défilent , les unes après les autres … le lecteur (l’auditeur) les garde en mémoire… dans le désordre… les anecdotes sont parfois minces mais c’est justement ainsi que toute la profondeur du passé nous est offerte . Un seul exemple, celui des «spaghettis chez les voisins » (à la sauce tomate et non pas la sauce bolognaise , immense nouveauté !) : le récit est sobre, sans commentaires. J’aime ce parti pris qui laisse libre d’interpréter et d’éprouver l’émotion qu’il souhaite…
    L’importance des lieux , des rues , de la topographie , des descriptions des intérieurs est très notable : le lecteur est « transporté » dans la scène décrite.

    Surtout , surtout, le personnage de la grand-mère : immense, par sa présence, par l’amour qu’elle prodigue , par les liens qu’elle établit à l’aide de sa cuisine , liens avec son petit-fils et avec la famille dans son ensemble, lien aussi ave son propre passé et sa culture d’Europe centrale.
    … et les corons (ou baraquements) , le glanage du charbon, la vie matérielle dure et modeste de la France du Nord il y a seulement quelques dizaines d’années…

    Merci à Kowka de si bien témoigner de cette époque avec , au centre , un petit garçon que l’on sent prêt à découvrir la vie avec enthousiasme.

    Un grand merci pour cette découverte !!!

Lu par CocotteVoir plus

Les plus aimés ❤️ (sélection)Voir plus

×