Caspar David Friedrich, Le Voyageur au-dessus de la mer de nuages (1818)

Éternité de la nature, brièveté de l’homme (Poème)

« Roulez dans vos sentiers de flamme,
Astres, rois de l’immensité !
Insultez, écrasez mon âme
Par votre presque éternité !
Et vous, comètes vagabondes,
Du divin océan des mondes
Débordement prodigieux,
Sortez des limites tracées,
Et révélez d’autres pensées
De celui qui pensa les cieux !
[…] »


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Illustration :

Caspar David Friedrich, Le Voyageur au-dessus de la mer de nuages (1818)

Références musicales :

Ouverture :
Jean-Sébastien Bach, Toccata et fugue en ré mineur BWV0565, arrangement, direction par Leopold Stokovski, interprété par Leopold Stokovski Orchestra (1956, domaine public).

Final :
Jean-Sébastien Bach, Cantate Herz und Mund und Tat und Leben: Choral Jésus Que Ma Joie Demeure, BWV0147, interprété au piano par Dinu Lipatti (1950, domaine public).

Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 24/06/2010.

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