Pierre-Auguste Renoir - Jeunes filles au piano (1892)

La Petite Sœur (Tome 1)

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Depuis quelques jours, personne n’a vu M. Passereau, le locataire d’une chambre meublée dans un immeuble de Montmartre. Inquiète, sa voisine, Angélique, une repriseuse, va aux nouvelles et le découvre presque mort de faim et de froid. Elle le ramène chez elle, le réconforte, le nourrit, le réchauffe. L’amitié ne tarde pas à naître entre eux, et Angélique finit par tomber amoureuse de ce bel homme qu’elle fait vivre.

Mais M. Passereau est, en réalité, le comte de Mussidan qui, après avoir dilapidé deux héritages importants, s’est trouvé réduit à la misère, ayant épuisé son crédit auprès de tous ses amis et fournisseurs. « Un homme comme lui ne travaille pas ! »

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Livre audio gratuit ajouté le 06/03/2018.

23 Commentaires

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  1. Chère Géraldine
    C’est avec plaisir que je vous retrouve au bout d’un an. Cela m’amuse beaucoup que vous ayez appelé votre chat Pardaillan! Faites-lui une douce et tendre caresse de la part de sa… un peu marraine.
    je suis très heureuse également de voir que “La petite sœur” a plu aux audio lecteurs. Ce sont eux qui guident mes choix de lectures.
    Merci beaucoup pour votre amical commentaire qui a embelli ma journée.
    Amicalement
    Cocotte

  2. Chère Cocotte, voici un an que je n’ai plus écouté de livre audio, et je vous reviens pour écouter ces deux tomes lus par vos soins. L’an dernier, j’avais savouré toute la série des Pardaillan, et d’ailleurs, j’ai baptisé mon chat, né le 20 août dernier PARDAILLAN en souvenir de ce personnage que vous m’avez fait découvrir. Merci pour tout le bonheur que vous apportez autour de vous.

  3. Oh oui, ce comte de Mussidan m’irrite beaucoup, en effet. S’il était mon mari, il y aurait longtemps que j’aurais refusé de l’entretenir et que je l’aurais envoyé chercher une autre poire ailleurs!
    Hélas, à cette époque, les maris avaient un moyen de pression : l’enfant. Et, en plus d’être orgueilleux et méprisant, il a dominé sa femme depuis le début. Les femmes soumises, battues, qui n’osent pas se plaindre, existent encore, malheureusement !

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