Photographie de Stéphanie Vergniault, fondatrice et directrice générale de SOS Éléphants du Tchad et SOS Éléphants du Congo (avec son autorisation)

Dies irae (Poème)

« Un bel éléphant tué par des braconniers
Gisait dans un gué, horriblement mutilé,
La trompe coupée sur le sol abandonnée,
Et les défenses pour l’ivoire arrachées.
Devant pareille cruauté,
L’humanité tout entière semblait entachée.
Quelle triste réalité !… »

Ce texte fait suite à :


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Références musicales :

Wolfgang Amadeus Mozart, Requiem en Ré mineur, K626, Dies irae, interprété par les ensembles Westminster Choir et New York Philharmonic, dirigés par Bruno Walter (1956, domaine public).

Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 30/07/2021.

17 Commentaires

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  1. Monsieur Ahicar, je vous en supplie, changez l’illustration de ce poème qui est assez parlant pour ne pas avoir à exposer l’horreur et la cruauté en image. Nous sommes tous , ici, choqués de voir une image d’une telle violence ainsi banalisée. Merci de tenir compte de la sensibilité des plus jeunes.

  2. bonsoir Ahicar
    Votre fable est déchirante. J’aime infiniment les éléphants et votre façon de nous raconter leur calvaire est bouleversante.
    Tris1111te, triste…

  3. Merci à tous pour vos chaleureux commentaires.

    @Georje
    Concernant la « prestation en live », je dois dire que cet enregistrement me laissait dubitatif. Je le trouvais trop véhément. J’ai essayé de le réenregistrer il y a un mois, mais du coup, le résultat était bien fade. J’ai finalement choisi de conserver l’enregistrement de 2013, réalisé peu après l’écriture du texte.

    @Marc Bonetto
    J’ai écouté plusieurs des prestations de Julien d’Abrigeon. Je ne me sens pas qualifié pour donner un avis. Jeune, j’ai beaucoup fréquenté le Centre Pompidou, j’ai entendu des lectures futuristes de Marinetti, des lectures des Cantos d’Ezra Pound… j’étais alors comme une éponge qui buvait toute cette modernité, et tout me plaisait ou presque. En fait je ne me disais pas « Ça c’est bien… ça, non », je me laissais imbiber, traverser par toutes ces expériences sonores… Maintenant, malheureusement, j’ai vieilli, et ne suis plus aussi réceptif.

    Merci encore à Lïat, Sandrine, Stéphanie et Corine, Untel, Quidam et Sautillant.

    Une précision encore, ce texte est une fable et fait partie d’un ensemble. En l’écoutant seul, la réponse faite par le roi des éléphants peut sembler étrange.

    Bonne soirée à tous ! 🙂

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