Donneurs de voix ayant participé au projet, par ordre de lecture des lettres :
Lady Susan : Esperiidae,
Mrs. Vernon : Gaëlle,
Reginald de Courcy : Florent,
Mrs. Johnson : Carole,
Sir de Courcy : Alain Degandt,
Lady de Courcy : Cocotte
Frederica Vernon : Orangeno,
Traduction, coordination et montage : Vincent de l’Épine.
Introduction et conclusion :
Johannes Brahms, Clarinet Trio in A Minor, Op. 114 – III. Andantino grazioso, interprété par Paul Pitman, Michael Arnold, Bang-Eun Lee (licence CC-PD).
Lettres de Mrs. Vernon :
Johannes Brahms, Seize Valses, Op. 39 – 9. Waltz in D minor (valse numéro 3), interprété par Martha Goldstein (licence Cc-By-Sa).
Lettres de Mr. Reginald de Courcy :
Johannes Brahms, Variations et fugue sur un thème de Handel, Op.24, interprété par Martha Goldstein (licence Cc-By-Sa).
Lettres de Mrs. Johnson :
Johannes Brahms, Waltz in D minor (valse numéro 12), interprétée par Martha Goldstein (licence Cc-By-Sa).
Lettres de Lady Susan :
Johannes Brahms, Sonate No. 2 pour violoncelle et piano en Fa majeur, Op. 99: II. Adagio affetuoso, interprétée par Wilhelm Backhaus, Pierre Fournier (1955, domaine public).
Lettres de Frederica :
Johannes Brahms, Waltz in D minor (valse numéro 9), interprétée par Martha Goldstein (licence Cc-By-Sa).
Lettres de Mrs. De Courcy:
Johannes Brahms, Piano Quintet in F minor Op.34 – I. Allegro non troppo, (European Archive, domaine public).
Lettres de Sir de Courcy :
Johannes Brahms, Clarinet Quintet, Op. 115 Adagio, interprété par William McColl (licence Cc-By-Sa).
Un grand merci pour cette lecture qui me fait découvrir Jane Austen.
Bravo pour la distribution des donneurs de voix, qui est parfaite.
Je me souviendrai en particulier de la voix de Lady Susan, délicieusement hypocrite ou directe et mordante, selon les destinataires de ses lettres ; bravo Esperiidae !
Un grand bravo aussi pour la traduction. Une belle œuvre collective.
Bonjour cher Luc, heureux de vous retrouver !
Quel grand plaisir de vous avoir fait découvrir la délicate et subtile Jane Austen. Ce roman, qui est certainement le moins connu, me manque pas de charme et contredit l’idée parfois répandue (chez ceux qui ne la connaissent pas) de Jane Austen “auteure pour jeunes filles”. La réjouissante amoralité des dialogues entre Lady Susan et Mrs Johnson notamment (“J’espère, ma chère, que la prochaine crise de goutte de votre mari aura pour vous une issue plus favorable”, ou “J’ai bien envie, pour le punir, de l’épouser afin de pouvoir le torturer toute sa vie”) méritent le détour.
A bientôt pour une prochaine lecture, dans un salon victorien, sur un bateau pirate ou au plus profond des étoiles.
Bonjour Luc de Sailly, Merci pour votre petit mot concernant mon interprétation ;-). Ces “rôles” de composition sont toujours très plaisant à enregistrer :-). Je suis heureuse de lire que vous avez apprécié. Merci ! – Bien à vous, Esperiidae
merci pour ces merveilleuses heures d’écoute
Bonjour Silviane,
Merci à vous ! Toute l’équipe se joint à moi pour vous remercier de votre petit mot. A très bientôt !