« Les doux sentiments de la vie n’occupaient là qu’une place secondaire, ils animaient trois cœurs purs, ceux de Nanon, d’Eugénie et sa mère. Encore, combien d’ignorance dans leur naïveté ! Eugénie et sa mère ne savaient rien de la fortune de Grandet, elles n’estimaient les choses de la vie qu’à la lueur de leurs pâles idées, et ne prisaient ni ne méprisaient l’argent, accoutumées qu’elles étaient de s’en passer. […] »
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Livre ajouté le 26/04/2009.
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Grand merci, Florence, pour ce retour qui me touche vraiment.
J’ai redécouvert ce roman, lu jadis, au fil de cette lecture si vivante que j’ai souvent eu l’impression de voir le père Grandet s’agiter au milieu des siens. C’est un texte difficile, chapeau bas!
Bonheur parfaitement partagé, chère Claryssandre!
Moi, je vous trouve très éclectique! Et bien curieuse! Et, pour nous les DDV, une parfaite audio-lectrice!
Quel bonheur cette lecture ! J’adore ! Merci chère Pomme !