Donneuse de voix : Ariane | Durée : 21h 47min | Genre : Romans
Si Les Illusions Perdues, notre première rencontre avec Lucien de Rubempré, était une scène provinciale de flirts maniérés et de suicides ratés, dans Splendeurs et misères des courtisanes, Balzac nous plonge, toujours avec élégance, dans la sexualité la plus crue (pourtant bien distincte de l’amour) et dans la jungle de la vie parisiense. Dans Splendeurs, on réussit ses suicides, Esther d’abord, Lucien ensuite, et seuls survivent les forts, ceux qui malgré leurs déchirements savent se glisser dans tous les déguisements et asservir à leur tour cette société qui écrase les faibles.
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Merci Ariane,
J’apprécie votre lecture.
Merci beaucoup pour cet audio
Je suis trop contente
Tetiana – Ukraine
Je suis assez scandalisé par les commentaires presque insultants qui se sont amoncelés ici. Bravo Ariane pour cette lecture intense, qui fait ressortir toute l’intelligence du texte. Votre rythmique est impeccable et votre emphase n’a rien d’excessive, j’ai pris un plaisir fou à vous écoutez lire ce chef-d’œuvre que seul dépasse “Illusions perdues” (dont il est en quelque sorte la suite) Vous avez la clairvoyance de ne pas exagérer le parti-pris – pour le moins contestable – de Balzac de ridiculiser le français du Baron de Nussigen en atténuant la caricature, et je vous en suis gré ! Merci pour ce travail magnifique.
Merci beaucoup Ariane. J’ai écouté chaque minute de cet énorme roman. J’ai apprécié à la fois le roman et votre interprétation romantique de Balzac
Que les gens sont donc exigents.
Jamais je n aurais lu ce texte seule,aussi quel plaisir qu une autre personne me le lise.
Et votre exaltation a su me charmer.
Ne vous laisser pas decourager
Bonjour Voldar,
Consultez le commentaire déposé aujourd’hui même par un audio-lecteur sur un enregistrement de René Depasse (Loti – L’oeuvre de Pen Bron) pour vous convaincre que nous sommes TOUS en risque.
Ce sont les splendeurs et misères des donneurs de voix. Et il faut mieux en rire !
Jean-Pierre
Pour Christiane-Jehanne
Bien sûr, vous avez droit à votre opinion,
mais il semble évident (à moi et à mes amis )
que, sur ce site, on entoure monsieur R. Depasse de flatteries, de soie et de coton ouaté.
Il doit y avoir une raison, j’imagine.
Pour Augustin et Cocotte:
Augustin
Je ne signifiais pas le sexisme dans les échanges,
mais dans le fait qu’on défendait un homme
(R.Depasse) et non une femme (Ariane)
Cocotte
Je vous trouve bien indulgente pour les propos tenus par Robert, Lou, Josef, “Dame-Fée”(sic), Natalia, Mme C.,Vic et Sans-Dents.
Si j’étais lecteur qui avait pris le temps de lire ce long texte, j’aurais beaucoup de peine
que des gens soient si peu délicats.
Cher Voldar,bonjour,sans vous offenser,je dois dire que j’ai le méme avis que Cocotte.
Alors…vive Ariane,son LivreAudio,tout son travail…
Vive René,que nous avons défendu…sur le forum…
Et,bien sûr,vive la belle litterature,c’est l’essentiel !la faire connaître,la partager!
Belle journée à vous.
Toutes mes amities.
Christiane-Jehanne.
Bonjour, Voldar
La différence, c’est que les commentaires sur la lecture d’Ariane ne critiquent que sa vitesse de lecture, son interprétation, qui peut plaire ou ne pas plaire, tandis que les commentaires visant René Depasse attaquaient sa personne, ce qui est inadmissible, et le nombre de ses lectures, qui sont une aubaine pour les audio lecteurs et montrent beaucoup de générosité de sa part.
Cordialement
Cocotte
Bonjour Voldar,
Je n’ai pas relevé de propos sexiste ou s’en prenant à la personne d’Ariane dans les échanges ci-dessus, mais bien sûr n’hésitez pas à me signaler tel ou tel commentaire précis si vous en voyez un !
Bien cordialement,
Augustin
Objection votre honneur !
Je m’interroge à propos des commentaires négatifs sur la façon de lire d’Ariane.
En 2015, il y a eu aussi une controverse d’opinions sur René D.
Ce fut une levée de boucliers pour le défendre
alors que pour Ariane, les modérateurs ont laissé passer des propos désobligeants, même offensants.
Y aurait-il du favoritisme ou du sexisme à relever sur L.A. ???
A Caton
Etant parisien, j’ai plaisir à confirmer tête bout 😉
Bonjour à tous
Moi je trouve le ton de la lecture d’Ariane parfait. Ce cher Honoré de B. nous entraine dans un monde pathétique d’égoïsme et de méchanceté devant lequel il est difficile de rester impavide.
Merci à Ariane de ne pas avoir masqué ses émotions.
Petit détail anecdotique: Je crois, que les parisiens prononcent Taitbout comme tête bout. Pour une fois, on peut les suivre.
Merci encore à Ariane
Les voix sont vraiment une question de goût personnel, mais vous avez raison, monsieur Baillot, Ariane a eu beaucoup de courage et de mérite d’avoir traversé ces 21 heures de lecture !
Pour cela , je la remercie chaleureusement !
Tout comme vous, Sans-Dents, j’apprécie vraiment beaucoup la voix de Bernard sur Librivox.
C’est un “maitre-lecteur” !
Vous pouvez tout de même télécharger Les Lettres sur le site https://archive.org/details/LesLettresPersanes
ou emprunter le document à votre bibliothèque locale. Il y a une version lue par l’excellent Jacques Perrin.
Cela devrait se trouver, en effet 😉
De toute façon, je ne désespère point, et je reste à l’affût. J’attends le donneur de voix qui osera relever le défi de faire une version 2 de ce texte.
Sans dents, mais avec des oneilles.
Elle est à toi cette morue,
Toi le Sans-Dents qui sans façons …
Dommage, mais il ne vous est pas interdit de changer de résolution une deuxième fois*. 🙂
* Une deuxième fois de morue.
@ Sans-Dents
L’huile de foie n’aura pas suffi. Je renonce à la version 2 que j’envisageais. D’autres, plus jeunes et plus joufflus, pourront s’y coller s’ils le souhaitent.
Quant à moi, je salue le courage d’Ariane d’avoir supporté Rubempré pendant 22 heures (un peu moins en fait… mais ne gâchons pas le suspens !). Heureusement, il y a Vautrin me direz-vous !
Vous avez bien fait pour l’huile de foie de morue. Dans mon état… ce sera long.
J’ai quand même renouvelé mon stock d’huile de foie de morue — à tout hasard.
La version 2 avance, j’espère 😉
Nous en sommes tous là… je perds, à l’instant, ma première dent. Courage !
Merci, Jean-Pierre Baillot, pour votre réponse.
Il va falloir que tous les deux nous survivions, ce qui en ces temps d’agression fiscale, de hold-up locatif, de harcèlement bureaucratique, d’attentat au bon sens et au bon goût, de nuisance médiatique, de sadisme législatif, de violences météo et écologique va être assez duraille, mais nous tenons bon grâce à l’huile de foie de morue.
Bonjour Sans-Dents,
Je ne sais pas quand vous prévoyez de mourrir.
Je ne suis sans doute pas la grande voix que vous espériez.
Je suis, cependant, déjà inscrit pour une version 2.
Il vous faudra patienter et… survivre.
Jean-Pierre
Par tous les diables et par tous les saints ! s’il y a un texte qui mérite une version 2, c’est bien “Splendeurs et misères des courtisanes” d’autant plus qu’il est introuvable ailleurs en audio.
J’attends qu’il soit lu par une des grandes voix de ce site ou par l’excellent Bernard du site https://librivox.org, qui a lu presque tout Balzac et dont le style serein, tout le contraire de celui de la lectrice Ariane, me convient parfaitement.
Puisse mon vœu être exaucé avant ma mort, prochaine !
Il est vraiment difficile à comprendre au nom de quoi la lectrice éclate sur chaque mot mais chaque mot. Dommage, dommage, dommage…
Assez déçue, moi aussi, je n’ai pu poursuivre l’écoute au-delà de cinq minutes. Trop dommage !
J’ai commencé l’écoute de ce Balzac que j’avais hâte de découvrir ailleurs que sur le papier… Aïe, aïe, aïe… En effet, la lectrice lit ce texte comme elle lirait une tragédie racinienne, emportée par des vagues d’émotions extrêmes injustifiées ; on a l’impression qu’elle va se mettre constamment à crier ou à pleurer. C’est malheureusement très stressant à écouter sur un long moment… Quel dommage !!!
Tout à fait d’accord avec Josef, les auteurs à textes “lourds” doivent diriger le lecteur, et non l’inverse;
J’ai malheureusement abandonné au bout d’une demi heure, je trouve que vous en faites beaucoup trop. Les effets sont mal placés : on a bien du mal à distinguer le dialogue du reste, et les mots sont plus ou moins marqués de manière anarchique, jusqu’à gêner la compréhension. C’est dommage…
– Merveilleux! Merci!…
D’accord avec les commentaires précédents. Il faudrait une lecture normale. La force du style balzacien impose une certaine modestie au lecteur.
Je puis écouter sur 3 ou 4 jours une lecture de Zola faite par Pomme ou Depasse.
Il m’est impossible d’écouter plus d’une heure ici ; bien que je reconnaisse qu’il est préférable, vu que Balzac n’est pas un auteur tres facile, de le lire “dans le texte” si je puis dire.
Quel dommage ! Surtout que cela a dut vous prendre un temps fou d’enregistrer toute cette lecture…
Réservez donc ce type d’intonation lorsque le caractère d’un personnage s’y prête……
En tout cas, en tant que narratrice, on dirait juste que vous avez pris quelque chose qui ne vous réussit pas
En effet, dur, dur…
Je voulais dire «ni atémis dans les oneilles», celles du père Ubu, que j’ai bien connu à Varsovie dans les années 1894 à 1896 et avec qui je faisais de la luge dans le parc Ogrod Saski.
Une lecture calme et sans assauts de voix ni martelage de mots ni atémis dans les noreilles n’est pas une lecture scolaire, voyez par exemple le top dans le domaine, le lecteur René Depasse ; une lecture scolaire serait la lecture sans intonation d’un lecteur qui ne comprendrait pas bien ce qu’il lit.
Entre les deux, il y a selon moi, un moyen terme qu’il n’est pas facile d’attraper du premier coup.
D’accord avec Léon, la lectrice «en fait trop» (merci à Léon d’avoir osé le dire) et fatigue l’auditeur, qui est comme bousculé par ce qui ressemble de la part de la lectrice à une colère permanente.
Ariane, je ne pourrai pas hélas écouter le reste de votre texte, que pourtant je convoitais tant.
Merci Didier, je prépare en ce moment le Cousin Pons, j’espère que vous le trouverez à votre goût! les commentaires comme le vôtre m’encouragent beaucoup, je vous en remercie.
Ariane
Merci Ariane pour cette lecture si dense, grâce à vous, j’ai passé un momentsucculent!
Merci encore.
Didier Pilette – México City.
Merci Elise, à bientôt pour d’autres Balzac
Comme je suis contente merci.
Merci Léon de votre avis, je préfère pour ma part laisser libre cours à la passion du texte plutôt que de risquer une ces lectures plates et scolaires, hélas trop abondantes sur le web. Affaire de goût,donc,mais c’est justement ce qui fait la richesse d’une interprétation. J’espère qu’un autre lecteur vous donnera bientôt une autre version plus conforme à vos attentes! Cordialement,
Ariane
Merci pour cette lecture d’un texte aussi important.
Je me permets un avis personnel pour d’autres lectures : la diction est peut-être un peu trop fiévreuse et exaltée.
Peut-être faudrait-il faire davantage confiance au texte, en le laissant transmettre les émotions par le récit, sans chercher à marquer autant chaque mot en l’accentuant émotionnellement de cette façon.
Le trop grand nombre d’accentuations sur les mots hache la phrase, fatigue, et distrait l’esprit du cours du récit.
Un bon texte tient par lui-même et ne doit pas être trop surchargé par les émotions du diseur.
Bien cordialement et merci encore !