France, 5 franc (1821)

La Fausse Pièce de cinq francs

L’écrivain belge Cyriel Buysse nous raconte, dans cette nouvelle écrite en français pour La Revue de Hollande, une journée mémorable vécue par Théophilke et Deeske. Ces deux compères, jamais un sou en poche, disposent un dimanche d’une pièce de cinq francs. Bien qu’elle s’avère vite être fausse, les deux amis passent – grâce à cette pièce – le meilleur jour de leur vie…


Illustration :

France, 5 franc (1821).

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Livre audio gratuit ajouté le 08/08/2014.

5 Commentaires

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  1. Bonjour chère Irma,

    Lisant actuellement « Le monde des hommes » de Pramoedya Ananta Toer, j’ai écouté avec grand plaisir votre lecture de Multatuli, ce grand auteur, ami du poète Roorda van Eysinga, qui tous deux connurent l’exil pour avoir osé critiquer la politique colonialiste de leur pays.

    Merci de nous faire découvrir des auteurs peu connus en France, et pour votre courage à nous proposer des lectures dans une langue autre que votre langue maternelle. Vous avez toute mon amitié.

    Ahikar

  2. @ Irma
    Je dis ce que je dis et je le pèse d’une hanche sur l’autre, d’une jambe sur l’autre et d’une main ouverte la regardant de près de mes yeux vu, je déclare ce qui suit, conscient parfaitement de mes graves responsabilités devant tous mes frères humains qui après moi vivront –– à cette occasion solennelle j’en appelle (à gâteau) à Villon que j’ai bien connu dans mon école communale ––, je déclare donc ceci et cela qui ne m’est point opposable : merci, excellente Irma, d’avoir essayé, malgré votre accent de Marseille ou de Maubeuge, toutes bonnes et excellentes villes de France et depuis si longtemps dans notre patrimoine (bénits qu’ils soient-ils Clovis et Louis XIV, que j’ai fréquentés de près car nous avions eux et moi le même numéro de Sécurité sociale par un mystère que plusieurs générations de détectives grassement payés ne sont point parvenus à résoudre), accent à couper au couteau ; mais, cependant voire néanmoins ou pis, « eu » n’est pas forcément « eu » et « o » n’est pas forcémentement « o » non plus, une fois, et « Deeeske » ne doit pas trop ressembler à « DSK », car à trop y ressemblifier il y a méprise –– que Dieu me pardonne, mais je sais que lui sera au rendez-vous.
    Dieu, disais-je, avec qui je suis en contact permanent et constant par Internet, me confirme que vous avez des qualités grandes (belle voix, courage et audace, entre autres), mais… heu… comment dire, heu… ma très chère ?

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