« Je n’ai laissé passer ma vie complète que dans ces Mémoires.. ».
L’auteur, dans ce Livre 11ème, écrit à Londres en 1822, trouve les mots choisis avec son cœur, authentique, et son talent, vrai, et épousant si bien sa sensibilité pour évoquer son caractère introverti, son amitié, si belle, avec Fontanes (« Je lui dois ce qu’il y a de correct dans mon style ; il m’apprit à respecter l’oreille. »), son si profond chagrin éprouvé par la mort de sa mère, le 31 Mai 1798, à Saint-Servan, lui-même étant à Londres et comment il ressentit un besoin d’expiation et écrivit, dès lors, Le Génie du Christianisme : « Je me mis à l’ouvrage ; je travaillai avec l’ardeur d’un fils qui bâtit un mausolée à sa mère… »
Ce court livre est très profond et intime.
Hector Berlioz, Rêveries et caprice, Op.8, interprété par A.Rosand et l’ensemble Südwestfunkorchestra, dirigé par R.Reinhardt (1958, domaine public).
Chére Cocotte,
Chère Christiane-Jehanne
Une très bonne idée, de publier ces Mémoires de Châteaubriand. C’est une œuvre majeure de la littérature française.
J’attendais que le premier livre soit publié en entier pour l’enregistrer(comme beaucoup!).
C’est ce que je vais faire tout de suite et je me réjouis d’avance de ces quelques heures en votre compagnie.
J’espère qu’après une petite récréation, pour varier les plaisirs, ce qui est très agréable, vous reprendrez la lecture du livre 2.
Merci pour ce bel enregistrement.
Amicalement
Cocotte