Voici la première des enquêtes policières d’Elsa, la première détective privée de l’histoire de la littérature policière.
Aux environs de 1920, une bande de malfaiteurs que l’on désignait, dans les journaux parisiens, sous le nom des « Coupeurs d’habits » avait pris avec effronterie, pour théâtres de ses exploits, les endroits publics les plus fréquentés, théâtres, music-halls, métro, Nord-Sud, dancings, etc.
C’est ainsi qu’un soir, à l’Opéra, dans la cohue du bal des « Petits Lits Blancs », le plus sensationnel événement de l’année dans les chroniques de la mondanité bienfaisante, le comte de B… fut soulagé de son portefeuille, lequel contenait sept ou huit mille francs, ce qui laissait le volé assez insensible, et une lettre, vieille de vingt ans, dont la disparition l’atterra.
couverture de la première édition du livre
Chère Cocotte, quelle chance ! Je ne joue pas au Sudoku, je ne m’exerce pas aux mots croisés, mais j’écoute les lectures de Cocotte (et d’autres DDV). Suivant la complexité de l’intrigue, ou si les personnages sont russes, ou si ils sont désignés par des abréviations: le Comte O. de S. etc. j’écoute un stylo à la main et je prends des notes, je réécoute jusqu’à ce que la clarté et l’ordre s’établissent dans mon cerveau. Excellent travail donc. J’ai pu profiter de cette enquête après avoir bien compris l’enjeu. Que les autres audio-lecteurs ne s’effraient pas pour autant: des tests ont montré que mon cerveau ne traitait pas les informations comme la majorité des personnes. Merci pour cette lecture et surtout Cocotte, ne vous inquiétez pas de me dire merci ! Je vous embrasse. Amitiés de Marjolaine