Après un court préambule, suivons jusque dans son antre cette femme sublime et sulfureuse, qui cache une terrible blessure. Jusqu’où nous entraînera-t-elle pour venger le meurtre ignoble de son amant ?
Ce texte puissant traverse les années sans une ride. Il nous parle d’amour, d’honneur, de passion et bien sûr de vengeance. Cette histoire est arrivée hier, elle arrivera demain, tant que des hommes orgueilleux blesseront à mort des femmes amoureuses, et que la vengeance de celles-ci sera plus vitale que leur vie elle-même.
Après cette lecture, vous n’aimerez plus comme avant…
Cette nouvelle terrible et implacable est extraite de l’ouvrage Les Diaboliques.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Très belle diction, merci vraiment
Je poursuis avec vous l’exploration des nouvelles et romans de Barbey d’Aurevilly. Encore une histoire cruelle, effarante et terrible, que celle de cette femme vengeresse ! Votre lecture au rythme lent, à la voix posée et au ton juste, me semble mieux en révéler la noirceur et évoquer la fascination exercée sur le héros que ne le ferait une simple lecture «avec les yeux ». Merci, et encore bravo !
Une effroyable mais belle nouvelle, et surtout très justement interprétée. Merci
Sous le charme, tout simplement.
Comme vous l’écrivez plus haut , c’est une histoire palpitante !
Merci pour cette très belle interprétation !
Merci beaucoup! Magnifique interprétation!
Un grand bravo !
Merci Christophe
jeannedelaville
Excellent, bravo pour la diction. Très belle voix
Bien lu, bravo ; sans précipitation et d’une voix claire et assez naturelle.
Mais pas plus vite ! s’il vous plaît, ne changez rien, car il suffit d’un rien pour gâcher un bien en mal.
Merci.
lecture simplement envoûtante. Plongée vocale tout à fait adéquate dans ce symbolisme fin de siècle. On se pense devant la cheminée, à la table de Whist, écoutant quelque dandy raconter cette histoire en buvant son porto. L’effet -s’il y en a- ne se sent pas, les phrases s’enroulent avec naturel et surnaturel. Lisez nous d’autres textes! (les conte d’ Hoffmann? Les textes du Serpent vert? )
Un grand merci, Chère Elise, pour votre retour !
amitiés
Christophe Ménager : j’ai trouvé cela sublime. MERCI
Merci, chère Cocotte,
c’est très gentil et encourageant !
et bien agréable…
à bientôt
ch
Wouah! Que c’est beau! Quelle interprétation!
La nouvelle est très intéressante et vous lui donnez toute sa substantifique moelle.
Un grand, un très grand bravo!
Et mille mercis.
Cocotte
Le préambule est un peu phraseux !!!
mais après …c’est palpitant…
dès la première partie…