En Belgique, le Batty est un terrain vague, un terrain banal, qui sert de place publique. C’est l’endroit où se réunissaient les troupeaux avant leur départ.
Pendant dix jours, Kowka va observer le Batti, sa « dicasse », ou sa fête foraine, les stands de « chine », le tir aux pipes, le carrousel. Avec sa verve et son talent habituels, il nous invite dans un petit coin de sa Belgique, tantôt sous un soleil qui brille dans un ciel bleu digne de la Provence, tantôt sous un ciel gris, chargé de lourds nuages, mais toujours pittoresque et attachant.
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Illustration :
Paul Signac, Le marché de Vérone (1909).
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 02/03/2016.
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Chère Carole
Je vous ai écrit à l’adresse courriel indiquée, mais le mail m’est revenu “undelivred”. j’ai peut-être mal noté quand l’intitulé était visible. Mais surtout, ne redonnez pas votre adresse en public, peut-être oublié ou ajouté un point. Mais surtout, ne la redonnez pas, ce serait imprudent et Christine a eu entièrement raison de l’effacer.
Le plus simple serait, je crois, de m’envoyer un message privé, en allant sur le forum. C’est très facile, discret et sûr.
Kowka sera aussi heureux que moi de constater que vous aimez bien toutes les nouvelles qu’il a écrites. Je vous en remercie vivement et je suis très heureuse que ces lectures vous aient plu.
Amitiés
Cocotte
Bonjour cocotte (et Kowka)
quelle vie et quelle humanité traverse chaque jour le Batty.
Dix jours qui présentent un condensé de multiples animations sur le « Batty » ». La fête, le collectif, les traditions, la vie du village nous transportent avec nostalgie vers des années révolues.
Le narrateur est un observateur attentif qui parfois fait un tour en ville puis revient pour porter plus d’intérêt encore à « son » village et qui nous surprend aussi. Le sourire et la bonhomie habitent ce lieu sauf exception (ici est la surprise) , sauf quand parfois une inquiétude liée peut-être à la solitude traverse l’esprit, sauf quand l’humeur, d’un moment à l’autre ou d’un jour à l’autre s’effrite…
merci à Cocotte pour ce voyage du côté de la Belgique dont j’ai aimé le côté pictural réellement dépaysant.
Je ne connaissait pas cet auteur mais j’ai beaucoup apprécié ce texte qui retrace en détail les moments d’un fête villageoise. Très bien écrit et aussi très bien lu. 18 minutes de bonheur. Prochainement je crois que je vais écouter “Madison Creek” en espérant y prendre autant de plaisir. Un grand merci.