Antoine Fouquier-Tinville, estampe de François Bonneville (1796)

Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Partie 1 – Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Partie 2 – Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Partie 3 – Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Partie 4 – Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Partie 5 – Les Grands Jours du tribunal révolutionnaire

Louis Léon Théodore Gosselin, dit G. Lenotre (1855-1935), historien élu à l’Académie française en 1932 et surnommé « le Balzac de la Révolution française », est le maître de la « petite histoire » de cette période. Il écrit une histoire vivante, truffée d’anecdotes puisées aux Archives nationales. À partir de mars 1793, au plus fort de la Terreur, Paris vit au rythme du nouveau tribunal révolutionnaire : accusés, juges et jurés sont sous l’emprise de Fouquier-Tinville, l’accusateur public. En moins de 28 mois d’activité, il juge 2807 personnes et en condamne 2 742 à mort. Après la journée du 9 thermidor, Fouquier finit par être lui-même décrété d’accusation…


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Illustration :

Antoine Fouquier-Tinville, estampe de François Bonneville (1796).

Références musicales :

Bécourt, Ah ! Ça ira, interprété par Marcel Nobla et ses chanteurs, orchestre sous la direction de Marc Berthomieu (1961).

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Livre audio gratuit ajouté le 20/02/2018.

6 Commentaires

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  1. Très bon travail historique sur ce tribunal de Terreur politique . L’écoute est facilitée par une lecture de qualité .

  2. Au moins, la lecture ne traîne pas, et si l’on saisit mal certains détails, rien n’empêche de réécouter ou vérifier par rapport à la version écrite, ce que je vais toujours pour les noms propres ou de lieux. ;o)

  3. En parlant de “souffle”, si vous lisiez le texte de G. Lenotre, M. Le Barbon, vous seriez proprement asphyxié. Le lecteur croule sous le nombre des morts, des dénis de justice et des injustices.
    Il fallait bien débiter le texte comme l’a fait Gustave pour le rendre, sinon supportable, du moins audible.
    G.Lenotre est certes passionnant, mais quelquefois, comme il veut prouver la véracité de ses récits par des descriptions minutieuses, qu’il veut décrire, dans leurs moindes details, des lieux aujourd’hui modifiés voire démolis, qu’ il énumère les identités des témoins qu’il appelle à la barre de l’histoire, on peut lui adresser le reproche des Anciens à leur vénèré auteur : “même Homère s’endort quelquefois”. Ne reprochez pas à Gustave ce qui relève de Lenotre et rendons, de bonne grâce, hommage aux deux.

  4. Il faut du souffle, dit Agathe, mais c’est aussi l’auditeur qui doit en avoir, du souffle, car le lecteur l’emporte à grande vitesse, et il doit suivre. Je n’ai pas pu tenir plus de vingt minutes environ, l’audition d’un texte lu si vite demandant trop d’attention, un garde-à-vous permanent. C’est épuisant.
    Certes la voix est bonne et claire, mais cela ne suffit pas. Quelle déception! Un texte a priori si intéressant!

  5. Merci, Gustave, de vous être intéressé à G. Lenotre. Vous comblez ainsi une regrettable lacune du site littérature audio. Avouez cependant que vous n’avez pas choisi le texte le plus facile ni le plus drôle.
    Je vous admire d’avoir, d’un semblable souffle, pu embrasser pareille apocalypse.
    Quand pourrait-on espérer que votre voix et votre belle lecture se prêtent à des narrations plus joyeuses de G. Lenotre ? Sa prolixité devrait vous laisser le choix.

  6. 2700 condamnés à mort sur 2800 inculpés;et après ça on dira que la république est clémente,voire laxiste…

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