Jack London (1902) - portrait colorisé

Tuer un homme

Une jeune femme de la haute société de la côte Est des États-Unis, surprend une nuit un cambrioleur qui la menace de son revolver. L’homme, originaire de l’Ouest, prétend s’être introduit dans la place pour se faire justice lui-même et reprendre son dû. Selon lui, il aurait été ruiné par les agissements crapuleux du mari de l’habitante des lieux, un vieux crocodile de la finance sans scrupules. Il s’ensuit un face-à-face haletant, dans lequel transparaissent les rapports de classes.

Titre original : To Kill a Man, première publication dans The Saturday Evening Post le 10 décembre 1910.

Traduction : Louis Postif (1887-1942).

Illustration :

Jack London (1902) – portrait colorisé.

Références musicales :

Ludwig van Beethoven, Egmont Op.84, Ouverture, interprété par l’ensemble Vienna Festival Orchestra, dirigé par Josef Krips, (1962, domaine public).

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Livre audio gratuit ajouté le 09/05/2016.

10 Commentaires

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  1. Bonjour Kamel,
    Il m’est difficile de répondre à votre question. Apprendre une langue étrangère par la littérature me semble être une voie ardue. Je me permets toutefois de vous conseiller de commencer par des oeuvres courtes, assez simples dans leur forme et pas trop anciennes (19ème-20ème siècles) : contes, nouvelles, poèmes, courts romans, théâtre dit “de boulevard”(de préférence des comédies légères). Les textes sophistiqués et avant-gardistes sont à éviter, bien sûr. Mais c’est à chacun de “faire son miel”, en fonction de ses goûts et de ses centres d’intérêt, de ses connaissances et du temps dont il dispose.
    En tout cas, je vous remercie de votre message très amical et de l’attention que vous portez à notre site et à notre langue. Je vous souhaite plein d’heureuses découvertes. Bien amicalement,
    ALAIN D.

  2. merci claudine l est les autres. avec vous kamel professeur denseinement superieur -lettre arabe- jais enseigner 18 ons coure moyen est 8ons coure secondaire est 3 ons coure superieur-lettre arabe. je suis on coure aves vous. jais ecuter plusieurs parties -romans-contes-poemes-histoire….
    merci merci.
    comment faire pour ameliorer notre ecriture, est lecture,est notre parole on francais.
    est ce que vous avez des livre simple poure prendre le francais. merci.
    kamel wilaya adrar sud-ouest, 1500 klm du capital alger.

  3. Bonjour et merci Vicmiami,
    Je ne pense pas, hélas, qu’il existe actuellement de version de ce texte (traduction française) libre de droit sur l’internet. Je peux par contre vous donner les références de l’ouvrage utilisé pour ma lecture : Jack LONDON – “Les condamnés à vivre” – Union Générale d’Editions – 1974 – Collection de poche 10/18, Christian Bourgois Dir. – N°890 – Chapitre III – Pages 71-95.
    Merci de l’intérêt que vous manifestez pour notre site. Amicalement,
    ALAIN D.

  4. Merci, Claudine L., Christiane-Jehanne et Shmuel pour vos commentaires.
    Je pense comme Christiane-Jehanne que notre site offre une telle variété qu’il y en a pour tous les goûts et pour tous les états d’âme du moment.

    Pour ce qui est du comique, j’ai prêté ma voix à Scapin, Figaro, Petit Jean des “Plaideurs”, Pierrot du “Dom Juan”; au voleur du “Scrupules” de Mirbeau ; aux personnages comiques de Labiche, Courteline, Satie (Méduse), Goldoni, Musset, aux aventures d’Arsène Lupin etc. ainsi qu’aux écrits plein de verve d’Erik Satie (encore), Louis Pergaud, Gaston Couté, au Balzac du “Napoléon du Peuple” à la veine héroïcomique, etc.

    Shmuel, pour les yeux de Mme Setliffe, je pense que London a procédé à une extension de sa comparaison = elle avait des yeux aux REFLETS changeants, comme LA PEAU d’un caméléon, animal à qui l’on attribue la faculté, par mimétisme, de se confondre avec son environnement, à des fins de camouflage. Bon, maintenant, si Jack London avait été francophone, on aurait peut-être pu risquer l’explication suivante : les yeux de Mme Setliff étaient très bizarres et pouvaient faire penser qu’elle avait abusé de quelque produit stupéfiant prohibé, ce qui aurait conduit notre grand écrivain (qui lui-même ne suçait pas que des glaçons de l’Alaska, soit-dit en passant), en quelque sorte par contagion sémantico-humoristico-lamentable, à utiliser de façon subliminale un jeu de mots que l’on pourrait qualifier de pathétique et affligeant : – “Mais, t’es camé, Léon !” Cette pseudo explication, je vous la donne ex abrupto, elle ne vaut que ce qu’elle vaut, c’est-à-dire moins que rien, ce qui, comme le disait le regretté Raymond Devos, est déjà quelque chose !

  5. Chere Claudine L.Bonjour, En principe, je laisse le DDV du livre répondre , mais là, je me permets, pour une petite fois…
    La tres belle voix d’Alain convient pour faire bien “entendre”
    ce très beau texte… Rien de dommage,, chere Claudine L. et
    en toute amitié, mais un régal….
    Et, certains textes sont plus sombres, certes.
    Toute la richesse de la litterature et de notre site , comme vous
    le savez.
    Espèrant ne pas vous avoir offusquée, chere Claudine L. et
    comptant sur votre bonne compréhension.
    Toutes mes amitiés.
    Chr.-J.

  6. Vous avez une très belle voix.
    Dommage de l’utiliser pour une histoire sombre.
    On a besoin de joie , de soleil, d’amour !

Lu par Alain DegandtVoir plus

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