B

Beautemps

Ses commentaires les plus récents

  1. Chère Cocotte,
    quelle jolie histoire m’avez-vous choisie-là! Elle est tout à fait belle et je suis très émue! La récolte dans un endroit si extraordinaire, quelle belle image et quelle bonne idée et quelle audace du jeune homme! Maintenant je comprends d’avantage pourquoi vous avez choisie l’image de Van Gogh. Vous m’avez beaucoup touchée!
    Je vous envoie mes chaleureuses amitiés et une fleur d’iris, fraîche encore, qui s’ouvrira demain chez vous,j’éspère,
    Katja

  2. Chère Cocotte,
    un très grand merci pour cette lecture! Elle m’a montrée une fois de plus la différence entre notre monde rapide et sans distance et celui du passé. Chez mes ancètres il y avaient encore des cas de clairvoyance, p.ex.: Un jour un enfant a rigolé en voyant une autre personne pas trop estimée de lui tomber dans un lac dans la forêt – et cela à partir de sa propre fenêtre au lieu de voir le jardin qui s’y trouvait en réalité. Quelques temps après l’autre personne est revenue de sa
    promenade, toute trempée d’eau, étant tombée dans un lac lors d’une promenade en forêt(en plein jour, sans pensées réciproques). Aujourd’hui on n’y croirait pas, notre mode de vie ne favorise peut-être plus de telles évènements, toujours rares d’ailleurs. La personne dans ma famille à laquelle se sont passés ces choses-là préfère ne pas en parler, mais je pense que cela est bien entre vos mains et que cela pouvait vous intéresser, et je vous suis encore une fois très reconnaissante de m’avoir donnée si généreusement de la distraction et du calme dont j’avais vraiment grand besoin! Merci beaucoup pour ce témoignage de la manière de considérer les choses dans une époque si positivement différente de la nôtre et oú on ne se décourageait pas aussi vite, poursuivant „sa“ voie avec tenacité quand il l’a fallu.
    Je vous envoie mes chaleureuses amitiés et une fleur de capucine rouge du jardin,
    Katja

  3. Chère Cocotte,
    heureusement vous avez un jardin pour vous y promener! Merci de m’y avoir cueillie cette jolie fleur! Je vois le danger peut-être un peu comme vous et je me demande d’ailleurs si il n’y a pas une correlation entre nombre de particules de possière e l’air et graveté. En ce qui concerne la lecture, j’ai une bonne vue et donc je préférerai laisser choisir d’abord d’autres qui n’ont peut-être pas un choix aussi libre que moi, mais je trouve vraiment extrêmement gentil de vorte part de me faire cette proposition!! Je suis curieuse de découvrir « Les deux destinées »! J’éspère qu’il y aura aussi du soleil chez vous!
    Mes chaleureuses amitiés et une grande pivoine rose du jardin de mes propriétaires!
    Katja

  4. Chère Cocotte,
    merci beaucoup de votre aimable réponse! malheu-reusement pas tout se normalise ici: hier à minuit (!) un hélicoptère planait pendant environ vingt minutes bruyamment sur notre quartier et aujourd ’hui dans l’après-midi pendant des heures entières on pouvait l’entendre du proche et du loin. Et la première chaîne de télévision allemande ARD avait fait un réportage l’an dernier sur Bill Gates qui a vacciné des petites écolières en Inde sans en prévenir leurs parents. Les filles étaient mortes à la suite et les parents n’avaient aucune idee pourquoi! Titre du réportage: „Die WHO am Bettel-stab – Was gesund ist, bestimmt Bill Gates“ („L’ organisation mondiale de santé au bâton des men-diants – ce qui est bon pour la santé nous dicte Bill Gates“) La même chaîne de télévision invite cette année Gates comme grand expert en virologie. Quel changement d’avis en si peu de temps!! Et personne ne parle du réportage de l’an dernier. Voilà pourquoi j’aime si bien écouter Bazin en ce moment: Le bon est le bon, le mauvais le mauvais et on sait toujours quel parti prendre. En vous écoutant, mes pensées commencent peu à peu à se normaliser. Les gens dans ces romans, même les „mauvais“ sont droit et franc. J’ai juste commencé d’autres Bazin et je suis un peu en retard avec mes commentaires, mais cela viendra!
    Je vous souhaite une excellente journée!
    Mes chaleureuses amitiés,
    Katja

  5. Chère Cocotte,
    merci beaucoup pour cette lecture que vous avez lu avec tant de vivacité!! J’en ai l’habitude mais je m’en réjouis toujours de nouveau! La raison de la ruine est donc le découragement et non l’évènement lui-même, au moins en ce qui concerne les amours de Michel et de Gilbert dans ce roman. Grace à un changement intérieur, Gilbert a changé son point de vue. J’ai bien aimé la description énigmatique du vent (du changement) au début du livre, et son introduction en tant que vrai héros. J’ai bien aimé aussi l’image de Van Gogh que vous avez choisie. Il peignait en symboles, lui aussi. Il a été tué d’ailleurs, jamais il aurait se laissé décourager (thèse de Gregory White-Smith et Steven Naifeh). Vous m’avez fait un très grand plaisir et mis un peu de calme et de “normalité” en moi dans ces temps troublantes.
    Bien chaleureusement, et bon courage 🙂
    Katja

  6. Chère Cocotte,
    voilà je suis soulagée! Des fois je doute un peu trop de moi-même! LE “déjeuner” comprend toutes sortes de boisssons. Le mien de ce matin était plûtot frugal, galettes suédoises et petit café comme d’habitude… En ce qui concerne l’auteur Allemand: Vous pourriez m’envoyer une liste des noms propres et je vous ferai un enregistrement vocale, cela est très facile avec mon portable et j’en ai l’habitude. C’est comme vous vous voulez! Je connais un peu les astuces de la phonétique. En plus, un petit accent francais ne gênera personne! Tout le monde a bien son petit accent, moi aussi :-)!
    Amitiés et à très bientôt,
    Katja

  7. Bonjour Chére Cocotte!
    J’éspère qu’après ma description du déjeuner vous ne regrettez pas tant Vienne, ce n’est pas pour cela que je l’avais écrite mais j’ai voulu vous donner un tuyau presque inconnu même parmi les Viennois(40€)! J’éspère vraiment que vous ne m’en voulez pas!! Je suis sûr que si vous me parliez de votre endroit, tout de suite je voudrais y aller également! Ce qui manque d’ailleurs aujourd’hui quand on écrit des messages électromiques, c’est de la lenteur. On parle – dans le domaine du travail – même de la formule “KISS” (keep it short and simple). Comme j’ai horreur de cela! Vous trouvez si bien les mots! Ca rechauffe vraiment le coeur de vous lire!! J’éspère bien vous retrouver sur les pages de ma prochaine lecture et je me réjouis de vous écouter entre-temps lisant “Le blé qui lève”!
    Amitiés et à très bientôt,
    Katja

  8. Chère Gaelle,
    je dois ajouter peut-être que Mme B. avait une fille et non un fils comme la Madame Dor du roman et que som petit bistrot situé sur le quai de Camaret et redevenu une maison privée depuis bien des décennies. Mais même si sa petite maison sera en vente un jour, jamais je n’oublierai ceux qui y ont vécus jadis, aussi sa petite-fille Gaelle qui avait mon âge que j’ai beaucoup estimée. La vue de cette carte ancienne, le nom de Gaelle et l’histoire qui se déroule à Camaret m’ont fascinés pour bien de raisons! Grand Merci encore! Je vous souhaite un bon week-end et joyeuses pâques!
    Katja

  9. Merci beaucoup, chère Cocotte, de partager tous ces jolies souvenirs!”Gemütlich” est le mot juste. On ne presse pas son
    pas quand le métro arrive, mieux vaut de le manquer et d’attendre le train suivant ;-)! Je vous recommande également le
    “petit déjeuner” dans le Sacher, c’est dans l’hotel à côté, j’y ai été invité une fois pour mon anniversaire!
    Quelle splendeur inoie à l’intérieur!! Les boiseries, les meubles, les salles entières avec des dégustations! Du champagne si on en veut! (Il faut réserver d’ailleurs.) Mais je ne veux pas que vous regrettiez la France, je suis sûre que vous vous trouvez dans un bel endroit que moi, je regretterai également! Vous me repondez si vite et si aimablement que je ne sais pas quoi répondre! C’est si aimable que j’ai un très grand plaisir à vous lire!!
    Amicalement et à très bientôt, Katja

  10. En effet, la belle carte postale si bien choisie a tout de suite attiré mon attention! Mes parents avaient fait à Camaret la connaissance de Mme B. dont je n’ai qu’un souvenir vague mais très chaleureux, étant petit enfant à l’époque. Son mari, un marin, avait trouvé la mort dans la mer. Après sa mort elle avait fait de son salon un tout petit bar sur le quai. Mon père s’était souvenu même après notre retour en ville, et encore longtemps après, de cette phrase d’elle qu’il citait à de rares occasions d’une voix grave: “Non, je n’aime pas la mer.” Votre lecture me rappelle donc une partie de mon enfance et
    m’a fait un grand plaisir! Grand merci à vous, Gaelle!
    Katja Beautemps

  11. Un très grand merci pour votre si aimable et si chaleureuse réponse d’une immense gentillesse!! Je dois ajouter que vous m’aidez beaucoup non seulement à surmonter l’espace du temps (j’ai fini mes études de Francais vingt ans auparavant, circonstance qui se fait de plus en plus remarquer) mais aussi celui du lieu (car la distance est encore plus grande depuis mon déménagement à Viennes). En ce moment j’écoute votre lecture de “Le blé qui lève” 🙂 – Très grand merci!
    Amitiés! à très bientôt,
    Katja

  12. Chère Cocotte,
    merci beaucoup pour votre très gentille réponse!! Je perderai presque tout contact avec la langue si ce site n’existait pas et je vous comprends si bien car la vitesse ne vous empêche pas d’articuler très clairement, même quand ca va vite! Et c’est evidemment une bonne évasion de cette situation-ci, on se retrouve dans un tout autre monde (il le semble au moins). En ce cas on se retrouve dans une ferme chez une famille dont le héros veut faire son chemin. Peut-être ce chemin est plus facile quand on sait vers oú s’orienter. Réussir quelque chose pour arriver à quelque chose d’autre n’est pas si facile, je pense, même pour le plus intelligent. Sur ce fond tragique j’ai bien aimé les petites descriptions, les fleurs des châtaignes comme des sapins de noel roses et blanches par exemple.
    Amicalement, et à bientôt,
    Katja

  13. Merci beaucoup pour la lecture!! On peut vraiment bien s’imaginer comment les gens ont pensé à l`époque. Je viens à Camaret de temps en temps dès 1977 et j’e viens de retrouver une vielle carte postale, achetée là-bas et sur le dos de laquelle il est écrit:
    « Mon père était comme ses pères, un matelot…
    Mon pére était comme ses pères,
    traîneur de filets. » (J.-P. Calloc’h)

  14. En effet, je me suis trompée du livre! En confondant les titres (Madame Dor et Donatienne), j’ai dû avoir la tête un peu ailleurs – j’en ai un peu l’habitude, tout est en ordre ;-). Quel bon exemple pour des passions “ensevelies” qui peuvent soudain renâître comme si de rien n’était, hors du temps et de l’espace. Merci pour le partage!

  15. Bonjour Cocotte!
    Un très grand merci pour cette lecture et pour tant d’autres!! Je vous comprend toujours bien, bien que je suis Allemande et que je ne comprend des fois pas trop quand les gens se parlent entre eux en Francais! Votre voix m’est déja très familière après peut-être des centaines d’heures de sorte que, dans mes dernières vacances, je me suis sentie bien, à l’aise et comme chez moi en vous écoutant! ENFIN et bien tard un très grand MERCIII pour tout ce que vous faites!!!!
    Bien cordialement,
    Katja-Beautemps

  16. Merci beaucoup pour la lecture!! On peut vraiment bien s’imaginer comment les gens ont pensé à l`époque. Je viens à Camaret de temps en temps dès 1977 et j’e viens de retrouver une vielle carte postale, achetée là-bas et sur le dos de laquelle il est écrit:
    “Mon père était comme ses pères, un matelot…
    Mon pére était comme ses pères,
    traîneur de filets.” (J.-P. Calloc’h)

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