Les Pardaillan

Les Pardaillan

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Les Pardaillan sont une série de 10 romans populaires, écrite par Michel Zévaco. Ils sont parus tout d’abord sous la forme d’un feuilleton, entre 1905 et 1918, dans La Petite République socialiste, puis dans Le Matin.

Les Pardaillan peut aussi désigner, plus spécifiquement, le premier cycle de cette série.
Cette vaste épopée commence le 26 avril 1553, sous le règne de Henri II de France, et se termine sous le règne de Louis XIII de France, pendant la régence de Marie de Médicis, en 1614. Elle comprend donc toute la période troublée des guerres de religion et se structure en cinq cycles de deux livres chacun.
Dans le premier, Pardaillan, héros généreux et séduisant, et son père sont principalement opposés à Henri de Montmorency, maréchal de Damville, lequel se déchire de jalousie avec son frère, François de Montmorency.


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Livre audio gratuit ajouté le 22/03/2015.

75 Commentaires

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  1. Chère, chère cocotte,
    Je saisis l’occasion de la découverte de Zévaco grâce à votre lecture, pour vous remercier de toutes ces belles lectures que vous nous donnez; quel persévérance, quel beau don de temps!
    Comme il est bon de s’entendre lire une histoire, un charme d’enfance retrouvé…
    En pleine boulimie de lectures distrayantes et de roman historique, cette double évasion dans l’exotisme du temps conté et de celui de l’auteur, toute déconfite d’en avoir fini avec Dumas, je ratissais la Toile sans trouver beaucoup de joyaux à mon goût. Quant au roman picaresque, presque rien, hélas…
    Et là, youpi! “Les Pardaillans”…oh, mais çà me dis quelque chose, çà… voyons… re-youpi!… voyons qui lit…re et re youpi! je clique et reclique, dézippe et zou, en route pour le passé. Un peu mélodramatique, roman de victime et de cape et d’épée comme le veux l’époque, mais je me laisse emporter; Quelle joie de savoir que vous enregistrez les autres. Et Zévaco, il y a de quoi faire!!!
    Alors çà y est le pas est fait et je suis abonnée, pour mieux profiter de votre site que je vois grandir depuis des années, et où l’on peut combler ses lacunes en classiques, relire en écoutant, s’instruire, écouter ce que l’on a peine à lire ou est fait pour l’oral, comme le théâtre, se distraire ou s’amuser, au gré de l’humeur.
    Merci, merci à toutes ces voix humaines qui accompagnent de leur présence et de celles des auteurs.

  2. Cher Benoît

    Oh! Quel plaisir de recevoir au réveil un commentaire comme le vôtre! Il me met de bonne humeur pour toute la journée.
    Soyez content, il y a encore 8 autres tomes de Pardaillan qui nous attendent. J’espère que Pipeau sera encore présent pour nous amuser comme il sait si bien le faire!
    Je suis très touchée de recevoir un si beau message d’un ami Québecois. De nombreux audio lecteurs habitent ce magnifique pays, si proche de nous par le cœur.
    Amitiés chaleureuses et sincères et un grand bonjour au Québec!
    Cocotte

  3. Chère Cocotte,

    J’achève -malheureusement –
    l’écoute des derniers chapitres et je suis de plus en plus attaché à votre voix !
    Les passages comiques vous conviennent
    à merveille !

    Je suis Québécois et j’aurais le goût de vous chanter, avec Yves Duteil:
    “C’est une langue belle avec des mots superbes
    Qui porte son histoire à travers ses accents…”

    Grand merci pour toutes ces belles lectures
    que vous nous offrez si généreusement !

    Amitiés de l’autre côté de l’Atlantique,
    Benoît

  4. Chère Cocotte,
    il faudrait comparer avec le patois local ; en Languedoc, on dit par exemple parpa-i-llot pour dire les protestants, ça vient de parpaillou, papillon, et par ailleurs, pè-i-lle = chiffon, donne “un péillarot” ou “une péïarote”, ceux qui ramassaient des chiffons et des peaux dans les rues en criant : “Péééillarot, pé de lapi !!!”je ne sais pas l’orthographe, je l’entendais comme ça.
    Ma mère, après avoir “espeillé son lapin en l’ayant “estabousi” (quand même, quand j’y pense. Comment je supportais ça ? Des fois je le tenais quand elle l’espéillait.. Bon, mes parents, villageois, tuaient pour manger, c’est pourtant vrai…)donc, ensuite, elle gardait les peaux pour ces malheureux chiffonniers.Quand on est mal habillé on ressemble à une péillarote … Quand on va faner on loue un dallaïre, avec sa daille, sa faux. Mais ça c’est des expressions du Midi Languedoc et Sud-Est, je ne sais rien du Sud-Ouest.
    Amicalement

  5. Chère Christiane
    A vrai dire, j’ai prononcé Pardé un peu au hasard. Fédorifor a dit que c’était la bonne prononciation, donc j’ai continué ainsi, mais votre commentaire m’a fait réfléchir. On prononce ca-ille, ma-ille, etc. Alors, pourquoi pas Parda ? Je suis perplexe.
    Il est trop tard pour modifier la prononciation dans le tome 2 qui est presque fini, mais, pour les suivants, je prononcerai comme on me le conseillera. Peut-être Aegidius, qui est un érudit, pourra me renseigner. Et il y a sûrement des auditeurs qui savent exactement et voudront bien me faire part de leurs connaissances.
    En tout cas, merci d’avoir soulevé la question.
    Amitiés
    Cocotte

  6. dites-moi, Cocotte, par curiosité, pourquoi on prononce Par-dé-illan ? c’est tout simplement comme ça ou il y a une raison ? je suis curieuse de nature et je sais que c’est ainsi qu’il faut le dire puisque Fédorifor vous en félicite dans son commentaire ?
    Merci pour votre gentil mot à la page d’Héloïse. Bien à vous, ma chère.

  7. Oh! Que je suis contente de vous retrouver, chère Paruline! C’est moi qui remercie les aimables audio lecteurs pour leurs si encourageants commentaires.
    Quel plaisir pour moi de savoir que j’ai pu partager quelque chose avec vous tous.
    Grâce à vous, l’Epopée d’amour avance plus vite que prévu! Je voudrais tant qu’elle vous plaise! Il y a du rire, de l’horreur et des larmes! Du grand Zévaco!
    A bientôt, j’espère
    Amitiés
    Cocotte

  8. Cher Jean-Pierre. Je vais vous faire une confidence: mes grands-parents portent le même nom que le monsieur dont vous ne voulez pas faire la publicité. Il est donc normal que je me décarcasse, moi aussi!
    Que voulez-vous, l’hérédité, mon cher, on n’y échappe pas!
    Amicalement
    Cocotte

  9. Chère Cocotte,

    À lire vos commentaires,
    il est évident de constater que
    vous êtes modeste mais tellement généreuse
    pour vos “fans”.

    Grand merci !
    Salutations cordiales,
    Paruline

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