Comme dans La Curée de Zola, le sujet en est l’amour incestueux entre un jeune homme, ici le brillant compositeur Daniel Le Vassart, et la jeune et séduisante Jane, qui a été sa maîtresse de piano avant qu’elle n’épouse son père, un riche, ambitieux et vulgaire homme d’affaires.
Daniel respecte trop son père, qui n’en mérite pas tant (il a fait le malheur de la mère bien-aimée et ne voit dans le talent de son fils qu’un moyen de se mettre en valeur dans les hautes sphères de la société), et il idéalise trop sa mère décédée, dont il n’est pas parvenu à faire son deuil, pour céder à cet amour.
On retrouve le thème du sacrifice d’un innocent qui, comme dans Dans la vieille rue et Sébastien Roch, n’aura finalement servi à rien.
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Ludwig van Beethoven, Piano Sonata no. 8 in C minor « Pathetique », Op. 13 – II. Adagio cantabile, interprétée par Paul Pitman (domaine public).
Ah bien! Je suis ravie pour vous, Ka kame!
Merci pour cette lecture.
J’aurais raté cette belle histoire si on m’avait donné le livre à lire.
Merci encore
Quelle diligence chère Pomme ! Tout fonctionne parfaitement. Merci
Ça marche. Merci Pomme.
Si, Claryssandre, c’est “grave”! Mais je viens de relire la fin de ce dernier fichier, de l’envoyer sur le serveur, ainsi que la nouvelle archive-zip. Tout devrait être réparé en fin de matinée. Encore merci pour votre bienveillance.
Ce n’est pas bien grave chère Pomme. Un grand merci à Julien. J’ai vu son message alors que j’allais juste commencer l’écoute… Bonne soirée et lectures tous.
Oh! Je vais alors renvoyer sur le serveur ce chapitre. Merci, chère Claryssandre pour ce témoignage.
Chère Pomme, désolée mais j’ai le même problème avec le dernier chapitre. Le compteur tourne mais le son s’interrompt à 1h09.41. Bonne soirée
Bonsoir Julien, je viens de vérifier mon fichier: il semble complet. Je ne m’explique pas votre problème. Je suis navrée. Tentez de l’enregistrer à nouveau, seul. Bonne chance!
Bonsoir Pomme. J’ai un souci dans le dernier chapitre, il n’y a plus de son à partir de la 69e minute.
Dur dur si proche de la fin !
Avec plaisir, Sid.
merci Pomme.
Non, daniell, je vous avais bien comprise. Peut-être, le ton presque toujours acerbe de Mirbeau ne vous convient-il pas. Mais il y a tant d’autres lectures sur le site!
Zut ! je me suis mal exprimée,
j’aime beaucoup vous écouter, c’est Octave qui est déprimant !
Je ne sais pas vraiment, Daniel! Ce que je sais c’est que je répugne à prendre un ton dramatique pour une scène grave. Mais si vous avez écouté jusqu’au bout ce livre, vous reconnaitrez que mon ton n’était plus “enjoué” pour les dernières pages. Et puis, Mirbeau est déjà tellement sévère, acerbe, que je ne juge pas bon d’en rajouter en usant un ton trop grave. Et puis enfin, ‘est, sans vraiment de réflexion préalable, ma manière de l’aborder.
Votre “bravo” me laisse entendre que vous ne me reprochez pas vraiment ce “ton enjoué”… Merci à vous.
Comment arrivez-vous à garder ce ton presque enjoué pour nous raconter ce récit plutôt sinistre et indigeste ?!
Bravo et merci
Et vous de même, chère et fidèle Claryssandre.
Merci chère Pomme !