Gil Pidoux - Singulier Pluriel (2004)

Singulier pluriel (Deuxième Partie)

Après une première partie de Singulier Pluriel de Gil Pidoux, voici sept nouveaux portraits clandestins d’hommes vus à travers le prisme de sa sensibilité et de sa bienveillance : la torture du Jaloux, la virtuosité de L’Alpiniste, l’optimisme du Fabuleux, le mystère des Silencieux, la maîtrise du Vielleux (à Marcel Karlen), la suffisance de Taqua-taqua et pour terminer un Miró plus peintre que nature.

Pour jeter ces regards sur la cour intérieure de nos pairs, Gil Pidoux a travaillé comme un cinéaste tournerait, sans prévenir, caméra sur l’épaule, à la sauvette. Je le remercie infiniment d’avoir consenti avec amabilité et générosité à la publication de quelques uns de ces courts métrages, brefs et épurés, publiés dans son recueil Singulier pluriel, avec l’aimable autorisation des Éditions Publi Libris.

Illustration : Couverture du recueil Singulier pluriel, par Marcel Laliberté.


Références musicales :

Special Quartet, Fátima, extrait de l’album Namouche (avec l’aimable autorisation de Javier Alcántara, compositeur, interprète et producteur de l’album).

Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 07/03/2013.

2 Commentaires

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  1. En effet, les descriptions de l’auteur sont d’un concentré de douceur et d’intelligence.

    Pour mes futures enregistrements, taqua-taqua attendre un peu – 😉 – car je suis sur un projet beaucoup plus long, mon premier enregistrement de roman. Mais qui va te plaire j’en suis sûr, car c’est l’histoire de la naissance d’une vocation d’artiste peintre… Je n’en dit pas plus pour l’instant ;-).

    Très belle fin de journée
    Amicalement

  2. 3 minutes par description… C’est fou ce que l’on peut dire en 3 minutes…
    Je deviens de plus en plus admiratif de Gil Pidoux : en 3 mn, le décor est brossé, les personnages campés, les mots sont justes, originaux.
    Avec ta prononciation toute en nuance: douce, forte parfois, s’imposant des silences, ce parlé de comédienne que tu es, les textes de l’auteur deviennent du grand art inspiré par la touche finale naïve de ce prince de la spontanéité, le peintre Miro.
    Taqua-taqua recommencer pour notre plus grand plaisir.

Lu par EsperiidaeVoir plus

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