« Cette œuvre insouciante […] est une réaction contre la contrainte de dix ans dans l’armure de Jean-Christophe, qui, d’abord faite à ma mesure, avait fini par me devenir trop étroite. J’ai senti un besoin invincible de libre gaieté gauloise, oui, jusqu’à l’irrévérence. En même temps, un retour au sol natal, que je n’avais pas revu depuis ma jeunesse, m’a fait reprendre contact avec ma terre de Bourgogne nivernaise, a réveillé en moi un passé que je croyais endormi pour toujours, tous les Colas Breugnon que je porte en ma peau. Il m’a fallu parler pour eux. Ces sacrés bavards n’avaient pas encore assez parlé, de leur vivant ! »
R. Rolland dans son « avertissement au lecteur ».
Emmanuel Chabrier, Suite Pastorale Op. 033, interprété par l’ensemble Detroit Symphony Orchestra, dirigé par Paul Paray (1960, domaine public).
Je me suis encore régalée chère Pomme, un grand merci 🙂 Quel plaisir par un temps pluvieux, vous ne pouvez pas imaginer! Vous avez ramené le soleil pour illuminer mon week-end 😉 Et je me lèche déjà les babines en attendant la suite des Claudines !! Je les connais par coeur mais, ma foi, je n’y résiste jamais 😉 Bon courage et au plaisir de vous réentendre. Portez-vous bien, Fraise