soldats jumeaux

L’Énigme de Givreuse

Une énigme défiant les hypothèses les plus audacieuses…
Le roman L’Énigme de Givreuse se passe pendant la guerre de 1914 et est publié avant qu’elle ne soit terminée. Un soldat blessé au front, en 1914, est retrouvé sous forme de deux individus semblables, qui déclarent tous deux se nommer Pierre de Givreuse et qui possèdent un livret militaire identique. Quelle force surnaturelle a dédoublé Givreuse, tel est le sujet du livre.
« Je n’ai jamais cru qu’à des lois approximatives, susceptibles de « ruptures » ou même de disparition. Ce que nous savons du monde est absolument négligeable… je me suis depuis longtemps gardé de bâtir un système général sur une base aussi microscopique ! » dit un neurologue important dans l’histoire.

Songeons qu’il y 100 ans J.-H. Rosny aîné basait sa fiction sur les conséquences de la duplication d’un être humain (depuis, la reproduction des mammifères par bipartition moléculaire deviendra réalité sous le nom de clonage.)
Les deux soldats blessés, partiellement amnésiques, possèdent les mêmes souvenirs antérieurs à leur blessure. Lors de leur retour à la vie civile, ils rencontreront l’amour, mais comment Valentine de Varsennes, l’élue de leur cœur pourrait-elle choisir l’un ou l’autre de ses prétendants ?
C’est ce que le roman, dans un style sobre, nous dévoile en partageant notre intérêt entre mystère, amour et aventures.


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Livre audio gratuit ajouté le 27/10/2014.

11 Commentaires

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  1. Quand j’ai commencé à écouté ce roman, je ne me souvenais plus du thème (tant mieux je trouve parfois les résumés trop bavards!)…

    J’ai immédiatement accroché à l’intrigue, me perdant en conjectures pour résoudre ce mystère. Je trouve que l’histoire d’amour plombe un peu l’histoire. Mais la fin est passionnante.

    Merci M Depasse pour ce roman. Je conseille vivement aux auditeurs d’écouter la guerre du feu du même auteur.

  2. Merci pour cette lecture bien agréable!

    Ps: Je n’ai lu que les premières lignes des commentaires posté et ai vaguement compris qu’il y avait encore eu des critique…?
    Bha… N’étant qu’un auditeur passif, je ne puis que remercier de votre travail ou me taire!
    Et j’ai bien apprécié cette lecture, donc je remercie!
    Au passage, je n’ai pas toujours le temps (ou ne le prends pas toujours) mais j’en profite pour remercier pour vos autres très nombreuses lectures! Pas toujours de mon gout, mais toujours de qualité et de simplicité!

    Merci Merci et Merci!!!
    Bonne et heureuse continuation à vous M Depasse (et les autres lecteurs aussi, j’en profite!)et MERCI d’avance pour les autres lectures que je vais écouter avec plaisir pour nombreuses d’entre elles et ou je ne remercierai pas toujours!

    Additivement votre,

    Trollus

  3. Pourquoi […] ne prendrait-on que les meilleurs… sur quels critères? décidés par qui?

    Certains il y a presque dix lustres disaient cela sous une autre forme : il est interdit d’interdire.
    Il y a presque dix lustres, et c’était pas des lumières.

  4. Comme vous avez raison ma très chère Carole! Je pense même que votre délicate gentillesse à l’égard des commençants est fort utile et contribue à leur donner un peu d’assurance pour continuer et puis, qui sait, pour s’améliorer et atteindre les performances de Jean-Luc Fischer, lequel, selon ses aveux, n’a pas commencé autrement.
    Comme Jean-Pierre Baillot, je crois que c’est bien “une des forces de ce site, que cette grande diversité au sein des donneurs comme des receveurs de voix” et je trouve que chaque donneur a ses atouts et donc chacun peut y trouver son compte.
    Pourquoi deviendrait-on sévère à l’extrême et ne prendrait-on que les meilleurs…sur quels critères? décidés par qui?
    Offrons un large panel aux auditeurs et qu’ils choisissent selon leurs propres critères.

  5. Au moment où j’ai lu votre commentaire, j’ai commencé à écrire une réponse et quand j’ai eu terminé…pouffff… vous étiez modéré qui est le terme politiquement correct pour censuré.

    1. A JL :
      « Au cours du temps, la philosophie n’a pas changé: accepter quiconque qui postule quelle que soit sa qualité de technicien et de lecteur et se répandre en compliments pour ne pas le dégoûter. Pour vous en convaincre allez voir les essais. » JL Fischer.
      Voilà une perception bien erronée de mes interventions.
      Je ne valide un essai que lorsque celui-ci me semble pouvoir évoluer en un support sonore qualitativement suffisant pour servir l’œuvre et correspondre aux attentes (multiples). Je ne suis aucune philosophie, je ne me répands pas autrement en compliments que ce qui me semble conforme à la qualité de l’essai soumis et par extrapolation à sa progression attendue, et je ne crois pas que l’on puisse, à moins de ne pas prendre suffisamment le temps du développement, dégoûter un donneur d’essai.
      Tout ceci dit, il y a cinq ans à peu de mois près, nous en étions déjà au même point. Je maintiens que l’on peut attendre des décennies avant de se lancer dans un projet d’avoir trouvé les interprètes aux capacités vocales, lettrées, techniques, financières et de temps libre parfaites, pour récolter des compliments mérités mais toujours insatisfaisants (car telle est l’essence de JL Fischer 😉 ), ou se consacrer à une activité choisie (par opposition aux obligatoires) en pensant et souhaitant qu’un jour, sûrement, l’on y fera toujours (de son) mieux.

  6. Cher Jean-Luc Fischer,
    Je ne me souviens pas d’avoir fait un commentaire sur cette page, mais je fais tellement de choses presque à la fois ou souvent imbriquées (courriels, coms sur plusieurs sites, écriture d’articles, lecture de livres électroniques…) que je me souviens pas de tout ce que j’ai fait en une journée sur mon ordinateur et que j’en ai l’esprit tout matagrabolisé*.
    En tout cas, merci pour votre commentaire de mon commentaire, lequel aurait disparu.

    * Embrouillé, confus.

  7. En effet, Jean-Luc, élever le standard n’est jamais un mauvais objectif ni au plan individuel ni au plan collectif. Je suppose que c’est une volonté commune vers laquelle chacun de nous progresse… mais, à partir de niveaux très différents.

    Etant un “petit nouveau” (ayant, effectivement, apprécié de produire un “superbe” premier essai), je pense qu’une des forces de ce site est sa grande diversité au sein des donneurs comme des receveurs de voix. Pour moi, c’est presque aussi fort que l’énigme de Givreuse 😉

    Cordialement,
    Jean-Pierre

  8. Cher Sans-Dents

    Les temps ont dû bien changé sur LA et c’est tant mieux, car naguère ce genre de critique aurait été censurée dans l’heure.

    Et d’ailleurs c’est le cas!

    Ceci dit, monter un site de lecture audio de qualité où les donneurs de voix ne sont pas rémunérés n’est pas chose facile et pour tout dire, c’est la quadrature du cercle.

    Au début du site il faut un catalogue qui se développe rapidement grâce à des donneurs de voix qui ne s’investiront que s’il y a un catalogue.

    Quand Augustin a fondé le site il a trouvé René Depasse sur son chemin qui lisait, comme c’est le cas aujourd’hui, un livre par jour! C’est colossal. Pour ce qui me concerne (mais je suis maniaque), une nouvelle comme L’Ombre sur Innsmouth m’a pris environ 400 heures. Le montage et le mixage représentent 90% du temps.

    Avec un livre par jour le site a pris du volume en quelques mois et la pompe s’est amorcée.

    Au cours du temps, la philosophie n’a pas changé: gonfler le catalogue et accepter quiconque qui postule quelle que soit sa qualité de technicien et de lecteur et se répandre en compliments pour ne pas le dégoûter.
    Pour vous en convaincre allez voir les essais.

    Cette philosophie prévaut aussi chez Audiocité. Elle est consubstantielle au bénévolat. Si vous commencez par dire aux candidats DDV qu’il va leur falloir faire des efforts voire renoncer, acheter un micro à 500 €, enregistrer loin de son ordi ou avec un portable silencieux, dans une pièce sans écho (et sans machine-à-laver…), apprendre à se servir d’un éditeur et y passer des heures, vous n’aurez bientôt plus personne.
    On leur dit donc que c’est très bien comme c’est et qu’un micro premier prix fera l’affaire.

    Je vous avoue que quand j’ai fait mon essai (qui était exécrable) et que j’ai été royalement complimenté puis accepté derechef, je m’y suis cru. En écoutant Victoria, j’ai vite compris qu’il y avait du boulot et, en discutant avec elle, j’ai commencé à m’équiper et à appendre le montage.

    On vous dira que si vous voulez du gratuit il faut, si j’ose dire en payer le prix en acceptant une qualité moindre.

    Personnellement, je trouve que c’est céder à la facilité et que considérant la notoriété de LA on pourrait en élever les standards.

    Jean-Luc

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