Henriot, Haute Noce (1902)

Les Femmes qui ne coûtent rien – La Courtisane amoureuse

Les Amours de cinq minutes d’Aurélien Scholl a déjà trois textes sur le site. Ajoutons ces deux histoires frivoles, amusantes, où argent et coquetterie jouent un rôle essentiel. Nous sommes en 1875, où une petite employée paye 6 francs par semaine sa bonne et 1000 francs son loyer.

La Courtisane amoureuse
« Mais mademoiselle Éliane, reprit-il, m’a paru fort honnête. Elle m’a fait boire d’excellent vin. Jeune, belle et riche, que puis-je demander de plus ? – Mais l’origine de sa richesse, la connaissez-vous ? – N’est-ce pas sa famille ? – Pas le moins du monde. Sa richesse vient des hommes, Russes, Français ou Brésiliens qui, plus ou moins, ont été amoureux d’elle. »

Les Femmes qui ne coûtent rien
« Tiens ! tu es seul ? – Ma foi ! oui. – Et la femme qui ne coûte rien ?
– Elle m’a demandé six mille francs pour ses loyers en retard. »


Remarques :

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Livre audio gratuit ajouté le 25/02/2018.

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