hahaha en effet, Michèle !
« […] mais dans un monde de liberté, on est en droit de dire ce que l’on pense, […] »
Pas tout à fait, mon vieux.
Moi, je résumerais toute cette polémique en te rappelant une règle de bienséance et de savoir-vivre fondamentale :
« On peut attaquer l’argument, mais jamais la personne ».
Traduite pour s’appliquer au présent contexte : on peut critiquer les aspects techniques entourant l’enregistrement tels que la qualité de la bande audio et présence de coquilles évidentes ( dédoublements de pistes, sauts de niveau sonore, etc. ). Mais, de quel droit se permettrait-on d’émettre en public un jugement parfaitement subjectif, loin d’être partagé par tous ( le « fan club » de René est immense ; il ne suffit que de se tenir à la page en lisant tous les commentaires élogieux reliés à ses lectures ) au sujet d’une caractéristique *personnelle* rattachée au lecteur bénévole lui-même !? …qu’il s’agisse de la qualité de sa voix, de son intonation, de ses maniérismes, et surtout de son accent, etc. …peu importe.
Car, à partir de ce moment-la, ce n’est plus l’argument qu’on met en cause, mais bel et bien l’homme lui-même.
J’ajouterai même qu’on est en droit de questionner la qualité du texte lui-même, mais jamais le choix de texte fait par le lecteur bénévole.
Je t’invite maintenant, Deshalles, à faire ton examen de conscience, à préciser dans ta tête c’est quoi ton agenda, au juste ? …et surtout de te signaler que tes commentaires déplacés ne posséderont aucune crédibilité parmi la vaste majorité de notre groupe de lecteurs bénévoles, que nous soyons comme un clan « au consensus pasteurisé » ou non. Nous sommes plus d’une centaine. Ça prendrait toute une « conspiration », ça, hein !?
Je te signale également que ne serait-ce que par rapport à son âge, tu dois un peu plus de respect envers notre doyen. Moi, en tout cas, je ne mettrai pas mes gants blancs pour te rappeler à l’ordre à ce sujet. Je ne t’offrirai également aucune excuse si j’ai choisi de défendre notre plus grand contributeur publiquement d’une appréciation ingrate également très ( et trop, même, comme le souligne à juste titre Carole ) publique.
Alors, en définitive, le titre que tu as choisi pour ce filon est tout à fait approprié : trop, c’est trop ! …venant de ta part.
« […] Je me suis excusé de mes propos auprès de M. Depasse, mais sans renier un mot de ce que j’ai dit. […] » T’appelles ça faire des excuses, toi !?
C’est toi qui manques de jugement, pas René.
jf