Répondre à : Pleine Lune des neiges

ALOHA… LÏAT…

Wemoweh… Wemoweh… Wemoweh… Wemoweh…
😊😊😊… et j ‘ ai compris… toutes les paroles… en sandwich !… La version Henri SALVADOR… de mon enfance…
C’ est moi… qui aurais dû… vous faire écouter !…
Pas d ‘ autre lien dans votre message… mon explication… n’ etait pas la bonne… Sans doute… un caprice de la machine… du bidule…

Pas de chanson aujourd ‘ hui… mais une citation… lue… il y a longtemps longtemps… sur une pochette de disque… 💿…
” Fais en sorte que les choses sur lesquelles tu n’ as pas de prise , n ‘ aient pas de prise sur toi “…
De l ‘ empereur philosophe… MARC-AURELE… Empereur philosophe !…
Pour l ‘ heure… nous avons à souffrir… les TRUMP… POUTINE… NETANYAHOU… et consorts… nos NERON… CALIGULA… et consorts… Faites en sorte…

Recu dans ma boîte Gmail… il y a 2-3 jours… Cet homme… qui vous plaît…

Roger Munier
La Voix de l’érable – Opus incertum VII
mars 1995 – septembre 1997

Edition établie par Jacques Munier et Gérard Pfister
Collection Les Cahiers d’Arfuyen

ISBN 978-2-845-90387-6 – 320 pages – 22 €

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Ce livre est le septième volume de l’œuvre d’une vie : l’Opus incertum, que Roger Munier a commencé à écrire en 1980 et n’a interrompu que quelques jours avant sa mort le 10 août 2010.

Œuvre gigantesque puisque son édition complète comportera en tout une quinzaine de volumes et plus de 3000 pages extrêmement denses. Œuvre d’une vie entière comme L’Errant chérubinique est l’œuvre-somme d’Angelus Silesius, que Roger Munier a magnifiquement traduite et publiée aux éditions Arfuyen.

Œuvre conçue comme un tout unique, dont le titre général choisi par Roger Munier montre déjà la nature puissamment architecturée : car, dans l’art des bâtisseurs, un opus incertum est un «assemblage de pierres irrégulières s’enchâssant les unes dans les autres de façon à former un ouvrage continu ».

Œuvre posthume, et conçue comme telle, puisque le propos de ce livre n’est nullement celui d’un journal ou de carnets intimes, mais cherche à atteindre ce qui fait l’essentiel de notre destinée de vivants, et qui est en réalité de nature « impersonnelle » : « Une autobiographie, mais qui ne serait faite que des moments impersonnels où l’être s’est senti traversé. »

Œuvre totale, à la fois philosophique, spirituelle et poétique, qui ne peut se comparer à nulle autre dans l’histoire des littératures. Avec la même intransigeante lucidité et la même sereine obstination qu’un Montaigne ou qu’une Dickinson, Munier s’essaie à écrire ce qui sans cesse, en même temps que la vie, lui échappe.

Les éditions Arfuyen ont commencé de publier Roger Munier en volume dès 1980, l’année même où il commence à écrire son Opus incertum. À sa demande elles ont repris le flambeau de son édition en 2007 (Les Eaux profondes. Opus incertum V) lorsque Gallimard s’est retiré du projet.

À l’occasion de leur 50e anniversaire, les Éditions Arfuyen ont décidé de se lancer dans l’édition intégrale de la partie encore immergée de l’iceberg, de loin la plus importante et celle qui donne son sens à l’ensemble. Elles font là œuvre de fidélité en même temps que d’audace pour se projeter résolument dans une période où se mettent en place les fondements d’un nouvel obscurantisme.

À la suite de ce volume VII correspondant à la période mars 1995-septembre 1997 paraîtront dans les dix prochaines années, sous la direction conjointe de Jacques Munier et Gérard Pfister, sept gros volumes d’environ 350 pages chacun couvrant la période de 1997 à 2010.

… et… entre le 28 Février et le 1er MARS…

Joyeux 29 Février !… Joyeux et… facetieux !… de votre part !… 😉…

Ps… ” Pen pal “… ça me plaît… Pen pal Pat…
Et… je réalise… que je n’ ai pas répondu… à votre question… sur la St VALENTIN… cette fête qui semble vous tenir beaucoup à coeur… J ‘ ai raconté ce jour… dans un message… 💬💬💬… Et… rien que pour vous… j’ ajoute… que je suis retourné… vers cette belle enveloppe… depositaire… d ‘ une mèche de cheveux… sur laquelle je me suis epanché… de quelques lignes… en forme de tanka… Trop de monde… pour vous les faire lire… et vous aussi… sans doute…