(N) AZI, Ali Cherif – Le Pistonné

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11 sujets de 1 à 11 (sur un total de 11)
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  • #144090
    AAZI Ali Cherif
    Participant
      #157211
      AAZI Ali Cherif
      Participant

        Bonjour,

        Pour note un de mes poème avait été accepté mais publiée sous le nom 

        CHERIF AZI, Ali – Le Temps S’est Arrêté (Poème)

        Néanmoins seul ''AZI'' constitue mon nom de famille, idéalement s'il est possible de rectifier tant mieux, autrement cela n'est pas dramatique.

        Après une longue absence, je vous soumet mon nouveau poème:



        Le pistonné

         

        Ah! Diantre voilà le nouveau parvenu

        Que veut-il une antre ? Par delà ma vertu

        Une protection, une soupe pour un inconnu

         

        Un métier mon maitre, s’il veut bien paraitre

        Sous ses traits les meilleurs, s’il peut bien l’être

         

        C'est bien à regret sagouin de la pire espèce

        Que je dois céder, ou pourrir sur pièce

        Car on m’a forcé la main à dessein

        Pour vous pourvoir un gite en mon sein

         

        Vos amis ont la main bien trop haute

        Et m’impose votre choix, au détriment d’un autre

        Ils ont fait pression sur moi votre hôte

        Puissent-ils avoir honte de leur faute

         

        Ne soyez pas si prude, ne jugez pas si vite

        Votre robe est elle si blanche, votre conscience si claire

        Qu’une obole en ma manche, puisse ainsi vous déplaire

         

        Des contorsions et procédés peu fiers,

        Votre conscience, est bien coutumière

         

        La votre trop familière de simagrées et de manières

        J’ai connu moi aussi bien des galères

        Qui auraient mérité meilleur salaire

         

        Voici que le hasard me récompense

        Faut il que deux fois j’y repense ?




        #157220
        BruissementBruissement
        Participant

          O

          #157222
          PommePomme
          Participant

            Trop de maladresses.

            N

            #157224
            CocotteCocotte
            Participant

              N

              Je ne comprends pas le sujet, ni où vous voulez en venir !

              #157225

              N

              #157227
              AegidiusAegidius
              Participant

                Dans un texte aussi abscons, une ponctuation précise s'impose pour aider le lecteur.

                Vous dites, “s’il peut bien l’être” : on ne voit pas à quoi correspond le pronom élidé le.

                Le verbe pourvoir se construit avec la préposition de, peut-être “pourvoir d'un gîte”.

                m'impose : pluriel nécessaire si le sujet est “amis” au pluriel.

                Votre texte contient trop d'inadvertances en tous genres et le sens reste très obscur.

                L'obscurité en elle-même n'est pas un problème mais en contrepartie une perfection littéraire est obligatoire, qu'on retrouve par exemple chez Mallarmé ou Gérard de Nerval.

                Bien à vous

                #157228
                BruissementBruissement
                Participant

                  Le texte paraît moins abscons, quand on le considère comme un dialogue, il manque les tirets d'ouverture de paroles de l'un et de l'autre antagoniste…et quoique je crois comprendre le passage:

                  _ un métier, mon maître, s'il veut bien paraître

                  sous ses traits les meilleurs, s'il veut bien l'être.

                  il faut avouer que ce n'est guère français! le “il” correspondrait à “métier”, et le “l” à “meilleur”



                    _ Ah! Diantre! voilà le nouveau parvenu.

                  Que veut-il? une antre ? Par delà ma vertu,

                  Une protection? une soupe pour un inconnu?

                   

                  _ Un métier, mon maître, s’il veut bien paraître

                  Sous ses traits les meilleurs, (s’il peut bien l’être) “si, bon, peut bien être”.

                   

                  _ C'est bien à regret, sagouin de la pire espèce,

                  Que je dois céder ou pourrir sur pièce,

                  Car on m’a forcé la main, à dessein,

                  Pour vous pourvoir un gîte en mon sein.

                   

                  Vos amis ont la main bien trop haute

                  Et m’imposent ( votre choix) “de vous choisir” au détriment d’un autre

                  Ils ont fait pression sur moi, votre hôte.

                  Puissent-ils avoir honte de leur faute!

                   

                  _ Ne soyez pas si prude, ne jugez pas si vite

                  Votre robe estelle si blanche, votre conscience si claire

                  Qu’une obole en ma manche, puisse ainsi vous déplaire?

                   

                  (Des contorsions et procédés peu fiers)

                  De contorsions  dont on ne peut être fier,”

                  Votre conscience est bien coutumière.

                   

                  _ La vôtre… trop familière de simagrées et de manières.

                  J’ai connu, moi aussi, bien des galères

                  Qui auraient méritées meilleur salaire.

                   

                  _ Voici que le hasard me récompense

                  Faut il que deux fois j’y repense ?

                  #157229
                  PommePomme
                  Participant

                    A Bruissement,

                    Merci pour cette explication du texte (qui devient d'un coup d'une limpidité que nous n'avions pas saisie!!! néanmoins toujours insuffisante.) et pour cette correction des fautes. Dommage que vous-même en fassiez et même oubliez celle signalée par l'excellent et exigeant Ahikar.

                    Pomme

                    #157230
                    BruissementBruissement
                    Participant

                      Ah!  je n'ai pas été assez vigilante sur un texte que j'ai copié-collé et que j'ai relu trop vite. Que je suis stupide!

                      Chère Pomme, vous vouliez parler de cet excellent et exigeant Aegidius, je suppose. Tout le monde peut se tromper.

                      Je profite de cette opportunité pour saluer Aegidius, excellent et exigeant en effet, et qui partage ses connaissances le plus simplement du monde. Merci




                      #157231
                      AAZI Ali Cherif
                      Participant

                        Bonjour,

                        Je tiens à remercier Aegidius pour ses commentaires et suggestions, ainsi que Bruissement.

                        Je confirme qu'il s'agit effectivement d'un dialogue entre le personnage du “Pistonné” et celui de son “Détracteur”.

                        Compte tenu du feedback, je vous demanderais formellement de ne pas publier mon poème ni dans sa version originale ni dans une version modifiée.

                        Cordialement

                        Ali


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