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Je viens de terminer un livre sublime par son histoire, qui est vraie.
“Ils rêvaient des dimanches” de Christian Signol.
C'est la saga d'une famille commençant fin 19ème en Corrèze et finissant au 20ème siécle, celui de l'auteur.
Cette saga est celle de sa propre famille et plus spécialement de son grand-père maternel.
C'est bouleversant de justesse, remplit de bons sentiments. Un livre à lire en ce temps de Noël.
C'est très sympathique, Fabien, de nous faire part de vos coups de coeur hors LA. Décidément vous avez toujours un livre soit dans les oreilles soit sous les yeux!
Christian Signol est un auteur très prolifique, dont les romans, tous proches de la terre, sont bien agréables à lire.
Je vous souhaite une belle fin d'année.
Pomme
Christian Signol causait justement ce matin même dans le poste (dans Boomerang sur France Inter).
Bel accent corrézien, pour ceux qui aiment !
Là je fini un excellent livre, “Ainsi résonne l'écho infini des montagnes” de Khaled Hosseini.
Afghanistan…Un petit village…Une famille pauvre.
Puis ce sont les pièces du même puzzel qui toutes se rattachent soit au village, soit à cette famille.
Des vies, toutes différentes défilent devant vos yeux. Tristes, étonnantes. Ce livre est aussi un voyage à travers le monde.
J'ai beaucoup aimé.
Je viens de finir “La ballade de l'impossible” de Haruki Murakami. C'est un livre envoûtant, comme d'habitude (j'aime beaucoup cet auteur), avec une atmosphère étrange, des personnages profondément solitaires et inadaptés, sensibles à l'art et en quête de sens…mais cette fois, il n'y a pas une once de surnaturel … Une très belle découverte.
Je lis présentement “The Reserve” , écrit par l'écrivain américain Russell Banks.
J'en parle ici parce que La Réserve, en français, est disponible en livre-audio;
il est brillamment lu par le comédien Michel Vuillermoz.
-L'histoire se déroule dans le magnifique cadre des rives d'un lac des Adirondacks, en 1936.
Quand le peintre Jordan Groves y rencontre pour la première fois la troublante Vanessa Cole,
il ne peut longtemps se soustraire à l’irrésistible attraction qu'elle exerce sur lui…
-Ces personnages n'ont rien de banal.
Le prenant et surprenant récit a une certaine parenté avec Gatsby le Magnifique,
mais l'un se passe avant la guerre, l'autre après.
Je relis Thomas Mann.
Deux ouvrages confinés : La Mort à Venise / La Montagne Magique.
Jean-Pierre, grâce à vous je suis allée voir les dates du traducteur de La Montagne magique – un livre que j'aime beaucoup -: la traduction est libre!!! Je crois que je vais me lancer…
Le confinement ne sera jamais, même ds les scénari catastrophe, assez long pour que je termine le livre avant le retour à la liberté.
Bah! j'étais sûre qu'il y aurait un os.
Merci Ahikar de votre vigilance. Vous avez été plus rapide encore que Christine!
On peut aussi lire (ou re-lire) un autre grand roman du confinement (ce confinement là n'est, toutefois, que partiellement médical) : Le Désert des Tartares de Dino Buzzati.
PS : Je mets Pomme tout de suite en garde… DB n'est mort “qu'en” 1972. Ah, ces jeunes !
Oh quel autre magnifique roman, ce Désert des Tartares ! J'adore! Et pour une fois, le film qui en a été fait, avec Jacques Perrin, est quasi aussi bon que le roman.
Merci pour la mise en garde, Jean-Pierre. J'aime sentir des garde-fou autour de moi.
Je proposerai un (très) grand classique: La Peste . Un roman qui marque une vie, un comportement dans la vie. Il y a un avant et un après cette lecture.
Et ça c'est pas du beau ciné ?
Je lis Du mensonge en politique de Hannah Arendt.
Tiens, je me demande bien quelle mouche m’a piqué ?
Bonne après-midi !
Bonsoir,
Ce n'est pas mon livre de chevet, mais puisque, selon certains, nous serions “EN GUERRE”, j'ai ressorti pour quelques jours de ma bibliothèque L'ART DE LA GUERRE, ouvrage en treize articles, composé en chinois par SUN-TSE, Général d'Armée dans le royaume de Ou et mis en Tartare-Mandchou par ordre de l'Empereur Kang-Hi (ça rigolait déjà pas trop là-bas à cette époque lointaine, on dirait…
!), la 27ème année du cycle de 60, c'est-à-dire l'année 1710, et traduit en français par le Père Joseph-Marie AMIOT (Jésuite), en 1772… Ouf, je suis arrivé au bout !Et depuis, je feuillette, je glane, je grapille… et qu'ai-je trouvé ? Entre autres citations (c'est la grande mode en ce moment sur notre site
) , celles-ci :– “Si vous êtes dans des lieux de mort, n'hésitez point à combattre, allez droit à l'ennemei, le plus tôt est le meilleur. […] Par “lieux de mort”, j'entends tous ceux où l'on se trouve tellement réduit, que, quelque parti que l'on prenne, on est toujours en danger ; des lieux dans lesquels, si l'on combat, on court le risque d'être battu, et dans lesquels, si l'on reste tranquille, on se voit sur le point de périr de faim, de misère ou de maladie.”
– “Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rienC'est lorsqu'on est sans ressources qu'il faut compter sur toutes. […] Veillez en particulier avec une extrême attention à ce qu'on ne sème pas de faux bruits, couper racine aux plaintes et aux murmures, ne permettez pas qu'on tire des augures sinistres de tout ce qui, peut arriver d'extraordinaire ; aimez vos troupes et procurez-leur tous les recours, tous les avantages, toutes les commodités dont elles peuvent avoir besoin. Si elles essuient de rudes fatigues, ce n'est pas qu'elles s'y plaisent ; si elles endurent la faim, ce n'est pas qu'elles ne se se soucient pas de manger ; si elles s'exposent à la mort, ce n'est point qu'elles n'aiment pas la vie. Faites en vous-même de sérieuses réflexions sur tout cela.”
A.D.
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