LONDON, Jack – Les Trois Manchots
Donneur de voix : Alain Degandt | Durée : 1h 5min | Genre : Nouvelles
Jack London a achevé ce récit le 26 septembre 1916, moins de deux mois avant sa mort. Les trois hobos (clochards, vagabonds) de cette histoire, sont des sinistrés de la vie. Ils endurent leur existence comme une lancinante maladie, qu’ils « soignent » avec des substances qui les détruisent. Méfiants et hargneux comme des bêtes aux abois, toujours sur la défensive, ces épaves humaines ne survivent qu’à la maigre chaleur d’un pauvre feu de campement et à celle de leurs souvenirs, réels ou inventés. Qu’elle était belle la vie, du temps où ils avaient leurs deux bras, du temps où ils commandaient à tout, du temps où ils étaient des « messieurs »… chacun amoureux d’une merveilleuse Princesse !
Traduction : Louis Postif (1887-1942).
Titre original : The Princess – Publié en juin 1918 dans la revue Cosmopolitan, puis en octobre de la même année dans le recueil The Red One chez MacMillan.
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> Références musicales :
Guillaume-Louis Cottrau, Finestra che luchivi, interprété par Larry Adler et Monya Liter (1959, domaine public).
très contant
Merci Mbikavu, je suis heureux que cette lecture vous ait plu. Amitiés, A.D.
Bonjour,
Y-a-t-il une possibilité d’avoir la version texte de cette nouvelle?
10000000 mercis
Bonjour Vic,
Je n’ai pas trouvé de version texte en ligne pour cette nouvelle. J’ai utilisé un livre de poche de ma bibliothèque personnelle : Jack LONDON : Les condamnés à vivre – Recueil de nouvelles choisies et présentées par Francis Lacassin – Collection 10/18 (UGE)N°890 (1974), que vous pourrez peut-être vous procurer en chinant. Merci de l’intérêt que vous portez à notre site. Amitiés,
A.D.
Bonjour,
Alain, j’aime beaucoup vos lectures des romans de Jack London, je viens de télécharger celui-ci, je l’écouterai ce midi. Merci à vous.
Merci CM63, j’espère que cette lecture vous aura plu. Je vous remercie de l’amicale attention que vous portez à mes lectures de ce très grand romancier, pour qui j’ai une grande admiration. Bien cordialement,
ALAIN D.