Envoyez le livre audio 'AHIKAR - Le Rat, ou La Bête cachée' à un(e) ami(e)
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26 commentaires sur cette page. Ajoutez le vôtre !
Jean-Pierre Baillot
le
29 septembre 2016
Très heureux de vous entendre à nouveau, Ahikar.
La chute m’a surpris. Mais, je note qu’elle vous a surpris également. Décidément, nous sommes peu de chose
Ahikar
le
30 septembre 2016
Merci Jean-Pierre pour votre commentaire. C’est vrai que la chute m’a surpris, un peu comme une piqûre de rappel, venant me montrer que derrière mon visage humain sommeillait la bête. Nous croyons nous connaître, mais nous connaissons-nous vraiment ?
J’espère que votre projet sur Proust commence à prendre corps.
Amitiés,
Ahikar
Jean-Pierre Baillot
le
30 septembre 2016
Pas encore, je suis avec Voltaire.
C’est ma course du rat (version lente) à moi !
Ahikar
le
30 septembre 2016
Ah ! je vois ! Vous préférez les charmes de Cunégonde à ceux des jeunes filles en fleurs !
Cocotte
le
30 septembre 2016
Cher Ahikar
Votre rat a rappelé à mon souvenir une semblable aventure, authentique, qui m’est arrivée il y a une trentaine d’années, et que j’avais oubliée.
Des travaux dans la rue avaient poussé des rats à aller se promener dans les maisons du quartier.
Un jour, j’ai vu une grosse masse, de la taille d’un petit chat, qui entrait comme une flèche, traversait le séjour et filait dans les chambres. Toute la famille a eu la peur de sa vie, mais ce n’était pas possible de dormir en cette compagnie. Nous avons ouvert toutes les portes, chassé le rat, et nous nous sommes barricadés pendant tout le week-end.
Votre texte, votre interprétation, ont un pouvoir d’évocation qui font passer le frisson dans le dos.(et c’est un compliment!!!)
Bravo et merci pour ce moment, quand même…
Amitiés
Cocotte
Ahikar
le
1 octobre 2016
Merci chère Cocotte pour cette savoureuse anecdote, si bien contée que j’ai encore l’impression de voir le bel animal traverser comme une flèche votre séjour.
Excellent week-end !
Jean-Pierre Baillot
le
1 octobre 2016
… anecdote qui confirme, par ailleurs, que le rat est notre semblable : il file, tout de suite, dans la chambre !
Cocotte
le
1 octobre 2016
Pouah!
Le rat est peut-être votre semblable, à vous, mais pas à moi.
La différence, c’est que « mon » rat, enfin, je n’en revendique pas la possession, s’est caché sous le lit, et pas dedans. Sinon, je serais allée dormir à l’hôtel!
Toute mon empathie à Michèle!
Cher Ahikar, cher Jean-Pierre, j’espère que vous rapporterez un beau récit de votre promenade en chameau. Il me tarde le l’écouter. Cher Ahikar, à votre plume!
Excellent week-end à tous les deux
Amitiés
Cocotte
xxl
le
3 octobre 2016
ideal pour bien s’endormir
monsieur COIGNE
le
3 octobre 2016
Bonjour à tous,
Merci Ahikar pour cette magnifique et très vivante lecture ; parfaite intonation
tout à fait réelle. De plus,
excellent enregistrement pour le son.
Vraiment merci !
Daniel
Ahikar
le
3 octobre 2016
Merci beaucoup Daniel ! Votre message m’a fait très plaisir!
Amitiés,
Ahikar
pomme
le
3 octobre 2016
Ah la la! Nous ne nous ressemblons pas tous! Quelle horreur m’inspirent ces animaux!!! Et voilà Cocotte qui en rajoute!!! Malgré ma répulsion pour cet animal, j’avais lu votre texte sur le forum, Ahikar. Et maintenant, je vous ai écouté: votre lecture et votre voix sont excellentes! Vraiment bravo!(Mais… quel dommage que vous nous racontiez une telle histoire…)
Pomme
Colibrius
le
5 octobre 2016
Bonjour Ahikar,
Je suis une de vos ferventes fans, mais la, je dois dire que je n ai pas bien vu l interet du sujet (a part les deux dernieres minutes, bien sur) ?
Sauf que… cela m a paru bien extraordinaire de faire tout un cinema pour si peu !
(surement la moitie de la planete vit avec des rats et souris a domicile)
Et j attends avec impatience les suivantes
Colibrius
Rafa
le
6 octobre 2016
Ma copine a fait beurk en voyant l’image, donc je ne peux pas dire ce qu’elle pense. Mais moi j’ai adoré!!! dus suspens, des frissons jusqu’au bout! vraiment parfait!!! ne changez surtout rien! ne chercher plus votre voie, vous l’avez trouvé!!
ecrivez en beaucoup d’autre
Rafa
@coilibri. Je n’ai pas de rat a domicile ni personne autour de moi. Dans quel pays vivez vous?
Colibrius
le
6 octobre 2016
Afrique, Oceanie, Amerique du sud… et parfois Europe aussi.
Les rats ont beaucoup voyage depuis l invention du bateau !
Ahikar
le
7 octobre 2016
Bonjour,
L’autre soir, nous avons reçu des amis à dîner. Tous deux avaient lu la nouvelle sur le rat, et, à un moment, après quelques verres, P. s’est mis à raconter que quand ils sont arrivés à Paris, dans leur nouvel appartement, ils avaient des cafards. Un vrai cauchemar, il y en avait partout. Ce qui m’a beaucoup amusé, c’est que sa femme lui donnait des coups de pied sous la table pour qu’il arrête de raconter. Elle avait honte ; il était clair que pour elle cette histoire n’aurait jamais dû franchir les murs de leur appartement.
Avaient-ils aimé mon texte ? Au fond, j’en sais rien, ils ne l’ont pas dit. Pourtant, il a alimenté une bonne partie de la conversation…
Merci à tous pour vos commentaires, que vous ayez aimé ou non, car l’absence de commentaires, un espace dédié éternellement vide, m’effraie et me déprime, au fond, bien plus que le silence éternel des espaces infinis !
Amitiés à tous,
Ahikar
jean michel
le
16 octobre 2016
une histoire qui pourrait arriver a tout le monde, très bien racontée, qui tient bien l’auditeur en haleine, impossible de s’endormir…..
Ahikar
le
17 octobre 2016
Merci Jean-Michel pour ce sympathique commentaire.
Amitiés,
Ahikar
Rakipu
le
29 octobre 2016
histoire étrange qui fait froid dans le dos car elle peut arriver à tout le monde
Très bonne lecture
Rakipu
Candice
le
13 novembre 2016
Cher Ahikar,
J’ai écouté avec attention votre histoire. Je l’ai écouté deux fois car je n’en avais pas compris tout de suite le sens, et le commentaire du Cercle de lecture de l’Alliance Française de Buffalo qui a trouvé des sens cachés dans vos écrits m’intriguait. Mais oui, en effet, je comprends la bête cachée ! C’est simplement si juste…
Ahikar
le
14 novembre 2016
Chère Candice,
Vos mots m’ont touché. Effectivement, il ne s’agit pas que d’une histoire de rat ; comme dans le film de Bresson Pickpocket, il ne s’agit pas que de l’histoire d’un pickpocket. Si je me permets cette comparaison, c’est parce que j’ai ce film en moi depuis que je l’ai vu dans ma prime jeunesse ; il ne m’a jamais quitté. J’ai été profondément marqué par sa construction : pendant toute la durée du film, nous voyons un pickpocket en action, puis il se fait prendre et est incarcéré. Dans la dernière scène du film, nous voyons sa tendre amie lui rendre visite en prison. On comprend alors qu’un retournement s’est opéré quand il prononce la phrase qui clôt le film : « Quel chemin il m’aura fallu accomplir pour arriver jusqu’à toi ! »
Aimerais-je autant le film s’il n’y avait cette dernière phrase ? Je ne sais pas ? Mais ce que je sais c’est que tout l’édifice repose sur cette ultime phrase, qui claque comme une conversion.
Mais, sans doute, suis-je bien loin de cette réussite, si j’en juge par les propos de Colibrius qui n’a vu d’intérêt à ce texte que dans les deux dernières minutes !
Mes remerciements, encore, chère Candice, pour votre commentaire.
Amitiés,
Ahikar
Ahikar
le
22 novembre 2016
Excusez-moi cher « Rakipu », mais je n’avais pas vu votre commentaire. Je me demande même comment, avec un tel pseudo, il avait pu m’échapper ! Tous mes remerciements !
Amitiés,
Ahikar
christie
le
9 février 2017
Écriture très visuelle. L’influence du cinema sans doute? je vous attends avec impatience sur d’autres sujets. Je vous ai découvert sur RCF. Belle prestation de G. De Louvencourt qui a bien su mettre en valeur votre texte.
J’aurai jamais du ecouter cette histoire avant de me coucher ; j’ai cauchemardé toute la nuit.je voyais des rats partout !!!!!!!!!!!!!!
Anaïs Carontini
Angelo Parisi
le
12 septembre 2020
Les rats ne me font pas peur ; j’ai pu savourer tranquillement cette nouvelle. Virginia Woolf note dans son Journal qu’une nuit dans leur maison à Monk’s House ils ont dû se lever pour sortir une souris qui s’est introduite dans leur lit. Alors, pas de quoi fouetter un chat pour un rat qui est juste caché derrière une pile de livres ! Plus amusant s’il était rentré sous les draps pendant que vous dormiez ! BRRRRRRRRR !!
Ahikar
le
14 septembre 2020
Bonjour Angelo,
Merci pour votre commentaire. Je ne suis jamais allé à Monk’s House. Aussi me suis-je amusé à regarder les photographies de leur maison sur Internet. Une chose m’étonne : vous écrivez qu’une souris s’est introduite dans leur lit et qu’ils ont dû se lever pour la sortir. Or, il semble bien que Virginia Woolf dormait seule si l’on en croit les photographies de sa chambre ! Il semble donc qu’il y ait une erreur quelque part, non ?
Très heureux de vous entendre à nouveau, Ahikar.
La chute m’a surpris. Mais, je note qu’elle vous a surpris également. Décidément, nous sommes peu de chose
Merci Jean-Pierre pour votre commentaire. C’est vrai que la chute m’a surpris, un peu comme une piqûre de rappel, venant me montrer que derrière mon visage humain sommeillait la bête. Nous croyons nous connaître, mais nous connaissons-nous vraiment ?
J’espère que votre projet sur Proust commence à prendre corps.
Amitiés,
Ahikar
Pas encore, je suis avec Voltaire.
C’est ma course du rat (version lente) à moi !
Ah ! je vois ! Vous préférez les charmes de Cunégonde à ceux des jeunes filles en fleurs !
Cher Ahikar
Votre rat a rappelé à mon souvenir une semblable aventure, authentique, qui m’est arrivée il y a une trentaine d’années, et que j’avais oubliée.
Des travaux dans la rue avaient poussé des rats à aller se promener dans les maisons du quartier.
Un jour, j’ai vu une grosse masse, de la taille d’un petit chat, qui entrait comme une flèche, traversait le séjour et filait dans les chambres. Toute la famille a eu la peur de sa vie, mais ce n’était pas possible de dormir en cette compagnie. Nous avons ouvert toutes les portes, chassé le rat, et nous nous sommes barricadés pendant tout le week-end.
Votre texte, votre interprétation, ont un pouvoir d’évocation qui font passer le frisson dans le dos.(et c’est un compliment!!!)
Bravo et merci pour ce moment, quand même…
Amitiés
Cocotte
Merci chère Cocotte pour cette savoureuse anecdote, si bien contée que j’ai encore l’impression de voir le bel animal traverser comme une flèche votre séjour.
Excellent week-end !
… anecdote qui confirme, par ailleurs, que le rat est notre semblable : il file, tout de suite, dans la chambre !
Pouah!
Le rat est peut-être votre semblable, à vous, mais pas à moi.
La différence, c’est que « mon » rat, enfin, je n’en revendique pas la possession, s’est caché sous le lit, et pas dedans. Sinon, je serais allée dormir à l’hôtel!
Toute mon empathie à Michèle!
Cher Ahikar, cher Jean-Pierre, j’espère que vous rapporterez un beau récit de votre promenade en chameau. Il me tarde le l’écouter. Cher Ahikar, à votre plume!
Excellent week-end à tous les deux
Amitiés
Cocotte
ideal pour bien s’endormir
Bonjour à tous,
Merci Ahikar pour cette magnifique et très vivante lecture ; parfaite intonation
tout à fait réelle. De plus,
excellent enregistrement pour le son.
Vraiment merci !
Daniel
Merci beaucoup Daniel ! Votre message m’a fait très plaisir!
Amitiés,
Ahikar
Ah la la! Nous ne nous ressemblons pas tous! Quelle horreur m’inspirent ces animaux!!! Et voilà Cocotte qui en rajoute!!! Malgré ma répulsion pour cet animal, j’avais lu votre texte sur le forum, Ahikar. Et maintenant, je vous ai écouté: votre lecture et votre voix sont excellentes! Vraiment bravo!(Mais… quel dommage que vous nous racontiez une telle histoire…)
Pomme
Bonjour Ahikar,
Je suis une de vos ferventes fans, mais la, je dois dire que je n ai pas bien vu l interet du sujet (a part les deux dernieres minutes, bien sur) ?
Sauf que… cela m a paru bien extraordinaire de faire tout un cinema pour si peu !
(surement la moitie de la planete vit avec des rats et souris a domicile)
Et j attends avec impatience les suivantes
Colibrius
Ma copine a fait beurk en voyant l’image, donc je ne peux pas dire ce qu’elle pense. Mais moi j’ai adoré!!! dus suspens, des frissons jusqu’au bout! vraiment parfait!!! ne changez surtout rien! ne chercher plus votre voie, vous l’avez trouvé!!
ecrivez en beaucoup d’autre
Rafa
@coilibri. Je n’ai pas de rat a domicile ni personne autour de moi. Dans quel pays vivez vous?
Afrique, Oceanie, Amerique du sud… et parfois Europe aussi.
Les rats ont beaucoup voyage depuis l invention du bateau !
Bonjour,
L’autre soir, nous avons reçu des amis à dîner. Tous deux avaient lu la nouvelle sur le rat, et, à un moment, après quelques verres, P. s’est mis à raconter que quand ils sont arrivés à Paris, dans leur nouvel appartement, ils avaient des cafards. Un vrai cauchemar, il y en avait partout. Ce qui m’a beaucoup amusé, c’est que sa femme lui donnait des coups de pied sous la table pour qu’il arrête de raconter. Elle avait honte ; il était clair que pour elle cette histoire n’aurait jamais dû franchir les murs de leur appartement.
Avaient-ils aimé mon texte ? Au fond, j’en sais rien, ils ne l’ont pas dit. Pourtant, il a alimenté une bonne partie de la conversation…
Merci à tous pour vos commentaires, que vous ayez aimé ou non, car l’absence de commentaires, un espace dédié éternellement vide, m’effraie et me déprime, au fond, bien plus que le silence éternel des espaces infinis !
Amitiés à tous,
Ahikar
une histoire qui pourrait arriver a tout le monde, très bien racontée, qui tient bien l’auditeur en haleine, impossible de s’endormir…..
Merci Jean-Michel pour ce sympathique commentaire.
Amitiés,
Ahikar
histoire étrange qui fait froid dans le dos car elle peut arriver à tout le monde
Très bonne lecture
Rakipu
Cher Ahikar,
J’ai écouté avec attention votre histoire. Je l’ai écouté deux fois car je n’en avais pas compris tout de suite le sens, et le commentaire du Cercle de lecture de l’Alliance Française de Buffalo qui a trouvé des sens cachés dans vos écrits m’intriguait. Mais oui, en effet, je comprends la bête cachée ! C’est simplement si juste…
Chère Candice,
Vos mots m’ont touché. Effectivement, il ne s’agit pas que d’une histoire de rat ; comme dans le film de Bresson Pickpocket, il ne s’agit pas que de l’histoire d’un pickpocket. Si je me permets cette comparaison, c’est parce que j’ai ce film en moi depuis que je l’ai vu dans ma prime jeunesse ; il ne m’a jamais quitté. J’ai été profondément marqué par sa construction : pendant toute la durée du film, nous voyons un pickpocket en action, puis il se fait prendre et est incarcéré. Dans la dernière scène du film, nous voyons sa tendre amie lui rendre visite en prison. On comprend alors qu’un retournement s’est opéré quand il prononce la phrase qui clôt le film : « Quel chemin il m’aura fallu accomplir pour arriver jusqu’à toi ! »
Aimerais-je autant le film s’il n’y avait cette dernière phrase ? Je ne sais pas ? Mais ce que je sais c’est que tout l’édifice repose sur cette ultime phrase, qui claque comme une conversion.
Mais, sans doute, suis-je bien loin de cette réussite, si j’en juge par les propos de Colibrius qui n’a vu d’intérêt à ce texte que dans les deux dernières minutes !
Mes remerciements, encore, chère Candice, pour votre commentaire.
Amitiés,
Ahikar
Excusez-moi cher « Rakipu », mais je n’avais pas vu votre commentaire. Je me demande même comment, avec un tel pseudo, il avait pu m’échapper ! Tous mes remerciements !
Amitiés,
Ahikar
Écriture très visuelle. L’influence du cinema sans doute? je vous attends avec impatience sur d’autres sujets. Je vous ai découvert sur RCF. Belle prestation de G. De Louvencourt qui a bien su mettre en valeur votre texte.
J’aurai jamais du ecouter cette histoire avant de me coucher ; j’ai cauchemardé toute la nuit.je voyais des rats partout !!!!!!!!!!!!!!
Anaïs Carontini
Les rats ne me font pas peur ; j’ai pu savourer tranquillement cette nouvelle. Virginia Woolf note dans son Journal qu’une nuit dans leur maison à Monk’s House ils ont dû se lever pour sortir une souris qui s’est introduite dans leur lit. Alors, pas de quoi fouetter un chat pour un rat qui est juste caché derrière une pile de livres ! Plus amusant s’il était rentré sous les draps pendant que vous dormiez ! BRRRRRRRRR !!
Bonjour Angelo,
Merci pour votre commentaire. Je ne suis jamais allé à Monk’s House. Aussi me suis-je amusé à regarder les photographies de leur maison sur Internet. Une chose m’étonne : vous écrivez qu’une souris s’est introduite dans leur lit et qu’ils ont dû se lever pour la sortir. Or, il semble bien que Virginia Woolf dormait seule si l’on en croit les photographies de sa chambre ! Il semble donc qu’il y ait une erreur quelque part, non ?
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/ff/Virginia_Woolf%27s_bed_at_Monk%27s_House.jpg