« Une chose dont mes lecteurs ne sont peut-être point assez convaincus, et dont je tiens à les convaincre, c’est le scrupule et l’entêtement que je mets dans les recherches historiques qui précèdent ou accompagnent ceux de mes romans dont la fable se rattache à l’histoire.
La fuite à Varennes est le fait le plus considérable de la révolution française, et même de l’histoire de France. C’est le point culminant de la royauté : elle a mis sept cent quatre ans à monter jusqu’à Varennes, elle ne met que dix-neuf mois à descendre de Varennes à la place de la Révolution ; en mettant le pied sur la première marche de l’escalier de l’épicier Sauce, l’infortuné Louis XVI mettait le pied sur le premier degré de son échafaud.
C’est pour le peuple que j’ai toujours écrit, et c’est pour lui encore que je déchire aujourd’hui ce feuillet de la gigantesque épopée de nos pères. » Alexandre Dumas
Il y a dans la bibliothèque la pièce entière lue par Christine Treille, la tirade des nez et une autre scène par René Depasse et les trois dernières scènes de la pièce en projet collectif.
Je vous conseille vivement d’écouter tout ça, c’est passionnant!
Vous me donnez envie de retourner à Cyrano, et pourquoi s’il vous plait, ne pas le regarder ?
C’est un pic! C’est un cap! C’est une péninsule!
Merci, cher Shmuel, pour votre fidélité et votre humour, si rafraîchissant!
Grand merci Chère Cocotte pour cette page inoubliable. Si le nez de Marie Antoinette avait été plus long, la face de la Révolution s’en serait aperçue …