Alfred Tennyson par Julia Margaret Cameron, portrait peint par Samuel Laurence (1840)

Swallow (Poème, en anglais)

Un poème extrait des poésies de Tennyson (1809-1892), en version originale:

“O Swallow, Swallow, flying, flying South,
Fly to her, and fall upon her gilded eaves,
And tell her, tell her, what I tell to thee.

O tell her, Swallow, thou that knowest each,
That bright and fierce and fickle is the South. (…)”


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Livre audio gratuit ajouté le 31/10/2008.

6 Commentaires

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  1. Je ne sais pas ce qu’elles valent (justement, vous allez sûrement pouvoir m’aider) mais je tente de traduire moi-même (fort modestement) quelques poèmes de Tennyson dont je mets la traduction en ligne sur mon blog, je vous invite donc à y aller si vous cherchez une telle chose.

  2. Bonsoir à tous!

    Je cherche la traduction en français du poème “The charge of the Light Brigade” de Alfred Tennyson? Sauriez-vous où je pourrai la trouver?

    C’est urgent!

    Merci de votre aide!

    Amitiés,

    Tanai

  3. Bonsoir Vincent,

    Le texte que vous mettez en lien n’est malheureusement qu’un extrait. Le poème en son entier est beaucoup plus long, malheureusement. Comme j’ai d’autres casseroles sur le feu, je crains de ne pouvoir le faire en entier. Mais je n’exclus rien pour le long terme. Félicitations pour votre initiative, en tous cas. C’est un auteur qui gagne à être mieux connu. Amitiés,

  4. Salut Vincent !

    Excellente idée, de mettre des poèmes en V.O. ; d’autant plus lorsque comme ceux de Tennyson, il est impossible de trouver des traductions sur le net. De mon côté, j’ai rencontré ce poète par le biais d’une de ses œuvres qui est citée par Miguel de Unamuno. Il s’agit de The Ancient Sage : je ne sais pas si tu connais. J’ai essayé de traduire le passage cité par Unamuno, mais traduire des vers, c’est à s’arracher les cheveux.

    ça donne ceci (un sommet de métaphysique 🙂 ). C’est le vieux sage qui parle 😉 :

    “Tu ne peux démontrer l’ineffable, ô mon fils ,
    Ni non plus démontrer le monde où tu te meus ;
    Tu ne peux démontrer qu’au corps rien ne s’unisse,
    Ni non plus démontrer qu’au corps rien ne t’unisse,
    Ni non plus démontrer qu’en un, tu n’es pas deux.

    Tu ne peux démontrer ton immortalité.
    Non, pas plus que tu n’as la possibilité,
    ô mon fils de démontrer ta mortalité.
    Tu ne peux démontrer que moi, là, qui discute,
    Je ne suis pas toi-même qui te parle en toi.
    Car rien de ce qui, pour qu’on y accorde foi,
    Vaudrait bien une preuve n’en peut recevoir.
    Et pourtant, il n’est pas non plus en ton pouvoir
    De le démontrer faux, car rien ne le réfute.
    Aussi, sois sage ! Et reste attaché et fidèle
    A ce côté du doute où rayonne la joie,
    A la foi, par-delà les formes de la foi.”

    Cela ne te dirait pas de l’enregistrer en anglais ?

Lu par Vincent PlanchonVoir plus

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