Arthur Rimbaud en octobre 1871, à 17 ans (photographie : Étienne Carjat)

Une saison en enfer

Une saison en enfer est un recueil de poèmes en prose d’Arthur Rimbaud, rédigé en juillet 1873 après une période de crise dans la vie du poète. Chant païen halluciné, la Saison est aussi une profession de foi, marquée par la quête du salut, les déceptions sentimentales et artistiques, et un plaidoyer contre la civilisation occidentale et ses valeurs.


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Livre audio gratuit ajouté le 28/08/2007.

26 Commentaires

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  1. Salut JF,

    Merci beaucoup pour ton message.

    Je dois dire que je n’ai pas été très froissé par le commentaire auquel tu fais allusion. Je n’ai pas proposé d’autres lectures pour la simple raison que je n’avais pas le temps. Très bientôt, j’aurai plus de temps…

    Au plaisir,

    Félix

  2. Ch’te salue bein, Félix, si t’es encore là pour lire ces lignes.

    Tu peux être assuré de mon soutien, en tous les cas. Moi aussi, j’ai dû subir en public de tels commentaires ingrats au sujet de mon accent franco-québécois ( car il n’est certainement pas « anglo-canadien » ! ) Ce qui m’avait particulièrement blessé, ce jour-là, c’est que cela provenait d’un compatriote québécois.

    C’est sûr que ton accent ne me gêne pas du tout 😉 Par contre, j’ai surtout apprécié tes élans de passion lors de cette lecture, même si je ne suis pas un grand amateur de poésie !

    Je t’implore de revenir sur le site ; ta contribution était fort valable dès le départ et ( je pense que le degré d’appui que plusieurs t’ont témoigné sur cette page en fait preuve ) nous avons perdu quelque chose, ce jour-là. Contacte-moi en privé, si tu veux. On pourrait en jaser, de tout ça.

    Sinon, porte-toi bein. Ne te laisse surtout pas abattre par des commentaires baveux ; ça, il y en aura toujours, dans toutes les cultures 😉

    salut bein,
    jf

  3. Merci pour la lecture, je retiendrais la pertinence critique de Diego. Je m’aperçois d’ailleurs que même sur un site aussi riche que littérature audio, qui par le contexte qu’il offre, devrait favoriser l’écoute et la compréhension de l’autre, peu de gens font preuve de relativisme.

  4. j ecoute toutes les poesies d ici avec plaisir. je suis Roumaine et j ai fini la faculte de journalisme – langue francaise en Roumanie. je suis passionee de votre langue et l importance de votre litterature passe au premiere plan, a cote de l interpretation.

    amicalement

    emma

  5. merci, félix pour cette lecture: j’ai adoré! vous êtes a mon avis doué, y a un super travail de lecture. j’ai redécouvert rimbaud, et il est sur mon ipod.

  6. Merci Félix de nous avoir rejoint et de ne pas entrer dans le jeu de l’amertume.
    Ton accent quebecois ( charmant ), sur RACINE, MOLIERE, RIMBAUD ou bien HUGO, l’important est que tu le sentes et le vive pour offrir aux auditeurs l’emotion et la sensibilité qui motivent tes choix.
    Bonne continuation. Romy

  7. Bonsoir DIEGO,

    La FRANCE est multiraciales et le sirop d’erable, le vin Italien, “l’aîoli” “les cornes de gazelles” et tant d’autres saveurs s’associent humblement aux papilles, aux 4 points cardinaux, ainsi qu’aux 4 “coins” du globe. Le goût de chacun, les apprecie différemment.
    Il en est de même pour l’emotion sucitée par une voix sur chaque auditeur.
    ( La remarque de JMB, devait sans doute venir du sourire que peut engendrer la confusion de l’accent quebecois et provencal :°)
    J’ai souri ,sans mechanceté aussi à cet instant, car, je suis du Sud.
    Vous êtes prof ? c’est sans doute la deformation professionnelle qui vous a fait exrimer votre 1er commentaire de façon bréve, et laconique, sans vous en apercevoir.
    Vous voulez entendre l’accent Provencal ? Aller vite en ligne, attraper quelques phrases de “Les Lettres de mon moulin” d’Alphonse DAUDET.
    Et puis, peut-être aussi, en tant que prof, ayant l’habitude de la dialectique, pourriez vous tenter une lecture et venir rejoindre le groupe que nous formons, en decouvrant ce plaisir de Donner et d’ecouter.
    Je ne voulais pas laisser de message, mais ces joutes verbales me semblent si derisoires, voire mediocres,Sutout dans cette époque, pour le moins difficile, que nous subissont presque tous.
    Face à la charge de travail que demande ces enregistrements ( reprises des bafouillages, auto-critiques, montage de l’enregistrement… Bref, bien plus d’heures que le livre en affiche,une fois en ligne)
    Heureusement, nous sommes tous differents ce qui nous permet de s’enrichir , de decouvrir et de laisser le choix aux auditeurs de ne pas continuer une ecoute, si celle-ci lui déplait, il trouvera toujours un donneur de voix proche de sasensibilité.
    Les critiques saines, franches et polies font partie de notre engagement.
    Une annotation baclée “dans la marge au stylo rouge” , peut être blessante ou pire, car si le donneur(euse) de voix n’ose plus lire et nous quitte, ceux qui l’appreciaient, seront aussi privé de leur plaisir, comme punis…
    Je ne vous juge pas, je voudrais juste que tout un chacun n’oublie JAMAIS, la tolerance.
    Le monde serait meilleur.
    En esperant que vous trouverez une audition à votre goût, Je vous salut et vous souhaite un bon week-end.
    Romy

  8. Bonjour Diego,

    merci pour vos commentaires, je crois cependant que le véritable enjeu est dans la liberté qu’a tout un chacun de s’approprier les oeuvres littéraires.

    Faut-il parler le grec pour revisiter Xénophon? Une femme peut-elle avoir le loisir de clamer du Baudelaire? Un Québécois peut-il proposer une lecture de Rimbaud?

    Si cela vous déplaît, soit. Peu me chaut. J’en réclame néanmoins le droit de m’approprier la Saison en enfer, que je crois avoir suffisamment cerné et assez bien assimilé pour en offrir une version que ne soit pas dénudé d’intérêt.

    Au plaisir,

    Félix

  9. Cher Diego,

    Je crois que tout le monde a entendu votre critique ; il n’est peut-être pas très adroit de votre part d’en rajouter une couche.

    Il n’est pas question ici de ne faire que des compliments aux donneurs de voix (certains ont bien sûr des imperfections), mais au moins de faire preuve d’élégance dans les rapports humains et de rendre justice malgré tout à un travail qui est bénévole.

    Vous résumez les différents intervenants qui défendent l’interprétation de M. Félix Tanguay à de l’amitié ; relisez-bien et vous verrez qu’il n’en est rien : c’est bien la qualité et l’originalité de son expression qui est défendue.

    Critiquer cette interprétation parce qu’elle ne sonne pas “comme il faut” est tout bonnement aberrant ! Cela revient à critiquer une appartenance nationale ou culturelle.

    Toute lecture doit certes servir le texte en premier lieu, mais elle a bien sûr aussi sa part de personnalité. Sachez la respecter.

    Bien cordialement,

    Augustin

    PS. Pour ce qui est de la critique de JMB, elle est certainement trop virulente envers vous ; mais je crois que vous avez suscité vous-même cet énervement en adressant (peut-être sans vous en apercevoir) une critique quelque peu péremptoire, sans un bonjour ni au revoir. Comme dit le Proverbe : “Qui sème le vent…”

  10. 1. Le ton de mon intervention ne me semblait pas aigre, probablement un peu sec, ainsi que la brièveté l’imposait.
    2. Je vois que certains aiment seulement les éloges et les compliments … Je respecte, néanmoins, l’amitié par laquelle vous entourez m. Félix.
    3. Eh bien, le pseudonyme Diego vous semble-t-il du Sud, cher JMB? Vous semblez oublier que la France est désormais multiraciale et maints Mohamad, Diego, Raïssa, sont peut-être aussi “nordistes” qu’un pommier de Normandie. Rajeunissez vos catégories…
    4. Le véritable enjeu est l’inflexion dialectale, qui est une richesse, ainsi que le patois, mais à sa place, au bon moment, pour les lectures et les auteurs qui s’y prêtent. Une discussion sur ce sujet s’impose (j’enseigne dans les Lycées et sais combien la question est riche et sérieuse). Pourvu, toutefois,que l’on considère les opinions différentes, et même les critiques, sans se blesser immédiatement comme des enfants.

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