« Tuez plutôt votre fille que de l’emprisonner dans un cloître, oui, tuez-la. »
Ainsi s’exprime la narratrice, placée contre son gré dans un couvent, à un marquis dont elle espère du secours.
Selon Diderot, son roman est « une effrayante satire des couvents », roman noir, teinté d’érotisme hardi, qui ne fut publié qu’après la mort de l’auteur.
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Illustration :
Gustav Klimt – Serpents d’eau I (1904).
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Livre audio gratuit ajouté le 12/09/2009.
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Merci Pomme
pour cette passionnante et belle lecture que vous donnez de Diderot. Vous faites vivre Suzanne remarquablement et donnez corps à son trouble et à ses interrogations avec beaucoup de finesse. Il entre pourtant curieusement en écho avec le film contemporain “Avril” de Gérald Hustache-Mathieu diffusé sur Arte il y a peu.
J’ai écouté votre lecture sur un lit d’hôpital cet hiver et cela m’a permis de tenir pendant ces longues nuits ! Mille mercis
Serge
Bonjour,
Je souhaite faire hommage au temps que vous avez pris pour nous lire la religieuse.. Quel bonheur que de se laisser bercer le soir par cette écoute! Vous le lisez extrêmement bien… J’y reviendrais! Merci encore et au plaisir
Je tenais à vous remercier pour cette lecture très agréable et expressive, qui m’a accompagnée durant de nombreuses promenades et trajets en train. Encore bravo!
merci Pomme c’était super, bravo pour votre lecture et pour votre choix
Eh oui, Roland! Vous avez flairé juste: Diderot et des amis montèrent toute une supercherie à un de leurs amis pour le faire revenir à Paris: ce marquis était intervenu au procès d’une religieuse cloîtrée contre son gré, procès qu’elle perdit. Les facétieux firent croire au marquis que la jeune femme s’était évadée et Diderot composa toute une correspondance entre elle et une femme qui l’avait soit-disant recueillie. Un peu plus tard, Diderot faisait de cette correspondance le récit “La Religieuse”.
Et merci pour votre gentil commentaire.
Pomme
tres belle lecture.
de l’emotion dans la voix, et un petit changement de voix quand changent les personnages rendent la comprehension plus facile pour l’auditeur, on est vraiment ‘dedans’
bravo et merci.
de plus, ce roman m’a tout l’air de ne pas etre loin d’une histoire vécue…
Merci Pomme ! ! Après Zola que vous rendez merveilleusement bien, je découvre une nouvelle corde à votre arc. Je ne connaissais pas ce texte de Diderot et c’est à vous que je dois cette découverte et quelques heures incroyables cloîtrée avec Suzanne Simonin dans les méandres du XVIIIème, bien heureuse de revenir au temps présent. Ce récit est étonnant et votre voix est un cadeau pour nous. MERCI !!
Merci Clotilde pour votre compliment qui me touche beaucoup. Vous savez, ce texte n’est pas plus difficile que les Confessions de Rousseau!!!
A bientôt. Pomme
Je n’ai pas encore tout écouté, mais je peux d’ores et déjà dire bravo, c’est une belle lecture. Je me souviens avoir eu aussi l’envie de l’enregistrer il y a quelques mois (je vois qu’on a les mêmes goûts: Rousseau, Diderot !)mais cela m’avait semblé trop difficile: c’est ici réalisé avec brio.
je voudrait savoir si on peut mettre sur pause