La Mort de la Joconde de l’académicien Gabriel Clouzet (1878-1914) est le récit d’une visite au Louvre quelque temps après « l’assassinat » d’une toile de Poussin.
Avertissement final :
« Anatole eut conscience de sa faiblesse devant cette machine compliquée et formidable des bureaux
qui laissent placidement les chefs-d’œuvre s’anéantir. »
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Illustration :
L’emplacement vide la Joconde, en 1911, suite au vol du célèbre tableau au musée du Louvre
Livre audio gratuit ajouté le 07/01/2019.
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Lu par René Depasse
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A l’attention de Monsieur Depasse
Je tiens à vous faire part de mon admiration sur la manière dont vous gérez vos problèmes de santé dus à l’âge.
Ce dépassement de soi me semble en effet l’expression d’une grande force intérieure qui ,je l’espère, encouragera ceux dans votre situation à ne pas renoncer à leurs désirs ,quels qu’ils soient.
Ne serait-ce que par le rêve quand les conditions restreignent l’activité.
Continuez à laisser votre esprit libre de s’exprimer et ainsi triompher d’un corps qui finit par trahir.
Dans l’attente d’une de vos prochaines lectures ou interventions,je vous renouvelle mes vœux 2019!
Excellente initiative!
Pour résumer,on pourrait dire que pour revendiquer le respect dû à chacun et tous,encore faut-il s’assurer d’en faire preuve soi-même à l’égard des autres…
A l’évidence,le débat ne porte pas sur d’éventuelles erreurs de lecture mais bien sur le manque de respect avec lequel cela a été mentionné, inclus la manière dont la réponse de Monsieur Depasse a été allègrement enjambée…
P.S.Monsieur Depasse ne s’est pas positionné en “victime” tel que dit dans 1 des messages du 14.
Bonne année à L.A et aux intervenants.
Moi, je vais suivre le conseil de SPQR. Je quitte ce débat qui a désormais perdu beaucoup de sa tonicité. Je fonce à ma mairie pour le grand Débat National. Là, au moins, il devrait y avoir du bourre-pif de qualité 😉
A Bruissement,
En effet, si nous ne parlons pas des mêmes choses il est parfaitement inutile d’échanger nos points de vues…
Si vous trouvez, que d’écrire à une personne que sa lecture “donne une image peu reluisante du bénévolat”, peut être considéré comme tout à fait recevable, cela est entièrement votre droit que je ne contesterai d’aucune façon, puisque vous ne regardez que cette partie du tableau…
Pour moi, la réponse de M. Depasse dont l’immense sincérité particulièrement respectable devrait conduire ceux qui sont tellement irréprochables à s’interroger sur ce qu’eux-mêmes sont disposés à donner aux autres jusqu’à l'”ultima necat vulnerant omnes !”
Mais laissons là, ce triste débat, et que chacun trouve son propre chemin comme Ulysse a retrouvé son refuge…
Chère SPQR,
Ah!?
Comprenez mon étonnement, je ne vous conteste pas votre attachement à monsieur Depasse.
Le fond du problème est ailleurs.
Permettez-moi encore une petite remarque en passant:
Vous dites
“Il ne s’agit pas de juger d’une lecture mais d’un homme qui a offert des heures incalculables de lectures à d’autres.”
Soit! c’est votre perception des choses.
Cependant le point de départ de ce sujet était si je ne m’abuse, précisément en rapport avec cette lecture et ses erreurs.
Mais bon prenons de la hauteur et cessons de pinailler sur cette lecture, toute l’œuvre de monsieur Depasse et aussi… sur les remarques des contradicteurs, qui eux aussi, ont droit à notre respect.
ce que je préfère dans les donneurs de voix c’est ceux qui font passer le texte avant leur propre voix, la voix qui nous rend le texte vivant est nettement plus agréable que celle qui ne veut que se faire valoir, ce qui fait que chacun entend le texte comme il lui convient, merci à tous les donneurs de voix.
Mon ami Paul-Émile a écrit un commentaire qui n’a pas été retenu. Le voici:
“Durant ses bonnes années, monsieur D. n’a pas toujours été tendre avec ses audio-lecteurs. Il n’est pas une victime.”
Ces petites chamailleries ne sont finalement que le reflet de l’Égo qui dirige les pauvres humains que nous sommes.
Et si on dansait !?! 🙂
J’ai apporté mon soutien à M. Depasse, et je le maintien tel quel.
Que Bruissement, s’en saisisse pour tordre mon propos est étonnant, car en effet, il n’y a nul procès d’intention, tout au plus un constat.
Pour ce qui me concerne, la dévotion de M. Depasse, le travail qu’il a accompli, font qu’il recueille mon admiration et mon respect. Les mots qu’il a employés pour répondre à cette remarque indélicate, m’ont profondément peinée.
Ainsi, il a donné son temps et son énergie, sa connaissance, mais aussi,partagé ce qu’il aime avec des inconnus, et je prétends à tort semble-t-il, que l’on doit se montrer assez bon et honnête pour le lui reconnaître, car le temps d’un homme est aussi sa vie.
Il ne s’agit pas de juger d’une lecture mais d’un homme qui a offert des heures incalculables de lectures à d’autres.
S’il vous plaît Bruissement, de préférer la lettre à l’esprit, alors oui, nous ne pouvons être d’accord, et d’ailleurs, il me déplairait d’être de votre avis…
A M. Depasse : Vale !
Chère SPQR,
Ne pas relever la réponse donnée par monsieur Depasse, est-ce à dire que cette réponse laisse indifférent? Pas forcément.
En outre, déduire de ce silence, “une brutalité choquante” me laisse perplexe.
Je ne connaissais pas cette signification de la brutalité.
“Agir” ou “s’exprimer” avec brutalité ça se conçoit.
Mais que “ne rien faire” ou “ne rien dire” puisse entrer dans cette catégorie de brutalité peut interpeler?
À ce compte on peut accuser tout le monde de tout.
“Sur les avis tout est concevable”, sur la signification des mots…peut-être pas.
Mon propos ne vise pas à priver monsieur Depasse de la compassion qu’on doit à chacun et à lui particulièrement en ce moment. Mon propos vise à appeler un chat, un chat et une demande de rectification d’erreurs, une demande de rectification d’erreurs, rien de plus.
Les procès d’intention qui visent à décrédibiliser une personne pour en approuver une autre sont à éviter.
On peut par exemple opposer au souhait de rectification d’erreurs que M.Depasse ne peut pas le faire, à cause de ses problèmes de vue notamment.
En aucun cas, on ne doit “brutaliser” verbalement celui qui, innocemment, vient émettre un avis somme toute justifiable.
Désolée, chère SPQR, mais je suis d’accord avec vous: “la pondération de certains ne peut faire oublier cette brutalité” comme vous dites.
Sur les avis tout est concevable, ce qui ne l’est pas, c’est que la réponse donnée par M. Depasse laisse indifférent, et ne suscite pas même une gêne légère.
La pondération de certains ne peut faire oublier cette brutalité.
Désolée nous avons été coupées.
Votre mari a donné son avis donc, nous le notre.
Je le respecte mais ce qui me dérange dans ce débat (somme toute stérile puisque nos points de vue divergent) c’est votre procès d’intention en parlant de haine et d’hypocrisie; je ne vous connais pas je n’ai aucun avis sur vous alors de grâce faites de même avec moi. J’écoute M.Depasse ainsi que de nombreux DDV depuis quelques années maintenant alors à moins de souffrir de schizophrénie ou autre,je ne me ferais pas souffrir en m’infligeant des écoutes pénibles.Quand un DDV ne me plait pas, je n’écoute pas mais je respecte cependant son travail en ne lui donnant pas de leçon. Je veux dire par là (on va me parler de critique constructive) ce n’est pas pcq le façon de lire ne me convient pas que ce n’est pas la bonne.
Vous avez donné votre avis (je respecte, c’est le votre, je ne le partage pas) mais la façon de cataloguer les “partisans” de M.Depasse ne vous fait pas hommage.
En vous souhaitant le meilleur, sincèrement.
“l’important n’est pas que mon discours soit vrai mais qu’il soit sincère” Albert Jacquard