Malgré une affectation que l’on sent un peu forcée et une prose parfois maladroite, ce texte, publié en 1893 comme un chapitre de Ce qui meurt et en 1917 comme un recueil de prose, ne manquera pas de toucher lecteurs et auditeurs de par son émouvant sujet et de nombreux passages extrêmement réussis.
« Si tu savais, mon petit Pierre, elle a toujours les yeux rouges, ta maman, et ses joues sont creuses maintenant. Tu étais content autrefois d’avoir une maman bien jolie. Il ne faut pas qu’elle cesse d’être jolie. Il ne faut pas qu’elle tombe malade. Ça te ferait trop de peine, n’est-ce-pas, Pierrot ? Alors je me cache et je viens tout seul, sans qu’elle le sache. »
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Livre audio gratuit ajouté le 11/06/2012.
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Lu par Iamnot
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