1815 : Jacquou, jeune garçon du Périgord, fils d’un métayer exploité par son patron, le comte de Nansac, vit misérablement dans les pires conditions de pauvreté des paysans français du 19ème siècle. À cause du comte, le père de Jacquou succombe aux rudes conditions des galères et sa mère meurt de misère. Devenu adulte, il ne pense qu’à venger ses parents et sa haine se transforme en un combat contre l’injustice et la cruauté des seigneurs, alors que s’annonce la Révolution de 1830.
« Ce qu’ils ont fait, leurs ancêtres l’ont fait. Poussés à bout par des brutalités insolentes, par des cruautés gratuites, par la violation humiliante de leur dignité d’hommes, ils se sont révoltés. Puisque la loi n’existait pas pour eux, puisque ceux qui devaient les protéger contre ces vexations arbitraires et ces violences sans nom les ont abandonnés, puisqu’on les a relégués pour ainsi dire hors du droit et de la justice, je le dis bien haut : ils sont excusables ; je dirais presque : innocents ! Eux pauvres, chétifs et opprimés, ils ont voulu se remettre en leur droit naturel et, par manière de dire, de bêtes redevenir hommes » E. Le Roy
Avec ce roman publié en 1899, Eugène Le Roy accède à la célébrité.
Un roman enregistré par vous, ce sont toujours des heures de bonheur passées à vous écouter ! Merci !
Chère Véronique
Je suis très heureuse que Jacquou vous ait plu. L’enregistrer a été un grand moment de bonheur pour moi.
Merci pour votre commentaire très encourageant. Il m’a beaucoup touchée.
Amicalement
Cocotte
Un grand merci chère Cocotte! Du pur régal!!!
Cher messire Trollus
Quel plaisir de vous retrouver.
Votre aimable commentaire sur cette histoire, publiée il y a six ans, m’est très précieux. Les audio lecteurs ne s’arrêtent pas aux derniers livres parus, quelle chance!
Je suis heureuse que vous ayez aimé cette histoire. Vous m’en voyez ravie!
Pour vous, ma plus belle révérence.
Amicalement
Cocotte
Merci pour cette belle histoire gente dame!
😉
Cher Christian
Je suis très heureuse que vous ayez aimé ce roman. Il m’a beaucoup touchée quand je l’ai lu. Tout à fait d’accord avec vous : Eugène Le Roy est un excellent auteur, malheureusement un peu trop oublié.
Deux romans d’Ernest Daudet, mon compatriote, qui, lui aussi, avait l’accent nîmois, sont prévus pour le mois prochain. Ceux d’Alphonse sont tous dans la bibliothèque, mais son frère s’y trouve encore trop peu.
Votre commentaire m’a fait un grand plaisir. Je vous en remercie, vous êtes très encourageant.
Bien cordialement
Cocotte
Merci Madame Cocotte,
J’ai vraiment beaucoup apprécié votre lecture et votre accent qui lui va si bien. J’ai aussi avec vous, découvert un excellent auteur dont je ne connaissais pas le texte.
Bien cordialement,
Christian
Chère Manon
Je suis très heureuse d’apprendre que vous avez aimé ce Jacquou le Croquant. J’ai pris beaucoup de plaisir à l’enregistrer. C’est, à mon avis, un des plus beaux livres d’Eugène Le Roy, et aussi le plus célèbre.
Merci d’avoir pris la peine de poster cet encourageant commentaire, qui m’a beaucoup touchée.
Amicalement
Cocotte
Encore une fois, merci Cocotte.
Je croyais aussi connaître ce roman pour l’avoir vu en film mais j’ai eu l’impression de le découvrir à travers votre lecture toujours aussi agréable à entendre.
Après avoir fait une digression du côté de Victoria en écoutant “Pêcheurs d’Islande” (que j’ai apprécié aussi), je vous retrouve maintenant dans “Quo Vadis ?” avec plaisir.
Cher De Saint Ange
Je suis heureuse que nous ayons partagé de Jacquou le Croquant. Ce livre m’avait beaucoup plu quand j’étais adolescente et j’ai été ravie d’avoir la possibilité de le présenté à des audio lecteurs qui ne le connaissaient peut-être pas encore.
Merci d’avoir pris la peine de poster de retour si encourageant.
Cocotte