Quand Louis Aragon écrivait en 1946 Il n’y a pas d’amour heureux :
« Il n’y a pas d’amour qui ne soit à douleur
Il n’y a pas d’amour dont on ne soit meurtri
Il n’y a pas d’amour dont on ne soit flétri »,
peut-être connaissait-il ces trois récits de René Maizeroy : Le Pleureur, À perpète, Le Voleur, extraits de La Fête (1893).
NB. À voir aussi sur le site, du même recueil : Sélection 1 ; Sélection 2 ; Sélection 3.
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Livre audio gratuit ajouté le 18/09/2012.
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Lu par René Depasse
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