Livre d’or

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  1. G
    Geneviève

    Un coup de foudre :

    Je ne suis pas professeur de français dans un lycée parisien , mais
    je suis tombée par hasard il y a quelques mois sur ce site
    remarquable où cohabitent humour, compétence, fantaisie,
    don de soi, désinteressement, disponibilité, enthousiasme,
    générosité, les mots me manquent ..

    Mais n’y a t’il donc aucun professeur de latin pour rappeler aux grincheux imbus d’eux mêmes l’étymologie de «bénévole» , que,
    par un audacieux raccourci, nous allons résumer par «bonne
    volonté» ?

    C’est pas encore terminé les corrections du bac ?

  2. Christine Treille
    Christine Treille

    Merci Agnes, on respire mieux ainsi effectivement!
    Cher Jean Pierre, j’ai branché ma clim sur “igloo”, ça va aller!

  3. J
    Jean-Pierre Baillot

    Pas mal “torché”, Agnes83 ! Soit vous avez la clim à la maison … soit vous êtes prof de français !

  4. A

    À Anne Susini : Ola chavala, no t’enfades e stai calma sul cavallo ! Réconciliation des langues !
    “Coup de gueule”… je rêve…! Pour le moins inapproprié dans ce contexte.
    Dieu (ou René Depasse, que je salue tous mes souhaits sincères) sait pourtant que je suis la première à défendre l’idée que qualité et bénévolat peuvent très bien cohabiter.
    C’est une question de ton. Ce n’est pas à vous que je vais expliquer l’importance du choix des mots, du registre e tutti quanti, c’est les vacances!
    Je vous propose une autre formulation : “Chère Christine Treille, les nombreuses erreurs – ou coquilles – qui émaillent votre texte ont gêné ma lecture et c’est vraiment dommage. Je suis professeur de français et vous propose de relire et corriger votre texte dans l’esprit de bénévolat qui est le vôtre et que j’admire.”

    Ah ! On respire mieux, non ? Bonne soirée, Agnès.

  5. J
    Jean-Pierre Baillot

    Piano et cool !
    Christine, il ne faut surtout pas s’échauffer par cette canicule 😉

  6. Christine Treille
    Christine Treille

    Correction….inepties de style, la stylistique étant un nom et non un adjectif. Mais vivant en Italie de puis 30 ans, j’ai confondu avec stilistico employé ici comme adjectif! Cela m’arrive souvent malheureusement!

  7. Christine Treille
    Christine Treille

    Chère Madame Susini,

    Il semblerait qu’un professeur de français se soit trouvé en fin de compte! Je vous remercie de me faire noter aussi aimablement mes erreurs grossières. Effectivement elles sont impardonnables. Que vous y croyez ou non je suis une personne qui tient beaucoup à l’orthographe….mais si!
    Personne que moi n’a relu le texte et à force de lire vingt fois les même choses on passe à côté de ses propres fautes.
    Ce site étant fait de bénévoles je serais très heureuse si vous acceptiez de corriger mes si nombreuses inepties tant orthographiques que stylistiques.
    Au cas où vous seriez intéressée faites-le moi savoir.
    Merci pour votre attention.
    Christine Treille

  8. B
    Bernard Collombet

    Rénover une maison en profitant des grandes oeuvres de la littérature, magnifiquement lues qui plus est !… Et les voisins en profitent car je dois mettre le volume assez haut pour couvrir les bruits divers et variés que je provoque. Bref, occuper utilement son esprit pendant que les mains travaillent… et diffuser la culture au plus grand nombre !

  9. A
    Anne Susini

    Un coup de gueule

    Je suis professeur de français dans un lycée parisien. Je suis tombée par hasard sur « La Bibliothécaire » de Christine Treille. Mais n’y a-t-il donc aucun professeur de français pour lui dire que son texte est truffé de fautes et d’incohérences. Qui sont donc les personnes qui relisent ?

    Quelques exemples au hasard :

    « … s’agitaient sans aucun respect pour le lieu où se trouvaient. »

    « Il faut que l’on revienne demain matin et qu’on les interroge avec qu’ils ne se shootent. »

    « On ne reste pas devant un livre s’en s’émouvoir. »

    « Si Sofia voulait seulement une vengeance, il lui était suffisant de mettre en scène son meurtre en faisant à moins d’envoyer les deux jeunes au stade. »

    Cordialement

    Anne Susini

  10. a

    Quelle merveilleuse initiative et quel plaisir quand les yeux faiblissent que de ne pas être privée de mes auteurs favoris. Merci à toute l’équipe

5 132 Commentaires

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  1. Un coup de foudre :

    Je ne suis pas professeur de français dans un lycée parisien , mais
    je suis tombée par hasard il y a quelques mois sur ce site
    remarquable où cohabitent humour, compétence, fantaisie,
    don de soi, désinteressement, disponibilité, enthousiasme,
    générosité, les mots me manquent ..

    Mais n’y a t’il donc aucun professeur de latin pour rappeler aux grincheux imbus d’eux mêmes l’étymologie de «bénévole» , que,
    par un audacieux raccourci, nous allons résumer par «bonne
    volonté» ?

    C’est pas encore terminé les corrections du bac ?

  2. À Anne Susini : Ola chavala, no t’enfades e stai calma sul cavallo ! Réconciliation des langues !
    “Coup de gueule”… je rêve…! Pour le moins inapproprié dans ce contexte.
    Dieu (ou René Depasse, que je salue tous mes souhaits sincères) sait pourtant que je suis la première à défendre l’idée que qualité et bénévolat peuvent très bien cohabiter.
    C’est une question de ton. Ce n’est pas à vous que je vais expliquer l’importance du choix des mots, du registre e tutti quanti, c’est les vacances!
    Je vous propose une autre formulation : “Chère Christine Treille, les nombreuses erreurs – ou coquilles – qui émaillent votre texte ont gêné ma lecture et c’est vraiment dommage. Je suis professeur de français et vous propose de relire et corriger votre texte dans l’esprit de bénévolat qui est le vôtre et que j’admire.”

    Ah ! On respire mieux, non ? Bonne soirée, Agnès.

  3. Correction….inepties de style, la stylistique étant un nom et non un adjectif. Mais vivant en Italie de puis 30 ans, j’ai confondu avec stilistico employé ici comme adjectif! Cela m’arrive souvent malheureusement!

  4. Chère Madame Susini,

    Il semblerait qu’un professeur de français se soit trouvé en fin de compte! Je vous remercie de me faire noter aussi aimablement mes erreurs grossières. Effectivement elles sont impardonnables. Que vous y croyez ou non je suis une personne qui tient beaucoup à l’orthographe….mais si!
    Personne que moi n’a relu le texte et à force de lire vingt fois les même choses on passe à côté de ses propres fautes.
    Ce site étant fait de bénévoles je serais très heureuse si vous acceptiez de corriger mes si nombreuses inepties tant orthographiques que stylistiques.
    Au cas où vous seriez intéressée faites-le moi savoir.
    Merci pour votre attention.
    Christine Treille

  5. Rénover une maison en profitant des grandes oeuvres de la littérature, magnifiquement lues qui plus est !… Et les voisins en profitent car je dois mettre le volume assez haut pour couvrir les bruits divers et variés que je provoque. Bref, occuper utilement son esprit pendant que les mains travaillent… et diffuser la culture au plus grand nombre !

  6. Un coup de gueule

    Je suis professeur de français dans un lycée parisien. Je suis tombée par hasard sur « La Bibliothécaire » de Christine Treille. Mais n’y a-t-il donc aucun professeur de français pour lui dire que son texte est truffé de fautes et d’incohérences. Qui sont donc les personnes qui relisent ?

    Quelques exemples au hasard :

    « … s’agitaient sans aucun respect pour le lieu où se trouvaient. »

    « Il faut que l’on revienne demain matin et qu’on les interroge avec qu’ils ne se shootent. »

    « On ne reste pas devant un livre s’en s’émouvoir. »

    « Si Sofia voulait seulement une vengeance, il lui était suffisant de mettre en scène son meurtre en faisant à moins d’envoyer les deux jeunes au stade. »

    Cordialement

    Anne Susini

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