(O) PUCCIANO, Pauline – La Mort, l’Amour et la Mer

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  • #144037
    Pauline PuccianoPauline Pucciano
    Maître des clés
      #156945
      Pauline PuccianoPauline Pucciano
      Maître des clés

         http://dl.free.fr/ksXjsJ6KM

        Bonjour à tous, 

        Comme la rentrée se profile En pleurs j'ai pensé à vous proposer ce texte qui sent bon l'air marin, écrit en 2001.

        Amanda est née en parlant et  ses yeux changent de couleur au gré de ses humeurs. Son père mort continue à lui parler dans son cercueil et sa mère passe son temps à monologuer, immobile dans une maison encombrée du sol au plafond d’un fatras inextricable…

        Amanda aime, enfante, et mène son existence à la manière d'un voyage tout au long de ce petit récit où se mêlent un peu d'émotion,de poésie et de fantaisie.

        En remerciant chaleureusement ceux qui voudront bien me lire,

        Pauline





        #156946
        CocotteCocotte
        Participant

          O

          #156965
          BruissementBruissement
          Participant

            O

            #156967
            AegidiusAegidius
            Participant
              #156971
              #156978
              AegidiusAegidius
              Participant

                Je n'ai lu que quelques pages, c'est très soigné dans l'ensemble, je vous indique à tout hasard certaines inadvertances sans grande importance que j'ai repérées.

                Page 2
                par là : sans trait d'union.

                page 4
                d'elle : apostrophe.
                il était si content : masculin
                À ce moment : accent grave sur la majuscule

                page 5
                à sa radiation : lettre manquante

                page 6
                sans que rien puisse : les puristes refusent la négation explétive dans la syntaxe “sans que”, et ce, même si elle contient un mot négatif car il a un sens positif dans ce contexte, par exemple “sans que personne vienne” (ou vînt au subjonctif imparfait), “sans que rien se passe” (ou se passât au subjonctif imparfait), “sans qu'aucun parle” (ou parlât au subjonctif imparfait) etc. Cette règle est contestée par d'autres grammairiens plus tolérants, je l'ai moi-même utilisée dans mon conte de fées échiquéen intitulé “Le tournoi d'échecs”, on trouve d'ailleurs des occurrences chez Balzac et chez Proust mais jamais chez Hugo ni chez Verne. Donc à vous de voir, je vous indique cette spécificité à tout hasard.
                qui m'y avait poussée : deux virgules accolées. Si le pronom élidé “me” renvoie à un être féminin, je crois que le participe devrait s'accorder.

                page 7
                elle m'a laissée la palper : accord à vérifier
                bavardage : plutôt au singulier à mon avis

                page 8
                par-delà : trait d'union

                Je n'ai pas tout lu mais à la fin il faut écrire “partirent”, et peut-être “sans que personne sache”. Ces remarques se veulent bienveillantes, j'ai apprécié l'ambiance du début, c'est très vivant, c'est un travail de qualité, merci à vous.

                O

                #156979
                Pauline PuccianoPauline Pucciano
                Maître des clés

                  Merci Aegidius pour toutes ces corrections et pour vos remarques encourageantes, j'essaierai de corriger plus sérieusement ma version texte ! Vous aurez remarqué que je ne suis pas ( assez) perfectionniste, je vous demande de m'en excuser…

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