« Je n’ai point la prétention d’être un auteur. Qui dit : auteur, dit toujours un peu : romancier, et, Dieu merci ! Le mystère de la « Chambre Jaune » est assez plein de tragique horreur réelle pour se passer de littérature. Je ne suis et ne veux être qu’un fidèle « rapporteur ». Je dois rapporter l’événement ; je situe cet événement dans son cadre, voilà tout. »
« Le monde entier fut penché pendant des mois sur ce problème obscur, Le Mystère de la chambre jaune le plus obscur à ma connaissance qui ait jamais été proposé à la perspicacité de notre police, qui ait jamais été posé à la conscience de nos juges. La solution de ce problème affolant, chacun la chercha. »
Dans les chapitres VI et XIV, sont proposés deux croquis qui permettent de se faire une meilleure idée des lieux :
- plan du rez-de-chaussée (ch. VI),
- plan du premier étage du château (aile droite) (ch. XIV).
Je vous ai écouté en octobre 2020 et je rattrape mon retard de commentaires sur le site !
Merci pour cette lecture !
Je n’en garde malheureusement pas un bon souvenir.
Je trouve cependant que le texte a bien mal vieilli. Très prévisible, sans subtilité, très prétentieux, des effets de soi-disant suspens à outrance, etc.
Même en me forçant à penser à l’époque à laquelle il a été écrit, je n’accroche pas.
Ce qui est perturbant pour moi c’est que l’on pourrait faire les mêmes reproches à beaucoup de romans de Jules Verne. Et pourtant, c’est souvent là que je trouve leur charme… Je suis peut-être incohérent et trop partial, mais j’ai eu beaucoup de mal avec ce Mystère de la chambre jaune !
Pour en revenir à votre lecture, elle était plaisante et vraiment adaptée au texte. C’est sûrement grâce à elle que j’ai écouté jusqu’au bout !
Un grand merci cher monsieur …
Avec votre ton inimitable,vous servez à merveille ce roman que je découvre.
Quel bonheur de se laisser embarquer dans l’histoire de la sorte.
Vous m’aviez époustouflé avec une nouvelle de Léon Bloy qui se passait à la Salette également … J’en profite pour vous le dire et vous remercier chaleureusement et cordialement.
Mathieu