Octave Mirbeau revêt son gilet jaune de 1900 et condamne les lois qui favorisent les riches et maltraitent les pauvres.
Il termine Les Abandonnés par :
« Il regarda la nuit qui enveloppait les champs, la forêt, les villages ; et il sentit s’élever en lui, du fond de son être, une pitié immense, et un immense amour, pour les pauvres voleurs et les pauvres putains, qui rôdent dans les ténèbres amies. »
Consulter la version texte de ce livre audio.
Illustration :
Livre audio gratuit ajouté le 24/07/2019.
Consulté ~3011
Lu par René Depasse
14 min
26.7K
50 min
11.5K
35 min
4.3K
5 h
12.3K
20 min
3.0K
30 min
5.0K
4 h 20
4.3K
25 min
5.1K
Commenter