« Que reste-t-il dans un monde où tout est artificiel ou à vendre ?
Dans un monde où le corps est à la fois traité comme un objet de culte et comme une marchandise jetable ?
Dans un monde où ceux qui ne jouissent pas des avantages du Réseau, qui régule toutes les interactions sociales, sont condamnés à végéter dans la rue ?
Paris, 22ème siècle. Il n’y a plus d’État.
Les citoyens, ou « libertons », sont invités à se préoccuper essentiellement de leur propre apparence et de leur plaisir, sources inépuisables de consommation : c’est ainsi qu’a été lancée la vogue de la « construction personnelle », body-art poussé à l’extrême, où chacun devient le créateur de son propre personnage.
Les réseaux sociaux, devenus de véritables univers virtuels, ont totalement envahi l’espace privé.
Les corporations sont toutes-puissantes et tous les trafics sont autorisés.
La police elle-même obéit à ses propres sponsors.
Les Hors-Réseau, qui n’ont plus d’Identité Informatique, ne jouissent plus d’aucun droit civique.
Morgane Corporation, une multinationale parmi tant d’autres, amasse tranquillement des millions en prélevant et en revendant des organes… Mais sa prospérité monstrueuse se verra compromise par la rencontre improbable entre un poète libertaire et une icône des réseaux sociaux.
C’est que, même au fond de cette décadence, certaines choses ne sont pas à vendre.
La poésie.
L’amour.
La révolte. »
Avec l’aimable autorisation des éditions LEN.
NB : Titania 3.0 n’est pas la suite de Titania 2.0 mais sa transformation en une histoire plus ample et plus adaptée à un public jeune. Le récit est enrichi d’ajouts dès les premières pages, mais il bifurque véritablement à partir du chapitre 8.
Anthony L., Titania Song.
Bonjour Pauline et merci beaucoup pour vos romans et vos lectures. Difficile de se concentrer sur autre chose quand on vous écoute ! 🙂
Je me suis plongée avec plaisir dans l’univers des Titania, vivement le 5.0 !!
Au plaisir de découvrir la suite de vos récits !
Merci Aurore pour votre commentaire ! Il n’y aura pas de suite à cette série, mais j’ai beaucoup d’autres projets en cours…
D’accord merci Pauline, j’ai souvent l’habitude de télécharger les livres seulement car elle ne sont pas en actualités dans mon pays… je n’ai trouvé ce livre dans aucune librairie de mon pays (CAMEROUN) et j’ai pas de moyens pour commander ça en ligne….
Désolé pour le terme télécharger car ça sonne un peu comme de la piraterie