Le 13 janvier 1898, à la une du quotidien L’Aurore, Émile Zola, auteur de l’immense fresque sociale des Rougon-Macquart, adresse une lettre ouverte au Président de la République dans laquelle il exprime toute sa conviction pour blâmer la calomnie et la honte d’une affaire Dreyfus, emblématique de cette fin de XIXème siècle.
« Monsieur le Président, Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m’avez fait un jour […] ».
Consulter la version texte de ce livre audio.
Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 08/07/2009.
Lu par David D.Voir plus
2 min
15.3K
2 min
20.3K
1 h 32
19.4K
8 min
22.7K
Les plus aimés ❤️ (sélection)Voir plus
1 h 03
12.7K
52 min
5.2K
5 h
2.4K
Sommaire
slt merci beaucoup pour ce grand travail.je vous fèlicite .bon continuation psq ce travail m’interrèsse beaucoup .bon courage
Suite du message de Marocain…
“merci mr David pou la lecture si quelqun peut me fournir la réaction des francais aprés cette acusation injustifiéé et d’ailleus reste imaginaire désolé pour ainsi réagir“
salut merci David pour cette lecture plein d’ émotion mi mille fois pour tout l’équipe de notre site auquel je donne le titre l’abri des sage
merçi beaucoup pour ce grand travail ; bravo.
Excellente lecture de ce texte historique.
Bravo, David !
Victoria
L´affaire Dreyfus est un sujet du cours que j´assure dans une université de l´ Argentine. Je n´avais pas le texte complet de la lettre de Zola. Et maintenant … l´enregistrement … c´est magnifique. Je vous en remercie.
Merci.
bonjour
c’est une très belle lecture, merci de nous avoir fait partager ce bon moment de lecture.
Bonjour et merci David C
Je me suis toujours interessée de l’affaire Dreyfus.
je vous suis reconnaissante de nous lire “j’accuse”.C’est un article qui donne les lettres de noblesse au journalisme.Zola croit à l’innocence de Dreyfus.Il permet par sa lettre ouverte à Félix Faure, la future réhabilitation du capitaine Dreyfus.félicitations.Bien à vous.
Merci, je n’avais lu que des extraits