Je vie dans une région où le colportage était une tradition très présente, avec parfois jusqu’à 80% de la population masculine qui partait dès le début de l’hiver pour 5, 6 voir plusieurs années (pour des pays lointains) vendre, comme le dit la chanson, des livres, de la mercerie, des lunettes, des oignons de fleurs…
J’ai été très touché par cette chanson et par votre voix.
Le texte raconte beaucoup plus de choses qu’il le laisse ne supposer à une personne qui ne connait pas la tradition du colportage. C’est plus qu’une chanson, c’est un document très intéressant.
Merci pour cette idée et bravo pour votre chanson a capella portée par une voix chaude et profonde.
Merci beaucoup pour cette petite chanson!
Me fait souvenir de Malicorne et de la chanson du même nom.
Juste une petite question, « Car ils ont perdu leur bombe ». Que signifie bombe dans ce cas présent? La version que je connaissais était avec le mot « onde ».
Cela dit, cela m’a fait bien plaisir que d’entendre ce petit bout d’histoire humaine. Et il est heureux que cette chanson soit toujours colportée!
Lemoko
le
26 janvier 2015
Mais quel bon moment je viens de passer!Je n’ai pu m’empêcher de la fredonner sur votre voix..
Merci Alain,
Encore!
Lucie
le
26 janvier 2015
Merci Alain, votre voix sert le texte, c’est superbe !
Amitiés de Lucie
Alain Degandt
le
26 janvier 2015
Merci à vous, Lionel, Trollus et mon Cher Lemoko, pour vos congratulations et vos remarques, qui sont toujours des encouragements très réconfortants et stimulants. Comme pour Trollus, j’ai connu cette chanson grâce au groupe de musique traditionnelle « revisitée » : MALICORNE. Dans son album « Almanach », qui est paru en 1976 aux éditions Hexagone(33T – n°883007) et qui a obtenu cette année-là le Grand Prix de l’Académie du Disque Français, c’est Marie Yacoub qui interprétait, magnifiquement, cette chanson, qui est un témoignage de l’importante activité des rouliers et des colporteurs dans la société d’autrefois. Derrière les mots, volontairement provocateurs, emprunts d’auto-dérision, l’auteur cache son dépit et la détresse de son humaine condition : au bas de l’échelle sociale, dans l’instabilité, la pauvreté et la précarité, et entravée par les atteintes de son handicap.
Alain Degandt
le
26 janvier 2015
P.S. : Mes yeux ont perdu leur bombe = ils ont perdu leur convexité, leur aspect bombé (je crois que le terme correct serait : bombement)
Merci à vous trois. Bien cordialement,
ALAIN D.
Alain Degandt
le
26 janvier 2015
Merci Lucie pour votre gentille appréciation.
Amitiés,
ALAIN D.
Alain Degandt
le
27 janvier 2015
Avec mes excuses, je me dois de corriger une affreuse faute d’orthographe qui s’est glissée dans l’un de mes messages précédents : « empreints » et non pas « emprunts » d’auto-dérision … sans doute un lapsus révélateur ! Merci de votre aimable indulgence. A.D.
Louise Michel
le
28 janvier 2015
Excellent !!!
Je vous attends pour la Carmagnole.
Madam’ Veto avait promis (bis) / De faire égorger tout Paris (bis) …
Salutations.
Sandrine Seyller
le
29 janvier 2015
Cher Alain,
Comme c’est poignant, touchant, déchirant !
Votre voix sert la chanson à merveille.
Mille mercis.
Alain Degandt
le
31 janvier 2015
Merci à vous, Louise Michel et Sandrine Seyller. Et à bientôt pour d’autres moments de partage sur litteratureaudio. Bien cordialement,
ALAIN D.
Plume
le
2 mars 2015
Bravo Alain ! Et merci pour cette chanson !
Amicalement,
Plume
Jean-Pierre Baillot
le
2 mars 2015
C’est très bon.
Jean-Pierre
Alain Degandt
le
3 mars 2015
Merci à vous, Plume et Jean-Pierre B., pour vos encouragements amicaux.
ALAIN D.
[...] chanson de colporteur datant sans doute du 19ème siècle : le Luneu. Attention c’est pour faire pleurer dans les chaumières et la fin est cruelle. Petit détour [...]
Je vie dans une région où le colportage était une tradition très présente, avec parfois jusqu’à 80% de la population masculine qui partait dès le début de l’hiver pour 5, 6 voir plusieurs années (pour des pays lointains) vendre, comme le dit la chanson, des livres, de la mercerie, des lunettes, des oignons de fleurs…
J’ai été très touché par cette chanson et par votre voix.
Le texte raconte beaucoup plus de choses qu’il le laisse ne supposer à une personne qui ne connait pas la tradition du colportage. C’est plus qu’une chanson, c’est un document très intéressant.
Merci pour cette idée et bravo pour votre chanson a capella portée par une voix chaude et profonde.
Merci beaucoup pour cette petite chanson!
Me fait souvenir de Malicorne et de la chanson du même nom.
Juste une petite question, « Car ils ont perdu leur bombe ». Que signifie bombe dans ce cas présent? La version que je connaissais était avec le mot « onde ».
Cela dit, cela m’a fait bien plaisir que d’entendre ce petit bout d’histoire humaine. Et il est heureux que cette chanson soit toujours colportée!
Mais quel bon moment je viens de passer!Je n’ai pu m’empêcher de la fredonner sur votre voix..
Merci Alain,
Encore!
Merci Alain, votre voix sert le texte, c’est superbe !
Amitiés de Lucie
Merci à vous, Lionel, Trollus et mon Cher Lemoko, pour vos congratulations et vos remarques, qui sont toujours des encouragements très réconfortants et stimulants. Comme pour Trollus, j’ai connu cette chanson grâce au groupe de musique traditionnelle « revisitée » : MALICORNE. Dans son album « Almanach », qui est paru en 1976 aux éditions Hexagone(33T – n°883007) et qui a obtenu cette année-là le Grand Prix de l’Académie du Disque Français, c’est Marie Yacoub qui interprétait, magnifiquement, cette chanson, qui est un témoignage de l’importante activité des rouliers et des colporteurs dans la société d’autrefois. Derrière les mots, volontairement provocateurs, emprunts d’auto-dérision, l’auteur cache son dépit et la détresse de son humaine condition : au bas de l’échelle sociale, dans l’instabilité, la pauvreté et la précarité, et entravée par les atteintes de son handicap.
P.S. : Mes yeux ont perdu leur bombe = ils ont perdu leur convexité, leur aspect bombé (je crois que le terme correct serait : bombement)
Merci à vous trois. Bien cordialement,
ALAIN D.
Merci Lucie pour votre gentille appréciation.
Amitiés,
ALAIN D.
Avec mes excuses, je me dois de corriger une affreuse faute d’orthographe qui s’est glissée dans l’un de mes messages précédents : « empreints » et non pas « emprunts » d’auto-dérision … sans doute un lapsus révélateur ! Merci de votre aimable indulgence. A.D.
Excellent !!!
Je vous attends pour la Carmagnole.
Madam’ Veto avait promis (bis) / De faire égorger tout Paris (bis) …
Salutations.
Cher Alain,
Comme c’est poignant, touchant, déchirant !
Votre voix sert la chanson à merveille.
Mille mercis.
Merci à vous, Louise Michel et Sandrine Seyller. Et à bientôt pour d’autres moments de partage sur litteratureaudio. Bien cordialement,
ALAIN D.
Bravo Alain ! Et merci pour cette chanson !
Amicalement,
Plume
C’est très bon.
Jean-Pierre
Merci à vous, Plume et Jean-Pierre B., pour vos encouragements amicaux.
ALAIN D.
[...] chanson de colporteur datant sans doute du 19ème siècle : le Luneu. Attention c’est pour faire pleurer dans les chaumières et la fin est cruelle. Petit détour [...]