Extrait du Spleen de Paris, recueil de petits poèmes en prose publié en 1869. « Que les fins de journées d'automne sont pénétrantes ! Ah ! pénétrantes jusqu'à la douleur ! car il est de certaines sensations délicieuses dont le vague n'exclut pas l'intensité ; et il n'est pas de pointe plus acérée que celle de l'Infini. [...] »
Le Confiteor de l’artiste (Poème)
2 minFlorian Chaigne
MERCI Florian!Quel domage que nous n’ayons pas plus de textes lus par vos soin !!
Didier Pilette – México City.