Les 100 derniers commentaires

  1. Daniel Luttringer
  2. Daniel Luttringer
  3. J

    Bonjour merci à voir d’avoir lue se livre en tant que personne soufrant de tout les trouve dys cela n’est pas simple d’apprécier les livre merci d’avoir fait en sorte que je puisse connaître ceci

  4. Pauline Pucciano
  5. N

    Merci Patrick pour ce magnifique texte qui devrait avec humilité faire avancer le monde autrement qu’avec leurs pieds , et merci pour votre belle âme partageuse Nadine

  6. Pauline Pucciano

    Un grand merci, Pastelle ! Vous avez raison, c’est de la très grande littérature… Si vous voulez rester avec notre belle équipe, et retrouver un peu de joie, je ne saurais que trop vous conseiller d’aller voir du côté d’Emily Eden. Cela vous raccommodera sans doute avec l’humanité 🙂

  7. Vincent de l'Épine
  8. S

    Zut, le zip refuse de se télécharger. On me dit que le serveur est introuvable. Ce n’est pas grave, on peut télécharger chaque fichier mais je tenais tout de même à vous le signaler. Sophie

  9. S

    Un petit Paulin Broquet lu par vos soins, je ne saurais dire qui je suis le plus heureuse de retrouver. Je vous remercie.

  10. B
  11. Cocotte

    Chère amie Rose-Marie, chères Charlotte et Marguerite Merci infiniment pour ce beau message qui m’a beaucoup touchée et m’a fait très plaisir. Je suis heureuse que cette nouvelle vous ait plu, à toutes les trois. J’ai eu un ennui d’ordinateur : impossible d’avoir accès aux commentaires depuis le 10 avril. Nous sommes plusieurs donneurs de voix à avoir eu le même problème. Heureusement, Julien, alerté, nous a donné d’excellents conseils, que j’ai suivis à la lettre et toutes les fonctions de mon ordi sont revenues ce matin. Ce texte est le second d’un petit recueil qui s’appelle : Le chandelier enterré. Ce matin, la première nouvelle, qui a donné son nom au titre a été publiée. Je crois que vous aimez bien cet auteur. Toutes mes amitiés, chères Rose-Marie, Charlotte et Marguerite Cocotte

  12. Cocotte

    Bonjour, Pierre Votre remarque étant courtoise et un de vos reproches étant positif, je vous remercie pour votre commentaire. Je tiendrai compte de vos conseils dans mes prochaines lectures. J’essaie pourtant de ralentir mon débit, mais ce n’est pas toujours très facile. Enfin, je ferai pour le mieux dorénavant. Franchement, je ne croyais pas déclamer, ni psalmodier. Ce reproche-là n’est-il pas un peu trop sévère? Je ne crois pas mériter cette critique, mais si c’est votre impression, je regrette de l’avoir provoquée. Puis-je vous prier de m’accorder un peu d’indulgence? Cordialement Cocotte

  13. P

    La belle équipe, vraiment, vous servez à merveille ce texte dont pour ma part, je n’aurai pas abordé la lecture Trop volumineuse pour mes quelques heures de liberté. En revanche, mes journées de travail s’en trouvent enrichies. Merci infiniment C’est simultanément visionnaire et désespérant. De la grande littérature. Où donc est passée ma joie maintenant ?…

  14. Daniel Luttringer
  15. Pauline Pucciano
  16. C

    Je vous écoute depuis très longtemps et J aime beaucoup merci

  17. C
  18. Daniel Luttringer

    Ah, que j’aimerais proposer davantage de Miss Wharton, Sylve, mais vous le savez sans doute, peu de traductions sont dans le domaine public… En tout cas, celle-ci est plaisante. Merci pour votre mot.

  19. K
  20. A

    La photo n’est pas un portrait de Tourgueniev. Je l’ai en main. C’est un format carte de visite qu’on peut dater entre 1855 et 1860 et que le vendeur – un faussaire en peinture bien connu à Drouot – avait légendé fallacieusement au dos. Je vois qu’elle a également été reprise dans un blog. Il suffit de comparer avec les portraits connus de Tourgueniev entre 1860 et 1870 pour voir qu’il n’a pu vieillir autant en quelques années.

  21. s

    Toutes ces heures d’écoute avec vous, Gustave, c’est toujours un vrai charme. Néanmoins c’était mon premier Ponson du Terrail et pour la fan d’Alexandre Dumas que je suis, très décevant au début, je l’avoue. Les personnages sont des marionnettes et l’action des plus rocambolesque (c’est le cas de le dire!). Mais quand la scène se déplace à Paris sous la terreur et que les deux pauvres orphelines sont menacées de la guillotine, avec des détails sur les prisons, les exécutions, l’intervention de Robespierre etc le feuilleton devient vraiment intéressant et souvent drôle. Tout à fait original !

  22. O

    Merci Florent pour cette histoire passionnante et votre lecture ! Vous ne vous doutez pas de leurs bienfaits ! Bravo pour ce travail généreux

  23. s

    Merci Daniel d’avoir déniché et interprété un nouveau Edith Wharton, assez original d’ailleurs avec sa dimension politique que je ne me souviens pas avoir jamais trouvée dans son oeuvre. Plus que l’histoire d’amitié qui ne m’a guère convaincue ce qui m’a beaucoup intéressée c’est la description du faubourg ouvrier italien de New York. Quant au secret, oh la la, c’est énervant, on voudrait plus d’indices ! J’ai mon idée mais, bien sûr, je ne veux pas faire de spoiler…

  24. C

    Bonjour Merci de faire revivre l œuvre d Émile Gaboriau Je suis toujours impressionnée par la de lecture à voix haute cela doit représenter un travail guide par la passion Mercis pour votre don

  25. p
  26. c

    Mr Gustave vous faites partie de ma maison depuis 2 mois. Peut on développer une addiction a l oeuvre d Alexandre Dumas ? Je suis heureuse de savoir qu il y a une suite! (Mais …comment le cheval Cadet est il revenu à la ferme alors qu il avait été echangé au relais?) C est magnifique et votre performance est exceptionnelle. Quelle belle découverte pour moi. Merci merci merci

  27. Vincent de l'Épine
  28. A
    Anderson sur 1984

    Merciiiiiiii

  29. Vincent de l'Épine

    Bonjour Pastelle, quel bonheur de lire votre commentaire 🙂 ! Je suis heureux que le soin que j’ai apporté à l’illustration musicale ait porté ses fruits. Mais pour cela, il faut aussi et surtout remercier Grégoire Lourme, qui a généreusement accepté que j’utilise ses créations musicales. D’ailleurs, Grégoire qui compose, moi qui lis, et vous qui modelez, nous formons un beau trio, qu’en dîtes-vous ? Que Mithra vous ait en sa sainte garde !

  30. Vincent de l'Épine
  31. Alain Degandt
  32. S

    Bonjour Les habits noirs sont incomplets à ce qu’il me semble, il manque le dernier volume soit : ” La bande cadet ” qui est le septième et dernier volume de la série, sorti en 1875 ???

  33. Daniel Luttringer

    Ce sont de très belles réflexions que vous proposez là, Pline, tant par rapport à mon épouse, à l’auteur qu’à ma lecture. Un grand merci.

  34. M

    Merci beaucoup à tous d’avoir rendu ces lectures disponibles. Je suis brésilien et j’étudie le français en lisant ces superbes œuvres. Merci Ariane pour cette lecture captivante.

  35. P

    Votre épouse dirait certainement que les connexions, quelles que soient leurs médiums, sont de l’énergie transmises !

  36. P

    Voici la deuxième fois que j’écoute ce livre et c’est avec la même émotion, plus mûrie peut-être, que je le termine. L’on pourrait croire du Paul Bourget au féminin, tant l’analyse psychologique des personnages principaux est intense. De même que l’on retourne à un endroit que l’on a aimé et que l’on y découvre des détails échappés la première fois, une autre écoute de ce livre si poignant nous permet d’y déceler de façon plus approfondie une ambiance d’un autre temps où conventions et besoin de liberté y sont décrits magistralement. Et bien sûr cher Daniel, comme à chaque écoute, votre narration rehausse l’intensité de l’intrique. Merci…

  37. p
  38. p
  39. p
  40. p
  41. A

    Super mais des mots différents de mon livre, on comprend quand-même car se sont les mêmes mots, mais quand on alterne on ne comprend pas toujours .

  42. I
  43. Pauline Pucciano
  44. h
  45. Pauline Pucciano

    Bonjour Katia, normalement vous devriez maintenant pouvoir télécharger le fichier zip. Excusez-nous pour le retard dans notre réaction, et n’hésitez pas à revenir vers nous si le problème persiste.

  46. Pauline Pucciano
  47. Alain Degandt
  48. g
  49. Pomme

    Bonjour, Michel. Vos commentaires me touchent particulièrement. C’est vrai que j’aime cet auteur que j’ai découvert grâce à la merveilleuse lecture de Juliette: Bruges la morte. Lecture admirable que je vous conseille vivement! Et j’ai eu le bonheur de visiter cette si belle ville en compagnie de Juliette justement. Rodenbach est donc pour moi un auteur bien cher à mon coeur. Merci, Michel, pour votre commentaire qui remue en moi de douces émotions.

  50. Pauline Pucciano
  51. M

    Votre lecture rend le livre encore plus attachant On perçoit votre amour a l’auteur Michel

  52. M

    Cela a ete pour moi une découverte inattendue cette lecture Je vais a Brugge de temps en temps Rodenbach me l’a fait revivre en moi J’ai aimé la descriptions des attachements a la ville aux cloches aux femmes a la beauté Michel

  53. P

    Merci infiniment, la justesse de votre ton, les accords musicaux, tout était là pour me faire vivre cette épopée. Une journée extraordinaire pendant que mes mains modelaient, mon esprit chevauchait à l’aventure. Merci vraiment pour ces heures magiques…

  54. E
  55. Christiane-Jehanne

    Bonsoir, Yel, c’est moi qui vous remercie infiniment de votre si gentil message, très gentil, très encourageant, 😀, merci beaucoup de votre amabilité 😊! Un roman passionnant de J.Verne, et des personnages qui marquent. Je suis ravie de l’avoir servi à votre convenance. Je vous souhaite une agréable soirée, merci de me soutenir , très amicalement, Christiane.

  56. M

    Très belle performance, très bon rythme. Je vous remercie.

  57. o

    Bonjour, on pourrait ajouter le lien vers Physiologie du Mariage (1829) qui a été enregistré par Domi. Et également s’il y en de nouveaux à paraître dans les morceaux manquants. Merci.

  58. P

    Bonjour Madame, Quelle courtoisie de me répondre, d’abord, et si gentiment de surcroît ! Pour tout vous dire, je ne m’attendais pas à un tel retour. Juste pour vous dire : continuez à nous régaler avec votre talent qui ferait pâlir bien des “actrices” connues à la télévision et cependant très fatigantes. Je vous souhaite autant de bonheur que celui que vous nous procurez.

  59. Pauline Pucciano

    Merci mille fois, Kakalake, je suis vraiment très touchée par votre compliment. “Les Artocrates” se déroule dans une cité contemporaine d’Albâtre, et oui, vous y retrouverez des personnages. Mais… Dune ! Dame ! Que penseriez-vous de Timothy Chalamet dans le rôle d’Artus ? 😉

  60. Pauline Pucciano

    Bonjour C Chafiai Aya, le livre que vous cherchez n’est pas libre de droit et vous ne trouverez ici que des livres libres de droit ou publiés sous licence creative commons.

  61. C
  62. k

    Je viens d’écouter la trilogie, que j’ai au moins autant apprécié que le grand classique “Dune” de Frank Herbert. “Les artocrates” semble en être un peu la suite, une sorte de spinoff. J’ai vraiment hâte de continuer, je suis toujours triste à l’approche de la fin de vos livres !

  63. J
  64. z
  65. Y
  66. Gaëlle

    Monsieur Demiesse, vous me faites rougir ! ☺️ Votre message m’émeut aussi, car j’ai lu ce texte en pensant particulièrement à quelqu’un qui, j’en suis sûre, l’aurait aimé également. Par de tels éloges, me voilà bien récompensée du temps passé devant l’ordinateur à enregistrer, couper, nettoyer et recommencer encore. Grand merci pour votre message, qui m’encourage à poursuivre.

  67. J
  68. r

    Chère Cocotte,merci d’être là en tant qu’être humain ,avec votre cœur et les caractéristiques de votre être particulier. C’est ce que je recherche dans les moments difficiles, cette voix qui me fait voyager dans le temps et dans l’espace,qui a rendu des personnages vivants,cette voix qui nous offre son temps, son énergie sa sympathie une voix qui exprime son humanité. Merci pour ce coffre aux trésors que vous nous offrez et vers quoi nous nous tournons sans jamais être déçus. Rose Marie ,sans oublier Charlotte et Marguerite .

  69. B

    Oui, Sautillant, l’un des si gentiment aiguisés messages de Sylve est une belle occasion de nous saluer – de pas si loin géographiquement ai-je cru repérer au fil d’un de vos échanges où mes yeux ont trainé… Pour notre “Fainéant”, j’ai trouvé mes solutions musicales, mais hésite encore à me lancer car un enregistrement existe déjà sur un site frère. Bien cordialement à vous.

  70. B

    Merci, Sylve, de ne vous être laissée décourager ni par la noirceur ni par l’angélisme!… On trouve sur le net un dossier Louis Hémon, émanant de l’Université de Montréal où figurent plusieurs critiques de Monsieur Ripois, lors de sa publication en 1951, dont une de Pierre Loewel, très louangeur sur la majeure partie de l’oeuvre mais abandonnant le navire lorsqu’il lui paraît sombrer, au dernier tiers, dans l’édifiant mollasson. Dans la foulée, Jacques Becker, dans son film de 1953 (dialogues de Raymond Queneau, tout de même!) a passablement modifié l’action et notamment le dénouement, auquel il imprime un tour des plus sarcastiques. (Film introuvable, hélas! et c’est grand dommage aux yeux du souvenir que j’en ai.) Me concernant, j’accepte d’un coeur éveillé la trajectoire qu’a voulu Hémon pour son personnage, à moins que – mais ce serait hardi! – une illusoire ou transitoire repentance – à l’instar peut-être du petit…

  71. ?
  72. R

    Merci beaucoup de votre lecture. La lecture de ce livre pour les cours était pour moi une corvée, grâce à vous, non seulement j’apprécie un peu plus le livre (bien que celui-ci soit sexiste) mais en plus je gagne du temps !! Vous avez une voix très agréable, merci à vous.

  73. S

    SYLVE… Bonjour… … sur la page ad hoc… 😜… Je vois le passage… qui vous a donné un court moment d ‘ alarme… aussitôt jugée vaine… Ouf !… Notre malheureux personnage… tombe tout simplement… amoureux !… Et l’ auteur… sait tres bien rendre cet état… Quelque chose d ‘ enchanté… de ” féerique “… plutôt que surréaliste… non ?… Il rechute… comme vous dites… et il sera trop tard quand… Un tres beau livre… que je suis content d’ avoir découvert… grâce à Bernard MORA… qui s ‘ en fait un remarquable passeur… Mon cordial salut… et à Bernard MORA…

  74. S

    Amie DOMI… Ce… ” J ‘ ai des pistes “… m’ amuse beaucoup !… 🤭… Suivez-les !… Que la première soit la bonne !… Moi aussi j ‘ etais jeune… quand j’ ai lu les quelques Paul AUSTER… que j ‘ ai lus… Je les ai aimés… sans pourtant… avoir eu l’ elan d ‘ en lire plus… comme ca a été le cas pour… Saul BELLOW… que je porte aux nues !… Bonne journée…

  75. m
  76. Domi

    Merci de votre message. J’ai toujours aimé la philo depuis la terminale mais Aristote me paraissait bien trop difficile. Il a fallu que je vieillisse et surtout que je le lise à haute voix pour comprendre ce qui m’ échappait alors.

  77. Domi

    Je suis contente que vous ayez envie de lire « Physiologie du mariage » . Lire ce texte à haute voix m’a vraiment plu et fait beaucoup réfléchir. Il faut absolument que je réussisse à régler le micro de mon ordinateur. Mais je vais devoir me faire aider (j’ai des pistes..) Oui je l’ai lu assez tôt en même temps que ma maman qui l’a découvert aussi. J’avais bien aimé. Peut-être vais-je reprendre un de ces textes. Bonne soirée.

  78. Bruant d'Almeval

    Ah ! Ah ! Eh oui, chère Eole, la pâmoison a littéralement été promue au rang de système dans certaines littératures. Cependant, ce n’est pas seulement un instrument dramatique, c’est avant tout un fait historique découlant des ustensiles de tortures utilisés dans la mode féminine de l’époque (corsets et autres joyeusetés hypercomprimantes !). Même sans être soumise à la moindre émotion forte, quelle poitrine pourrait supporter telle oppression sans que la respiration en fut altérée ? Quoiqu’il en soit, je vous remercie beaucoup de votre commentaire. N’hésitez pas à revenir ici après l’écoute de la seconde partie. Je serais extrêmement curieux d’avoir un retour (vous verrez que cette partie est tout à fait étrange dans sa construction, et résulte elle aussi d’un véritable système inhérent au genre gothique !).

  79. c

    J’ai beaucoup aimé écouter ce roman, le lecture est vraiment très agréable.

  80. Christiane-Jehanne

    Bonjour Fee, 😀, et je vous remercie infiniment et très chaleureusement de votre si aimable message. Je suis ravie que cette nouvelle vous plaise, et que ma voix, ma diction vous conviennent. Grand merci, voilà un bel encouragement pour que je poursuive ici. Je vais préparer un joli texte de Marguerite BurnatProvins et un de Zweig pour vous remercier et… une petite surprise aussi. Merci infiniment 😀🙏. Je vous souhaite un très agréable 1er mai, recevez un petit brin de muguet de ma part, porte-bonheur, avec mes amitiés chaleureuses 😊, votre message est pour moi du bonheur, Christiane.

  81. a

    J’avais oublié ! à cause des notes, des exams ; la philosophie n’était plus rien d’autre qu’un objet de crainte, au minimum. J’avais oublié le plaisir avec lequel je l’avais découverte, le plaisir d’essayer de comprendre – essayer au moins, car je n’ai pas un QI de surdouée ! le plaisir : peut-être qu’Aristote désaprouverait un but pareil. Mais tant pis, c’est ce que j’éprouve à l’entendre en vous écoutant aujourd’hui. Dieu que votre lecture, pédagogue dans ses pauses et ses inflexions, fait du bien !

  82. F

    Bonjour Christiane-Jehanne! Merci de nous offrir votre belle voix, c‘est vraiment un plaisir! Vraiment, merci 😘

  83. Vincent de l'Épine

    Bonjour Sautillant, Rassurez-vous je ne crains pas votre barbe blanche, comme vous l’avez dit sur une autre page ; c’est juste que vous sautillez parfois un peu trop vite pour moi 🙂 Merci à vous de ce long commentaire qui témoigne de votre grand intérêt pour ce roman ! Vous avez raison, Wilkie Collins est un magicien, il tisse sa toile autour du lecteur qui s’en retrouve prisonnier. Je trouve que vous donnez une belle définition du Sensation Novel, avec votre expression “une fois notre consentement donné”. Il faut effectivement faire quelques concessions aux probabilités pour entrer dans ces romans, encore que chez Collins ou Braddon, la coïncidence, bien que présente, n’excède pas les limites du raisonnable. Mais ce “consentement donné” existe finalement dans beaucoup d’autres genres littéraires ou cinématographiques. Il y a, au début d’Armadale, cette scène du bateau échoué, qu’on a quand même, soyons francs, un peu de…

  84. Vincent de l'Épine

    Merci Nadine ! C’est vrai que ma voix est un peu triste, mais l’histoire en elle-même n’est pas toujours joyeuse… Je relis toujours les romans avant de les enregistrer, histoire de m’imprégner de leur ambiance. Je suppose que la tonalité de celui-ci a inspiré ma voix de cette façon. Je vous souhaite de belles découvertes dans votre exploration d’Edith Wharton, c’est un écrivain de premier plan, peut-être mon auteur préféré. Je l’ai découverte il y a quelques années avec “Chez les heureux du monde”, qui m’avait traversé le coeur. A bientôt 🙂 !

  85. Vincent de l'Épine

    Merci à vous Sylvie ! Vous êtes bien aimable de vous préoccuper de ma pauvre petite Lizzie… Je vous rejoins complètement, il n’y a ici ni clichés ni misérabilisme… juste la réalité toute nue, ce qui n’exclut pas bien au contraire, de l’émotion. J’ignorais que Louis Hémon était mort si jeune, vous me l’apprenez…33 ans, il avait encore beaucoup à apporter à la littérature ! Portez-vous bien et à bientôt 🙂 !

  86. s

    Bonjour Cocotte, je n’ai pas écouté ce Stefan Zweig, je réponds ici aux remarques de Pierre. Pour ce qui est de lire plus lentement le conseil vaudrait pour la plupart des donneurs de voix , même les plus expérimentés. C’est vrai que le flux sonore ne permet pas de saisir chaque mot, comme le fait l’oeil sur la page. Mais pour le reste, moi qui suis une grande habituée du site, j’ai appris à aimer la mélodie, la voix, l’accent, les particularités de diction, éventuellement les défauts de chaque donneur de voix. Ce sont comme des personnalités différentes et amies. Pour moi, Cocotte, je vous aime telle quelle !

  87. s

    L’infortuné Barnet est de plus en plus infortuné puisque le voici encombré d’un tas de messages terre à terre qui ne le concernent pas du tout. A Vincent : mon bug s’est terminé aussi mystérieusement qu’il avait commencé. Si c’est à vous que je le dois : merci. A SAUTILLANT sur M. Ripois : ce monsieur qui jusque là se conduit envers les femmes comme un véritable s – – – – ard (je ne veux pas être censurée!) rencontre sur une colline un ange – cela a tout du mythe- et tombe réellement amoureux d’elle. On pourrait aller droit au cliché, rédemption par l’amour d’une merveilleuse jeune vierge. Or il se trouve que cette jeune fille, naïve et libre, vit tout à fait en dehors des conventions sociales. Avec elle on est plongé dans une sorte de surréalisme (l’oncle aveugle etc) plus que dans un happy-end. Et de toute…

  88. S

    Drelin – drelin… SYLVE et WEDLEY… Son nom !… Son nom !… 😅😂🤣… SYLVE… je lis toujours vos commentaires avec intérêt… Celui sur… ” Monsieur Ripois “… après lequel ont commencé tous vos petits malheurs techniques… m ‘ a un peu intrigué… Quel est ce passage… où un parfum d’ eau de rose… a fugitivement chatouillé vos narines ?… C ‘ est une lecture… fraîche encore… dans ma memoire… et je ne vois pas… WEDLEY… ma vénérable barbe blanche vous intimide-t-elle ?… 👻…

  89. Yves Chantal

    Cher Vincent, Dommage… car le récit de ” Nadeige en deuil” me semble un tantinet moins intéressant. J’aurai hélas cassé ma pipe qu’allumaient tant de passions (désolé, je ne peux résister à un jeu de mots, fut-il plat : pipe… calumet, ah ah ?) à la date que vous m’annoncez. J’essaierai néanmoins de vous écouter de mon petit nuage tout gris, à l’auberge de la Grande Ourse, écrivait un certain poète. Amicalement, Yves

  90. P

    Bonjour Madame. Quel enchantement de vous entendre lire avec un tel talent ! Vous avez une voix magnifique, doublée d’une articulation irréprochable ; même les consonnes explosives coulent tel un ruisseau paisible sinuant dans la vallée. Quant à vos intonations et votre manière d’interpréter un texte écrit, elles sont d’une justesse à couper le souffle. Quel travail remarquable. Je suis conquis. Salutations admiratives.

  91. S

    Amie DOMI… un Bonjour musqué… Tout arrive !… ” Physiologie du mariage “… m ‘ est audible !… Il faudrait juste un niveau sonore… légèrement plus élevé… et ce serait parfait… Il n’ y a plus qu ‘ à espérer… un retour à la normale… pour vos prochains enregistrements … De prime abord… ” Physiologie du mariage “… ne m’ aurait pas attiré… mais votre presentation… fait naître l ‘ envie… Mes amicales salutations… Ps… Avez-vous lu Paul AUSTER… qui vient de quitter notre bas-monde ?…

  92. Vincent de l'Épine
  93. S

    Et maintenant voilà que j’ai fait apparaître mon nom. Quelle galère ! Tant pis

  94. S

    Je viens de voir votre réponse sur mon téléphone et je vous en remercie. Je constate donc que c’est sur mon ordinateur que tout est bloqué et que plus rien n’apparaît après mon commentaire à Bernard Mora sur monsieur Ripois il y 3 jours. Les mystères de la technique sont insondables pour moi… Je ne sais si vous y pourrez grand chose .Je vais essayer de demander à ma fille de me secourir.. En attendant je suis contente de pouvoir continuer à lire les commentaires sur mon téléphone mais pour ce qui est d’en écrire ( et j’ai du retard d’au moins 3 œuvres !), ce n’est pas très pratique.

  95. K

    Bonsoir, Merci pour cette lecture, après quelques secondes d’écoute, moi aussi j’apprécie votre voix :o) Mais impossible de télécharger le premier fichier Zip Fortune du Boisgobey – Bouche cousue V1 C01 a C03.zip… Est-ce qu’il y aurait un problème technique? Le second fichier ne présente lui aucune difficulté. Merci pour votre aide! Et si je puis me permettre: si d’aventure vous en avez le temps, ou le goût, vous pourriez aussi vous atteler aux romans d’Émile Gaboriau afin d’enrichir le site d’autres versions comme l’ont fait Mr Luttringer et Viktoria. Merci encore! Cordialement.

  96. o
  97. o

    j’ai beaucoup apprécié cette lecture, et pourtant je suis hermétique à la poésie. Bravo

  98. Éole

    Merci cher Bruant d’Almeval. Je viens de finir la première partie et m’en vais de ce pas attaquer la seconde ☺️. Une belle découverte que ce roman gothique, et votre lecture le rend très vivant 😊 . Bravo Mais je reste toujours un peu étonnée de voir la propension avec laquelle les femmes de l’époque s’évanouissaient😅

  99. Pauline Pucciano

    Chère Marissa Dubois, c’est avec un immense plaisir que je découvre votre commentaire ! C’est un très beau cadeau que vous me faites, et je vous en remercie du fond du coeur.

  100. E
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