Rire garanti à la fin (inattendue !) d’une des Histoires belles et honnestes (1883) de la même veine que les Contes irrévérencieux du joyeux plaisantin Armand Silvestre.
« Or, de quoi mieux parler aux dames que de leurs sœurs naturelles, que de leurs rivales en beauté et en parfum, les reines de nos parterres ? À moi l’aimable palette où se broient côte à côte la neige des lys, le sang des roses et le cœur d’argent des camélias ! »
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Illustration :
Paul Gauguin, Fleurs dans un vase (1886-1887 et 1893-1895).
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Livre audio gratuit ajouté le 10/02/2010.
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Parfaitement délicat et drôle ces quelque lignes de la fin…
Au risque de choquer Messieurs les prudes, Messieurs les dégoutés, ou Messieurs les affectés, j’ai ri.
Mais, semble-t-il, nous sommes des gens gras, des gueux. Prenons garde à ne point mêler notre boue à la poudre des personnes vraiment délicates, à l’austérité chaste et modeste des gens de bon goût.
génial!!! et quelle fin 🙂 c’est vraiment super bien lu bravo René !!!