Histoire touchante d’un ver de terre amoureux écrit par l’ancien publiciste et auteur dramatique Ernest Depré (1854-1932) pour Coquelin Cadet, célèbre comédien en son temps…
« À l’heure ou ce récit commence
Il atteignait ses dix-huit jours ;
Il sortait du collège , avec son innocence ,
Et, sur l’arbre de la science,
Il rêvait de cueillir la pomme des amours. […] »
Lu par Lemoko
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C’est comme le cas de Tristant. Il y en a nombreux ceux nommés Tristant, mais c’est un seul dont le poète vantât et que Iseult aimât.
Certes Alexandrin a raté son affaire mais tapis dans l’ombre reste encore dodécasyllabe ,son jumeau!!
Et bien d’autres: monosyllabe, trisyllabe, tétrasyllabe et son jumeau quadrisyllabe,
puis pentasyllabe,hexasyllabe, etc..
A la luciole il lui reste encore pas mal de soupirants pour la séduire….
Ma sympathie va vers la luciole qui ne connaitra jamais ce que c’est qu’un vrai amour de ver.
Merci pour cette lecture.