C’est avec certains préjugés de classe que la toute jeune et fantasque Lady Chester vient terminer sa grossesse au voisinage immédiat des Hopkinson, une famille de la gentry, dans une petite ville des faubourgs de Londres.
Mais les filles Hopkinson s’avèrent si honnêtes et si sensibles qu’elles ont raison de ses réticences, et gagnent les cœurs les plus nobles, malgré les manigances de la cupide Baronne Sampson…
L’établissement de ces jeunes filles sans fortune, mais pleines de mérite, devient l’enjeu du roman, fidèle en cela à la tradition ouverte par Jane Austen.
« La Maison mitoyenne » (The Semi-Detached House, 1859) est un roman fin et léger, aux dialogues brillants, imprégné à chaque ligne d’humour anglais, qui ravira les amateurs de romans victoriens.
Il n’a jamais été publié en français, et nous sommes fiers de vous en offrir la toute première traduction.
Retrouvez ici la deuxième et dernière partie de La Maison mitoyenne.
George Dunlop Leslie (1835–1921), Le Vendeur de poissons rouges (détail).
Léo Delibes (1836-1891), Sylvia, Pizzicato, piano arrangement, interprété par Markus Staab (licence CC BY 3.0).
Merci beaucoup pour cette délicieuse lecture !
C’était un régal …
Bonne journée.
Merci Guilhelme… Nous sommes en train de finaliser la première partie de l’autre roman d’Emily Eden, qui s’intitule “Le couple désaccordé”. Vous devriez pouvoir vous régaler à nouveau très bientôt !